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  • Proverbes chinois

    Proverbes chinois

    chinois humourProverbes chinois .

    Proverbes chinois

    - « La mémoire peut contrefaire l’esprit, mais non le suppléer « (Proverbe chinois)

    - « Mille souvenirs ne donnent pas une pensée  » (Proverbe chinois)

    - Si vous ne voulez pas qu’on le sache, mieux vaut encore ne pas le faire. ( Proverbe chinois)

    - Hier, aujourd’hui, demain sont les trois jours de l’homme. ( Proverbe chinois)

    - Quand un homme est fou d’une femme, il n’y a qu’elle qui puisse guérir sa folie. ( Proverbe chinois)

    - On peut- être intelligent toute sa vie et stupide en un instant. ( Proverbe chinois)

    - La loi est sage mais les hommes ne le sont pas. ( Proverbe chinois)

    - Un frère est un ami qui nous a été donné par la nature. ( Proverbe chinois)

    - Un fils qui fait verser des larmes à sa mère peut seul les essuyer. ( Proverbe chinois)

    - La fortune est pour la vie ce que la rosée est pour l’herbe. ( Proverbe chinois)

    - Le chemin du devoir est toujours proche mais l’homme le cherche loin de lui. ( Proverbe chinois)

    - Gouverne toi bien pour gouverner autrui. ( Proverbe chinois)

    - Laisse toujours une place à l’erreur. ( Proverbe chinois)

    - Le malheur ne rentre guère que par la porte qu’on lui a ouverte. ( Proverbe chinois)

    - Le monde est une mer et notre cœur un rivage. ( Proverbe chinois)

    - Est sage celui qui connaît les autres. ( Proverbe chinois)

    - Connaître son ignorance est la meilleure part de la connaissance. ( Proverbe chinois)

    - L’homme prédestiné au bonheur n’a pas besoin de se hâter d’être heureux. ( Proverbe chinois)

    - Les cœurs les plus proches ne sont pas ceux qui se touchent. ( Proverbe chinois)

    - Etre homme est facile, être un homme est difficile. ( Proverbe chinois)

    - Celui qui pose une question est bête 5 minutes celui qui n’en pose pas l’est toute sa vie. ( Proverbe chinois)

    - Ne craignez pas d’être lent, craignez seulement d’être à l’arrêt. ( Proverbe chinois)

    - La porte la mieux fermée est celle que l’on peut laisser ouverte. ( Proverbe chinois)

    - Mieux vaut les critiques d’un seul, que l’assentiment de mille. ( Proverbe chinois)

    - L’eau renversée est difficile à rattraper. ( Proverbe chinois)

    - Point n’est besoin d’élever la voix quand on a raison. ( Proverbe chinois)

    - Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère. ( Proverbe chinois)

    - Une méthode fixe n’est pas une méthode. ( Proverbe chinois)

    - Un ami est une route, un ennemi un mur. ( Proverbe chinois)

     

     

    Chinese Chinese humourProverbes.

     

    Chinese proverbs

    – « The memory can forge the spirit, but not the supplement » (Chinese proverb)

    – « A thousand memories do not give a thought » (Chinese proverb)

    – If you do not want anyone to know, better still is not doing so. (Chinese proverb)

    – Yesterday, today and tomorrow are the three days of man. (Chinese proverb)

    – When a man is fool of a woman, there she who can cure his madness. (Chinese proverb)

    – It may be smart and stupid all his life in an instant. (Chinese proverb)

    – The law is wise but men are not. (Chinese proverb)

    – A brother is a friend that was given to us by nature. (Chinese proverb)

    – A son makes tears to his mother alone can wipe them. (Chinese proverb)

    – Wealth for Life that the dew to grass. (Chinese proverb)

    – The path of duty is always close but man seeks it away from him. (Chinese proverb)

    – Govern yourself well to govern others. (Chinese proverb)

    – Let’s always room for error. (Chinese proverb)

    – The misfortune hardly fit through the door we open it. (Chinese proverb)

    – The world is a sea and a shore our heart. (Chinese proverb)

    – Is wise one who knows the others. (Chinese proverb)

    – Knowing ignorance is the best part of knowledge. (Chinese proverb)

    – The man predestined to happiness does not need to hurry to be happy. (Chinese proverb)

    – The nearest hearts are not those who are touching. (Chinese proverb)

    – To be a man is easy, being a man is difficult. (Chinese proverb)

    – He who asks a question is stupid 5 minutes one who does not ask is his life. (Chinese proverb)

    – Do not be afraid to be slow, only fear being stopped. (Chinese proverb)

    – The door is closed the better one can be left open. (Chinese proverb)

    – Better the criticism of one, that the consent of a mile. (Chinese proverb)

    – Spilled water is difficult to make up. (Chinese proverb)

    – There is no need to raise your voice when it’s right. (Chinese proverb)

    – It is easier to move a river than to change its character. (Chinese proverb)

    – A fixed method is not a method. (Chinese proverb)

    – A friend is a road, an enemy wall. (Chinese proverb)

  • LES CARNETS DE LILA PIK : nouvel an chinois, défilé au cœur de Paris

    LES CARNETS DE LILA PIK : nouvel an chinois, défilé au cœur de Paris

    LES CARNETS DE LILA PIK : nouvel an chinois, défilé au cœur de Paris

    Des images du nouvel an chinois à Paris

    LES CARNETS DE LILA PIK, nouvel an chinois

    Le 28 janvier, un joli défilé au cœur de Paris pour célébrer le nouvel an chinois.Durant cette fameuse semaine, de nombreux événements, fêtes, défilés se sont déroulés dans la capitale.Le 28 janvier, les costumes colorés, les dragons frétillants et les lanternes chinoises ont éclairé une après- midi plutôt maussade.Parmi ces réjouissances, une petite équipe de clowns (les clowns de Paris), habitués aux tournées chinoises depuis plus de 10 ans, a animé, à coups de marteau (en mousse, je vous rassure !) la parade.A noter aussi une fantastique « banda » TARASBULBA qui nous a distillé une musique pleine de pep’s.

    Un bon mélange de genres, une réussite à 100% !

  • vie de chien à Hanoï

    vie de chien à Hanoï

    Carnets de voyage en asie ou une vie de chien à Hanoï

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    - Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

    – Carnets de voyage en asie

    une vie de chien à Hanoï
    – Je m’en souviens encore, il faisait trés chaud. Hanoï s’affairait bruyamment et nous n’ étions pas loin du mausolé de l’oncle Ho. Impossible d’y pénétrer pour cause de fermeture. Nous sommes allés nous promener dans un pittorresque marché vietnamien plein de senteurs alléchantes, nems, grillades au feu de bois, volailles dodues…quand soudain comme Ulysse par les Sirènes, nous fûmes happés par un fumet prometteur.

    Tel le petit Poucet guidé par cette odeur si alléchante nous nous dirigeâmes vers ce nirvana gustatif. Stupéfaction et horreur se lirent dans nos yeux, ce plat des dieux c’était du « chien » découpé en petites portions, prêtes à être mangées !!!.
    A vrai dire ce n’est qu’une histoire de culture, simplement une question de culture !!! Mais malgrè notre courage reconnu de tous nos pairs et notre insatiable gourmandise nous déposâmes les armes et fîmes retraite, retraite anticipée, cela va de soi….(cf la photo).

  • ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu

    ZHANG Hongyu, artiste chinois expose

    « ELLE »

    ZHANG Hongyu, artiste chinois

    Zhang Hongyu ou « Celui qui voyage sous le signe de l’eau. »

    Cet artiste contemporain dont l’approche figurative rejoint la grande tradition des expressionnistes occidentaux, n’en demeure pas moins un puriste de l’art extrême oriental où le dépouillement des formes et des couleurs satisfait à l’essentiel. Zhang Hongyu présente une œuvre marquée par une « mise en relief du sujet traité ».

    Cette approche peut-être considérée par certain comme désuette et pour d’autres elle touche au sublime ; il en est ainsi des goût et des couleurs. A l’heure ou l’on confond vitesse et précipitation, art et Pan Art.

    Retourner à l’essentiel, c’est cela être efficace ! Comme l’eau qui invariablement retourne à la source.

    JPB

  • Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières

    Mu Tranier-Alaux, l’artiste des lumières.

    Mu Tranier-Alaux,

    Vous pouvez retrouver ses œuvres dans son atelier, la « mu-gallery » au 53 rue blanche dans le 9ème, sur rendez vous. (06 07 52 03 29), ou sur internet .

    Artiste Franco Toulousaine vivant à Paris, Mu Tranier-Alaux a exposé ses « abstractions figuratives et poétiques » à la galerie Thuillier. 25 œuvres ont été présentées de 2005 à 2008, des huiles de mue aux gommes laque, avec un arrêt sur image de deux portraits à l’huile, dont Giri Nari, grand Saint de l’Inde. Une œuvre, « impression du soleil levant » sera exposée cet automne à la résidence d’été de la cité impériale du japon.

    Pourquoi l’Asie ?

    « l’Asie est mon influence racine de l’Etre dans l’art. Des encres de la Chine aux espaces silencieux du Japon, je travaille parfois à l’ombre des grands maîtres Indiens.

    De là je tire sûrement quelque chose du japon, quant au lyrisme, il est très Chinois dans l’âme, seul les cadres diffèrent. »

    Zao Wo Ki !!! c’est du Zao Wo Ki !!! et bien non, elle ne le connaissait même pas.

    L’inspiration de Mu Tranier-Alaux rejoint spontanément celle des très grands : elle joue avec les lumières et les techniques comme un enfant qui s’émerveille de ce qu’il découvre. Chaque nouvelle oeuvre est un pas de géant vers une destinée prometteuse.

    Mary Ducasse

    « Je suis tombée sous la lumière d’un phare, Et les oiseaux avaient leurs ailes, L’eau semblait ruisseler des caniveaux… … Je ne me souviens que de cette vague impression d’abandon Et de l’Amour qui m’enveloppait. » La feuille morte. Mu

    Pour en savoir plus sur Mu Tranier-Alaux vous pouvez cliquer sur « mu sa vie, son œuvre »


  • Chinoises souriantes

    Chinoises souriantes

    Carnets de voyage en Asie, des chinoises souriantes et modernes !

    – Carnets de voyage en Asie

    Des chinoises souriantes et vraiment sympas

    L’on m’avait fait savoir que les chinoises étaient des filles très discrètes et peu souriantes. A ma grande stupéfaction, elles sont adorables et je dirais plutôt extraverties.

    Eh oui mon bon monsieur le monde change et les mentalités aussi. Admirons donc leurs sourires taquins, leur bonne humeur et parfois aussi leur allure altière pleine de classe.

    Un sourire enigmatique !

     

    ©Reportages d’asie et asie reportages

  • Histoire d’amour en asie

    Histoire d’amour en asie

    Rencontres coloniales ou les histoires vraies d’Asie.

    Au commencement cette histoire en asie

    L’amour en asie ou les élans exotiques ; Vietnam juillet 1947, le Nord s’embrase, le Sud s’amuse. Hanoï ne veut plus d’un passé de soumission et lève l’étendard d’une liberté si longtemps enfouie. Des idées nouvelles, un désir d’indépendance, un vent nouveau souffle sur le Tonkin et l’ombre d’un avenir sombre embrase la quiétude tranquille des rizières.

    Saigon, l’insouciante, se perd dans les jeux, s’enivre de fêtes lascives, s’oublie dans la lumière des néons chatoyants. Elle a beau s’étourdir, elle sait que le destin d’un pays la rattrapera bientôt, alors elle exulte dans des frasques démesurées et se laisse mourir de plaisir.

    En ce 14 juillet 1947 alors que les évènements se précisent dans le Nord, dans le Sud un grand bal des débutantes se prépare au le palais présidentiel. Le chef de l’état a invité de très nombreux convives à participer à cette soirée de prestige qui fait rêver toutes les jeunes filles du Vietnam. Elles sont là les sœurs Hô , elle font partie de la fête, ébahies d’être ici dans cette magnifique résidence. Le monde entier leur tend les bras, la terre entière est à genoux devant leurs délicates silhouettes à peine sorties de l’adolescence, elles sont les reines d’un monde qui va s’enfoncer dans une tragédie interminable et douloureuse. Au diable la guerre, rien ne compte plus pour elles que les paillettes et le strass des robes qui scintillent sous la lumière indiscrète des projecteurs.

    Le coup de foudre de l’histoire d’amour en asie  

    Ils sont tous là, généraux aux uniformes rutilants, coloniaux aux costumes impeccables, diplomates à l’allure empruntée, jeunes hommes au regard de braise, belles plantes exotiques prêtes à dévorer les mâles trop peu méfiants, ce sont les derniers représentants d’un monde déjà oublié, un monde en sursis.

    Leur père les présente à son ami, un certain Monsieur Messmer et, manu militari, les invite à aller s’amuser car des affaires fort importantes l’attendent.

    Elle s’appelle Simone et ses sœurs ont pour nom Yvonne, Marguerite et Cécile et viennent du Nord. Elles sont vietnamiennes mais de nationalité française, cette particularité les sauvera plus tard d’une lente descente aux enfers.

    Happées par la musique langoureuse distillée par un orchestre en smoking blanc, elles s’égaient toutes comme des moineaux affolés, éperdues de bonheur, émerveillées, gargarisées par ce luxe exacerbé offert sans pudeur par cette immense salle de réception.

    Le service de sécurité est là tendu, à fleur de peau, l’oeil aux aguets, prêt à intervenir au moindre mouvement de foule, au simple battement de cils, suspectant même leurs propres collègues car aujourd’hui les frontières sont floues, le futur incertain et les amis peu sûrs.

    Paul est le responsable de cette garde rapprochée, il observe les aller- venues de chaque convive, son œil aguerri plonge dans le regard des invités pour en extirper l’essence et ainsi anticiper tout danger. Soudain ce professionnel aux yeux bridés, cet Elliot Ness au cœur de pierre, reste figé devant ce tableau si fragile d’une jeune fille timide et maladroite. Il est là comme tétanisé, seul enfermé dans un silence de glace parmi tous ces gens qui tournoient, s’esclaffent, mangent et boivent.

    Alors Paul, il faut te réveiller, tu n’as pas le droit de rêver, retombe sur terre, ici tous comptent sur toi. Rien n’y fait, subjugué par la belle Simone, il oublie tous ses devoirs, confie à son adjoint la bonne marche des opérations, se défait de ses habits de fonction et revêt un costume valorisant, car monsieur veut plaire, séduire, jouer les fanfarons et assiéger le cœur de la jeune fille drapée dans un magnifique Ao-Aï bordeaux. Il sait à cet instant précis qu’elle sera la femme, la femme de sa vie.

    Histoire d’amour en asie, le stratagème pour conquérir la belle 

    Paul, fin stratège, invite tantôt Yvonne, tantôt Marguerite à des danses endiablées et ne jette aucun regard à Simone qui de surcroît n’en a cure…. D’ailleurs elle n’a même pas remarqué ce garçon follement amoureux qui virevolte avec ses sœurs. Le voilà faisant le beau, il parle haut et fort, se trémousse comme un gardon pris à l’hameçon, le ridicule ne peut rien contre l’amour.

    Paul est fort courtisé par la gente féminine, son charme a déjà fait de nombreux ravages et dévasté de nombreux cœurs de Saïgonnaises. Son père est un homme que tous connaissent, respectent et il est d’ailleurs extrêmement fortuné, puissant et de surcroît un bienfaiteur de l’église.

    Le papa de Simone connaît d’ailleurs bien celui de Paul, ils se fréquentent et s’apprécient.

    Paul, le tombeur de ces dames, a sorti les grands moyens et rien ne pourra arrêter cette machine à broyer le cœur de Simone, ni l’indifférence, ni l’échec et encore moins le ridicule. L’affaire s’annonce difficile car les prétendants sont nombreux et la victoire difficile. Le regard de velours ne suffira pas à capturer, à ensorceler cette jeune fille qui ne pense aujourd’hui qu’à s’amuser au rythme des danses et des rires.

    Paul ne veut pas laisser partir son amour d’asie 

    Pas de répit pour Paul car le lendemain il part à la recherche de sa belle et trouve l’adresse où celle- ci habite. Il passe et repasse devant cette maison aux couleurs de l’amour ; il n’ose pas s’arrêter, hésite, se tâte… Yvonne et Marguerite ont remarqué son manège et l’invite à venir prendre une petite collation que ce dernier accepte avec empressement. Enfin la première défense est franchie et Paul rêve déjà d’une victoire totale où Simone béate tomberait dans ses bras comme un fruit mûr prêt à être cueilli.

    Il pavoise dans cet aéropage de la gente féminine et ne veux plus partir, il s’incruste et même s’invite à dîner. L’on envoie un « boy » à Cholon, le quartier chinois de Saigon, afin de commander un canard laqué, plat uniquement réservé aux convives de choix. Paul tel un pacha en « Pachaterie » se félicite de cette si « inattendue » invitation mais malheureusement une épreuve des plus épouvantables l’attend. Notre séducteur déteste le canard et ce met si délicat le dégoûte au plus haut point, ingérer cette volaille palmée est une torture à sacrifier sur l’autel de l’amour. Paul ne cède pas et prenant son courage à 2 mains avale courageusement le canard qui lui est présenté et dans un rictus des plus hypocrite, remercie la maîtresse de maison d’une si délicate attention.

    Les heures passent, et l’encombrant convive ne se décide toujours pas à regagner ses pénates, il s’évertue à camper près de sa belle qui le trouve aussi collant que du riz gluant.

    Comment se débarrasser de cet amoureux transit qui, de peur de se faire coiffer au poteau par un autre prétendant, ne veut plus quitter des yeux sa « future épouse non consentante ».

    Il est fort tard et voilà qu’il virevolte, fait de l’esprit ne remarquant aucunement les baillements à peine dissimulés de toute la maisonnée. Une telle opiniâtreté amuse et même séduit les sœurs qui ne savent toujours pas pour laquelle cet « ‘énergumène » s’évertue à stationner, sans la moindre gêne chez elles. Etant donné l’heure tardive, la maman propose à Paul de dormir sur place dans la seule pièce disponible celle où réside leur animal de compagnie le « cochon ». N’écoutant que son courage Paul n’hésite pas un instant à accepter de partager son sommeil avec cet animal réputé pour sa propreté légendaire et son ronflement peu délicat.

    Les jours passent et Paul reste sur place, aveugle à la gêne occasionnée, planté tel un chêne indéracinable aux racines tentaculaires ; le cochon est devenu un ami intime, un vrai pote de chambrée à qui il confie son espoir de conquérir le cœur de Simone.

    Comprenant qu’il est impossible de se débarrasser d’un tel phénomène, la famille entière déstabilisée, dérangée mais aussi intriguée attend avec impatience le dénouement, le départ de cette bernique, non bretonne, aux yeux bridés.

    Une vraie histoire sans lendemain dont l’héroïne, l’exotique Simone, en voiture Simone, ne semble pas encore remarquer le manège de Paul dont l’incroyable audace a déjà « tsunamisé » une famille entière.

    Les jours passent et « Mister glue » ne trépasse toujours pas. Vous vous demandez comment cette abracadabrante histoire peut se terminer ?! Et bien rassurez vous car l’étalon italien, oh pardon, vietnamien, se maria avec Simone dans la cathédrale de Saigon soulageant sa future belle- famille d’un si long siège dont l’issue paraissait vraiment improbable.

    Amour quand tu nous tiens

    Qu’est devenu le cochon, fut-il invité à la cérémonie, se laissa t-il glisser vers une dépression d’avoir perdu son co- locataire ? Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard , bien plus tard !

    Amour en asie et me voilà!!!!

    Henri (l’un des enfants du couple)

    Colonial encounters or true stories from Asia.

    Love story in Asia or exotic impulses; Vietnam in July 1947, the North blazes, the South has fun. Hanoi does not want a past submission and raised the standard of freedom so long buried. New ideas, a desire for independence, a new wind is blowing and the Tonkin shadow of a bleak future ablaze the quiet tranquility of the rice fields.

    Saigon, carefree, is lost in games, gets drunk lascivious parties, is forgotten in the light of shimmering neon lights. It was nice to stun, she knows that the fate of the country will catch up soon, so she exults in the exaggerated antics and left to die of pleasure.

    In July 14, 1947 when the events become clearer in the North, in the South a big debutante ball is preparing for the presidential palace. The head of state has invited many guests to attend this prestigious evening that dream all young girls in Vietnam. They are the Ho sisters, she is part of the festival, dumbfounded to be here in this beautiful residence. The world tends their arms, the whole earth is kneeling before their delicate silhouettes barely out of adolescence, they are the queens of a world that will sink into a long and painful tragedy. Damn the war, nothing is more important for them than the glitter and rhinestone dresses that sparkle under the spotlights indiscreet.

    They are all there, the general gleaming uniforms, impeccable colonial costumes, diplomats borrowed allure, young men fiery eyes, beautiful exotic plants ready to devour unsuspecting males too, are the last representatives of a world already forgotten, a world suspended.

    Their father presents his friend, a Mr. Messmer and forcibly, invites them to go have fun, because of very important business ahead.

    Her name is Simone and her sisters are named Yvonne, Cecile and Margarita and go North. They are Vietnamese but of French nationality, this feature will save later a slow descent into hell.

    Caught up in the languorous music distilled by an orchestra in white tuxedo, they brighten all as frightened sparrows, distraught happiness, amazed, gargarisées offered by this shameless luxury exacerbated by the huge reception room.

    The security service is tense, on edge, the eye on the watch, ready to intervene at the slightest movement of crowds, the simple blink of an eye, even suspecting their own colleagues because today the borders are blurred, the future uncertain and insecure friends.

    Paul is responsible for the bodyguards, he observes the allergen came from each guest, his trained eye plunges into the eyes of guests to extirpate the essence and thus anticipate danger. Suddenly this professional slant-eyed, this Elliot Ness in the heart of stone, remains frozen so fragile before this picture of a girl shy and awkward. It is there like paralyzed, only enclosed in a glass of silence among all these people circling, guffaw, eat and drink.

    Then Paul, we must wake up, you do not have the right to dream, falls back to earth, here all counting on you. Nothing will work, captivated by the lovely Simone, he forgets all his duties, his deputy entrusts the smooth running of operations, takes off his clothes and clothes feature a costume rewarding because Mr. wants to please, seduce, play boasters and besiege the heart of the girl draped in a beautiful Ao-Ai burgundy. He knew at that moment that she will be the woman, the woman of his life.

    Paul, strategist, sometimes invites Yvonne, sometimes Marguerite in wild dances and throws no say in addition to Simone who does not care …. Besides, she did not even notice the boy spins madly in love with her sisters. Here he is doing fine, he speaks loud and wiggles like a roach took the bait, ridicule can do nothing against love.

    Paul is very courted by the female, its charm has already made many ravages and devastated many hearts of Saigon. His father is a man that everyone knows, respects and it is also extremely wealthy, powerful and moreover a church benefactor.

    Simone’s father also knows well that of Paul, they attend and enjoy.

    Paul, the heartthrob of the ladies, pulled out all the stops and nothing can stop the machine to crush the heart of Simone nor indifference or failure much less the ridiculous. The case will be difficult because the contenders are numerous and difficult victory. The velvet look is not enough to capture, to bewitch the girl who now think that fun to the rhythm of dancing and laughter.

    No rest for Paul because the next day he goes in search of his sister and finds the address where the latter lives. It comes and goes in front of the house with the colors of love; he does not dare to stop, hesitates, fumbles … Yvonne and Margaret noticed her game and invite him to take a small snack that he accepts with alacrity. Finally the first defense is crossed and Paul already dreaming of total victory where Simone smug fall into his arms like a ripe fruit ready to be picked.

    He decked in this Areopagus of the fairer sex and do not want to leave, he became entrenched and even invite to dinner. One sends a « boy » in Cholon, Saigon’s Chinatown, to order a duck dish only available to guests of choice. Paul like a Pasha « Pachaterie » welcomes this if « unexpected » invitation but unfortunately one of the most horrific ordeal awaits. Our seducer hates ducks and puts delicate disgusted at the highest point, palmate poultry ingest this is torture to sacrifice on the altar of love. Paul did not give in and taking her courage in two hands bravely swallows duck and presented to him in a rictus of more hypocritical, thanked the hostess of a delicate attention.

    The hours pass, and always cumbersome guest not decided to return to his household, he strives to camp near his sister who also found that the sticky glutinous rice.

    How to get rid of this transit lovers who, for fear of being pipped at the post by another suitor, does not want his eyes off his « future wife unwilling. »

    It is very late and now he spins, makes the mind does not noticing the barely concealed yawns of the entire household. Such obstinacy amused and even attracted the sisters who still do not know why this’ ‘rowdy’ strives to park, without the slightest embarrassment at home. Given the late hour, the mother offers Paul to sleep on site in the only room available that in which lies their pet « pig ». Listening only to his courage Paul does not hesitate a moment to agree to share sleeping with that animal known for its legendary cleanliness and little tricky snoring.

    The days pass and Paul remains in place, blind to the inconvenience, such ineradicable oak planted with sprawling roots; the pig has become a close friend, a true friend of barracks to whom he confided his hope to win the heart of Simone.

    Understanding that it is impossible to get rid of such a phenomenon, destabilized the whole family, but also disturbed puzzled looks forward to the outcome, the start of this limpet, not Breton, with slanted eyes.

    True story without a future in which the heroine, the exotic Simone, Simone drive, does not seem to notice the ride of Paul whose incredible audacity has already « tsunamisé » an entire family.

    The days pass and « Mister glue » does not always passes away. Wondering how this bullshit story may end! Well rest assured you as the Italian Stallion, oh sorry, Vietnamese, married Simone in the Cathedral of Saigon relieving his future in-laws for a long siege, the outcome seemed really unlikely.

    What happened to the pig, he was invited to the ceremony, if he slipped into a depression at losing his co-tenant? But this is another story that I will tell you later, much later!

    Henri (one of the couple’s children)

  • Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    drapeau chinoisRecette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Recette chinoise/ cuisine chinoisepoulet-coq-volaille-crête-images-gratuites1-1560x1037

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Recette du poulet blanc à la chinoise et son bouillon

    Ingrédients
    - 1 poulet (fermier de préférence)
    - sauce de soja
    - purée de piments
    - 1 à 3 c à soupe de sauce de poissons selon la quantité d’eau de cuisson
    - coriandre finement haché
    Préparation
    - cuire le poulet dans de l’eau salée
    - dès qu’il est cuit le sortir et le laisser refroidir
    - ensuite découper le poulet en petits morceaux (ex un haut de cuisse en 4).
    - bouillon= eau de cuisson du poulet+ un peu de sauce de poissons+coriandre+poivre
    - déguster le poulet en le trempant dans la sauce de soja+purée de piments et du riz parfumé
    - conseil manger le poulet en alternance avec le bouillon car les goûts sont complémentaires.

    La cuisine asiatique est facile

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci

    SRecette white Chinese chicken and broth

    Chinese Recipes / Cooking chinoisepoulet barnyard poultry peak-image gratuites1-1560×1037

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    White chicken recipe with Chinese and broth

    ingredients
    – 1 chicken (preferably farmer)
    – Soy sauce
    – Mashed peppers
    – 1 to 3 tablespoons fish sauce according to the amount of cooking water
    – Finely chopped cilantro
    preparation
    – Cook chicken in salted water
    – As soon as it is cooked take it out and let it cool
    – Then cut the chicken into small pieces (eg a thigh 4).
    – = Broth chicken cooking water + a little fish sauce + pepper + cilantro
    – Chicken taste by soaking it in soy sauce + mashed chillies and fragrant rice
    – Council eat chicken alternately with broth because tastes are complementary.

     

  • Salade chinoise aux crevettes

    Salade chinoise aux crevettes

    drapeau chinoisSalade chinoise aux crevettes

    (cuisine chinoise/recette chinoise)

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    raper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une rape
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : une goutte de sauce de poisson + une goutte de sauce de soja light

    L’idéal c’est de mettre la sauce au dernier moment

    ***

    ENGLISH

    Chinese Shrimp Salad (Chinese cuisine / Chinese recipe)

    Asian recipes « light » and « diet » easy

    Photo without carrots

    Chinese Recipes

    Chinese cuisine

    Chinese salad with prawns

    Ingredients
    – 500 gr loin pork rind boiled
    – 500g large frozen shrimp without head
    – 3 large carrots coarsely rapped
    – 20 cm in Chinese turnip (or horseradish) cut into filaments
    – Mint leaves (to taste).
    – Fresh coriander (to taste)
    – 2 spring onions

    Preparation
    – Grate the carrots
    – Hand raper Chinese radish (knife and not with rape
    – Decide chest cold and boiled rind (benefit for removing fat)
    – Cook the shrimp and soon cooked, cool by spraying with plenty of cold water and cut them in half lengthwise.
    – Mix by adding mint, onions and cilantro.

    sauce: a fish sauce + a drop of soy sauce drop light

    The ideal is to put the sauce at the last minute

  • Salade de poulet à la vietnamienne

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Recettes asiatiques « light »et « diététiques » faciles

    Salade de poulet à la vietnamienne

    Temps de préparation : 1h sans compter la cuisson du poulet

    Pour 4 personnes :

    Ingrédients:

    • 1 poulet fermier
    • ¼ de choux blanc finement coupé
    • Une petite poignée de champignons noirs
    • 3 belles carottes râpées assez gros
    • Germes de soja ébouillantées au préalable (facultatif). L’idéal pour ce plat c’est de trouver une herbe très rare en France le Jao Jam et en mettre seulement quelques feuilles finement ciselées.
    • Assaisonnement  : Le goût doit être à votre convenance, alors allez-y molo en incorporant l’assaisonnement. Pour un bol
    • Échalotes finement hachées
    • 2 cuillère à soupe de vinaigre
    • ½ bol de Nuoc Mam préparé (en aucun cas pur)
    • ½ bol de jus de poulet

    Préparation

    La veille c’est plus facile, cuire dans de l’eau le poulet dans la cocotte ou bien à la vapeur. Attention bien garder le bouillon ! Le lendemain « l’émietter » en ne gardant ni la peau (ou très peu), ni les os. Mélanger : carottes râpées, oignons, choux, poulet, (germes de soja et jao jam.. facultatif)+ les champignons noirs au préalable réhydratés puis étreints et enfin finement ciselés.

    La cuisine asiatique est facile

    Avec asietralala vous saurez tout sur LA CUISINE ASIATIQUE

    Si vous avez une recette light, diététique et facile n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci