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  • LACHEZ PRISE AVEC SOIZICK FONTENEAU ET SYLVIE DORCHIES

    LACHEZ PRISE AVEC SOIZICK FONTENEAU ET SYLVIE DORCHIES

    SOIZICK FONTENEAU ET SYLVIE DORCHIES

    (A cause des intempéries le stage est reporté à une date ultérieure).

    Pour une journée conviviale et lâchez prise en vous invitant à une transformation. Sachez changer votre logiciel et envolez vous vers d’autres « possibles ». Soizick Fonteneau ( Sophrologue expert) et Sylvie Dorchies (Psycho-sociologue) vous entraîneront durant cette journée vers un véritable changement afin de pouvoir décider de vous engager vers des voies que vous aurez choisies.

    Pour cela 4 étapes:

    • Ouvrir
    • Décider
    • Mobiliser
    • Sentir

     

    Ce « Stage » particulier, loin des sentiers battus, vous permettra de vous délester de nombres d’habitudes et pratiques afin de vous sentir plus léger, plus libre.

    RDV donc avec nos 2 expertes en changement de vie, Soizick Fonteneau ( Sophrologue expert) et Sylvie Dorchies (Psycho-sociologue) le 11 Février 2018 à partir de 10h et jusqu’à 18h.

    La sophrologie

    La sophrologie est une approche de développement personnel1,2,3, qui s’intéresse à l’étude[Comment ?] de la conscience individuelle, dans une approche qui se veut phénoménologique visant à tenir compte de l’histoire personnelle de chacun4. Cette méthode est parfois comparée à l’hypnose5, qualifiée parfois de psychothérapie6,7,8,9, de méthode de relaxation6,10,11,12,13, voire de médecine alternative14. De multiples écoles et pratiques ont émergé depuis la fondation en 1960 de la sophrologie par Alfonso Caycedo, seule l’appellation sophrologie caycédienne est protégée par des droits, et reste liée au fondateur de cette pratique.

    En France, la sophrologie a pénétré le secteur de la santé, notamment le domaine des pathologies chroniques. Ainsi, il n’est pas rare que des patients atteints de cancers se voient proposer[Par qui ?], pendant ou après des traitements de chimio- ou radiothérapie, la pratique de la sophrologie comme « soin de support ». Elle est également utilisée dans le sport et le monde de l’entreprise5.

    SOURCE WIKIPEDIA

    La psychologie sociale

     

    Dans les moments délicats, dans les phases de changement, quelle que soit l’étape de votre vie, comment franchir rapidement et durablement les obstacles et faire émerger le meilleur de vous ?  Une approche pour sortir des turbulences de la vie et préserver un équilibre relationnel.

    La thérapie brève se différencie des psychothérapies habituelles. Suivant ses fondements, on s’occupe du « comment » et non du « pourquoi », c’est « ici et maintenant » que nous cherchons des solutions pour agir différemment et non pas dans le passé. Avec le thérapeute, dans un échange, vous faites équipe pour une exploration commune de courte durée avant de reprendre la route, en autonomie, pour poursuivre l’aventure de votre vie

     

  • L’artiste peintre NAM TRÂN avec le Collectif VITRIOSART

    L’artiste peintre NAM TRÂN avec le Collectif VITRIOSART

     

    Exposition de l’artiste peintre NAM TRÂN avec le Collectif VITRIOSART du samedi 9 décembre  au dimanche 10 décembre 2017 (11h à 19h) à Vitry/Seine(94) près du musée MACVAL sur le thème ‘Sans thème, sans t’aime ou cent aimes’

    Lieu de l’exposition :

    Maison de la Vie Associative, 36 rue Audigeois – 94400 Vitry-sur-Seine

    (à proximité du musée MACVAL)

    Accès :

    Bus 183 direct depuis la Porte de Choisy, arrêt Musée MACVAL

    Autres bus, métro, RER, train, voiture : http://www.macval.fr/francais/pratique/article/comment-venir-au-musee#h3_tdm

    Plan : cliquer sur l’image ci-dessous pour la télécharger nette et agrandie

    L’artiste peintre française d’origine vietnamienne Nam Trân nous donne rendez-vous le week-end des samedi9 et dimanche 10 décembre 2017 à proximité du Musée MACVAL, à La Maison de la Vie Associative de Vitry-sur-Seine (94), où elle expose trois de ses œuvres avec le collectif VITRIOSART.

    Cette année, le thème de cette exposition est ‘Sans thème, sans t’aime ou cent aimes’.

    N.B.: cet horaire du vernissage présente l’avantage de permettre aux participants d’assister ce même samedi 9 décembre 2017 aussi à d’autres événements à Paris et en région parisienne avant ou après leur visite de cette exposition.

    Ces horaires permettent par exemple aux personnes qui assisteront à la dernière des 2 représentations de l’opéra ‘Kim Van Kieu – poème lyrique’ samedi 9 décembre 2017 à 20h à l’église Saint-Merry à Paris 4ème d’assister avant (entre 11h et environ 18h30) au vernissage de l’exposition de Nam Trân. Plus d’informations sur ce spectacle de jeudi 7 décembre et samedi 9 décembre 2017 dans l’article http://wp.me/p5pQgJ-1yH du site internet du MCFV.

    Vente aux enchères : un de ses tableaux (photo ci-dessous) sera mis aux enchères au profit de l’association VITRIOSART avec une quinzaine d’autres samedi 9 décembre après-midi (horaire pas encore fixé ; il sera communiqué dès que possible).

    Tableau de Nam Trân de petit format (20 cm x 20 cm) mis aux enchères le 9/12/2017 :

    Dernier jour de l’exposition : elle se poursuit dimanche 10 décembre de 11h  jusqu’à 19h.

    Cette exposition est une bonne occasion à la fois pour découvrir et aider des artistes et pour l’achat de cadeaux de Noël.

    Contact et renseignements : sur le site internet du MCFV (dans les commentaires du présent article), ou sur le facebook du MCFV https://www.facebook.com/mcfv.eu/

    Pour en savoir plus :

    Le site internet de l’artiste Nam Trân : www.namtran.fr

    http://www.mcfv.eu/nguyen-nam-tran-artiste-peintre/

    http://saviet.fr/nguyen-nam-tran/

    Le site internet du collectif VITRIOSART http://vitriosart.free.fr/ où sont présentées les précédents événements organisés par le collectif Vitriosart

    Affiche de l’exposition collective VITRIOSART :

    Autres annonces de cet événement :

    Article à paraître sur le site culturel https://www.open-mag.net/

    MCFV

  • Olivier MESSAS, au carrousel du Louvre

    Olivier MESSAS, au carrousel du Louvre

      

    Du vendredi 20 (vernissage à 19h) au dimanche 22 octobre 2017, exposition d’Olivier MESSAS, au carrousel du Louvre

    Salon international d’art contemporain : à l’occasion des 10 ans du salon, Olivier Messas participe à l’exposition Art Shopping, au carrousel du Louvre, du 20 au 22 octobre 2017.

    Vernissage le vendredi 20 octobre 2017 sur invitation privée (voir ci-dessous), de 19h à 22h.

    Invitation pour 2 personnes au vernissage du vendredi 20 octobre 2017 :

    http://media.wix.com/ugd/1f64db_979c2103b33548c7bf8033ad3e658c47.pdf

    Olivier Messas expose au stand B95.

    Lieu :

    Carrousel du Louvre 99 rue de Rivoli 75001 Paris – Tél 01 43 16 47 10

    Horaires d’ouverture   vendredi vernissage 19:00–22:00 / samedi 10:00–20:00 / dimanche 10:00–19:00

    Métro Palais royal – Musée du Louvre (lignes 1 et 7)

    Bus 21, 69, 72, 81, N11, N24

    Pour aller plus loin :

    https://www.artoliviermessas.com/

    http://www.mcfv.eu/olivier-messas-artiste-peintre-et-sculpteur-dorigine-vietnamienne-expose-a-la-galerie-da-vinci-paris-2e-du-1er-au-30-septembre-2016/

    Photos de quelques unes de ses œuvres exposées du 20 au 22/10/2017 :

    https://www.facebook.com/artolivier.messas/posts/1238902662920343

  • ‘KIM VÂN KIÊU – Le Musical de NGUYEN DU

    ‘KIM VÂN KIÊU – Le Musical de NGUYEN DU

    Du 21 au 25 juin 2017 (20h30 mer.-sam., 16h dim.) spectacle ‘KIM VÂN KIÊU – Le Musical’, adaptation française par Bui Xuan Quang du chef-d’œuvre de NGUYEN DU, Studio Raspail (Paris 14e)

    L’Attrape Théâtre et Le Cercle Premier présentent ‘KIM VÂN KIÊU – Le Musical’, adaptation du chef-d’oeuvre de NGUYEN DU par Bùi Xuân Quang.

    Mise en scène : Christophe Thiry

    Lieu : Studio Raspail, 216 Boulevard Raspail, Paris 14ème

    Métro : Raspail, Edgar Quinet, Notre-Dame des Champs

    Du mercredi 21 juin au samedi 24 juin : 20h30

    Dimanche 25 juin : 16h

    Durée : 1h20 à 1h30

    Il est recommandé d’arriver en avance, si possible 30 minutes avant le début du spectacle qui est très important.

    Réservations et renseignements :

    buixuanquangparis@gmail.com

    téléphone : 0619031026

    Tarif plein : 18 €

    Tarif réduit : 12 € (étudiants, jeunes sans précision de l’âge limite, demandeurs d’emploi, groupes d’au moins 5 personnes)

    Plus d’informations :

    Le dossier de presse est téléchargeable via le lien  Dossier_presse_KVK

    Autres annonces de cet événement :

    https://www.open-mag.net/kim-van-kieu/

  • Rire jaune ou humour fin, le rire est le propre de l’homme!

    Rire jaune ou humour fin, le rire est le propre de l’homme!

    Y’en a marre de l’humour fin.

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Y’en a marre de l’humour fin.

    Je suis eurasien et mon humour plutôt sans prétention se trouve confronté, trop souvent, aux sarcasmes de la soi disante élite de ceux qui possèdent la science infuse du « rire » de bon goût. Finesse et sens du verbe sont les 2 mamelles de ces gens qui planent au- dessus de la masse laborieuse des « pékins moyens », abrutis par une lourdeur ou le rire se transforme en bouffonnerie clownesque.

    Cette nomenclatura, pleine de dédain, nous débite des citations prélevées dans des textes littéraires, nous les débitent telles des tranches de saucissons et se les approprient comme des biens personnels. Ils se délectent de leurs propres performances qui restent, le pensent-ils, très au- dessus de la moyenne des gens si ordinaires. Mais en regardant de plus près, nous observons que cette pauvre élite est en manque totale de personnalité, car elle vampirise les auteurs, les écrivains, tous ceux qui possèdent le vrai sens de la dérision, le souffle de l’ironie et un talent réel pour nous faire sourire tendrement et finement.

    Quelle tristesse de ne pouvoir faire rire qu’en empruntant à d’autres des bribes de talent. Sans eux cette élite serait inexistante, sans relief et bien fragile. Ils voudraient nous faire croire qu’ils ont le sens de l’humour, mais on n’en voit pas pointer le bout du nez ; ils se terrent pour essayer de nous cacher leur détresse de ne savoir rire que par procuration.

    Trop de finesse tue la finesse et cela devient vraiment très lourd de dire que les « autres » sont lourds. Alors essayez d’être vous-même au risque de paraître ridicule, n’ayez plus peur de l’avis de vos congénères et vivez enfin.

    Rire jaune

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    « Rire Jaune » J’ai souvent ri « jaune » car mal dans ma peau j’arborais une contenance désinvolte et fière. Cette fausse décontraction ne bluffait personne tant mon mal- être suintait à travers mon sourire tendu, mon regard fuyant et ma fébrilité. Chez les asiatiques, cette attitude si constante ne survivrait- elle pas à une histoire coloniale pleine de soumission et de frustration ? Face à une situation dérangeante, deux solutions s’offrent à nous : la colère ou le laisser-aller. La colère est un signe de faiblesse. En revanche le rire est l’élément principal d’un certain détachement. Mais cette dernière est difficile à gérer car elle échappe souvent à notre contrôle, elle s’émancipe et nous joue de très mauvais tours, elle nous montre sous notre vrai jour sans artifice, tout nu. Alors attention, la décontraction ne souffre d’aucune médiocrité, il va falloir la dompter cette « bête sauvage ». Rions mais par pitié pas jaune… Suis devenu un philosophe du rire ?

    Henri Cantonnais

     

  • Carnet de voyage en Chine, festival du tourisme

    Carnet de voyage en Chine, festival du tourisme

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    Carnet DE VOYAGE, Chine , »Festival international du tourisme et de la culture vu par Michel Recullet

    VOYAGE EN CHINE

    - Mercredi 12 :

    Notre avion part pile à l’heure et tel un oiseau tranquille l’Airbus A 340 nous conduit vers une nouvelle aventure chinoise…

    Nous changeons d’avion à Hong Kong : un jumbo nous mènera à Pékin, notre première destination.

    Le trajet m’a semblé court. A bord, nous avons commencé à regarder le programme musical. J’ai sorti la guitare de sa housse pour lui donner un avant goût de l’air chinois.

    Nous arrivons à notre hôtel vers 22 h 30, et nous rencontrons les danseurs de hip hop de Nice.

    - Jeudi 13 :

    Matin : répétition générale dans la cour de l’hôtel en vue du grand spectacle de Pékin. L’orchestre apprend très vite à jouer la chanson qu’Henri va chanter. Il souffre beaucoup quand il la chante : urgence, besoin d’amour… On prend conscience parfois que derrière les carapaces se cache un coeur sensible.

    Ensuite nous répétons notre répertoire plus traditionnel voire musette. Ca prend vite tournure car je suis venu en Chine avec des musiciens qui savent bien s’adapter..

    Ca marche ! Quelques couples dansent autour de nous c’est encourageant.

    - Vendredi 14 :

    Nous sommes allés l’après-midi au marché aux perles. La plupart ont acheté des bijoux, pierres, bagues.

    Nous avons ensuite pris la direction du temple du soleil, véritable joyau au coeur d’un parc verdoyant et regorgeant de belles espèces d’arbres.

    A 17 h Serge entre en liaison avec sa radio RVM FM (93,7) ou www.rvmfm.com.

    Allo Allo Fred, m’entends-tu ?

    et c’est parti pour une émission spéciale :  » les tribulations d’un crépinois en Chine », et soudain Serge se lance.

    « Chers auditeurs bonjour, Serge vous parle en direct de Pékin. » Je suis stupéfait, la liaison est excellente, puis il me passe le téléphone pour exprimer mon avis.

    Ensuite l’animateur nous demande d’interwiever des autochtones. Les interwievés se prêtent au jeu.

    L’atmosphère dans le parc était bien festive en cette belle journée ensoleillée. Nous écoutons une chorale, admirons l’habileté des joueurs qui s’envoient avec les pieds un gros volant de badminton.

    Le soir, nous prenons le métro pour aller flâner dans le centre de Pékin et en profitons pour tourner un clip sur le quai devant une foule de chinois médusés par le caractère insolite d’un tel évènement.

    Notre reporter Ilyana a immortalisé ce moment de folie avec sa camera. Visite nocturne de la place emblématique de la Chine : la place Tien An Mien. Retour un peu chaotique à l’hôtel, métro en réparation, difficulté pour trouver un taxi…

    - Samedi 15 :

    Lever de bonne heure car nous allons visiter la grande muraille, de Chine ,monument incontournable dans tous les sens du terme …

    Je pars sur la droite (j’avais fait la partie gauche la dernière fois ), les marches sont hautes et inégales et il faut reconnaître que l’exercice physique était assez difficile. Néanmoins le panorama le valait bien et récompensait l’effort fourni.

    Après le déjeuner, nous partons vers le podium où nous allons nous produire bientôt dans Pékin.

    Avant de monter sur scène, nous nous mêlons à la foule et leur jouons quelques airs de musette dans une ambiance de rue festive. Nous rencontrons beaucoup de chinois et discutons avec eux par les gestes et le sourire ou l’anglais s’il était compris, ensuite nous nous livrons aux rituelles séances photos …

    Cette ambiance est sympathique et chaleureuse. Notre passage sur scène a été réussi : l’objectif a été atteint.

    Nous rentrons à l’hôtel.

    Le diner est le bienvenu car la journée a dévoré nos calories.

    - Dimanche 16 :

    Comme beaucoup de pékinois, nous allons au marché aux puces. Nous achetons quelques habits et livres (pour ma part, livre des affiches de propagande lors de la réforme agraire, ou encore Tintin en chinois !).

    Après ces achats nous déjeunons dans un restaurant spécialisé dans le canard laqué. Hélas le temps de préparation étant d’une heure, nous devons nous rabattre sur d’autres mets (aussi bons !).

    L’après-midi, nous rejoignons la place Tian An Mien toujours sous un beau soleil, la visite de la cité interdite a été interrompue car l’heure de la fermeture avait sonné. Les couleurs mordorées de fin de journée rajoutent au spectacle une ambiance de bien-être.

    Nous allons nous promener le long d’un canal et respirons avec plaisir dans la fraîcheur de l’après-midi.

    Ensuite promenade dans le centre de Pékin, le coeur de la ville « branché » avec toutes les enseignes à la mode pour les chinois du haut de la pyramide sociale : Ferrari, Rolls Royce, Rollex, Gucci et bien d’autres.

    La soirée est clémente et je profite pleinement de ma promenade. j’observe les lieux avec étonnement :

    Le développement économique chinois est fulgurant, la construction dans les villes avance à pas de géant.

    - Lundi 17 :

    Nous nous rendons dans un beau square, joliment arboré, avec au milieu un grand lac.

    Au cours de la promenade, des accordéonistes débutants et studieux sur des bancs s’essayant à de nouveaux morceaux.

    Si Alain avait été là, il aurait peut-être pu leur prodiguer quelques conseils… Plus loin des joueurs de volants me convient à leur jeu : on doit rattraper le volant et le relancer avec le pied.

    Malgré mes efforts soutenus, suivant leurs directives je ne fais guère de prouesses et ma maladresse pour ce nouveau jeu les fait bien rire et rend la partie sympathique.

    Ensuite, nous sommes conviés à faire tourner des banderoles multicolores dans le ciel et avec quelques mouvements souples du poignet on arrive à décrire de belles arabesques.

    Serge a même réussi à en faire virevolter deux à la fois Nous avons plaisir à participer à ces différents jeux aussi compte tenu de leur extrême gentillesse et de leur patience à nous prodiguer les conseils nécessaires pour ces jeux.

    Après le déjeuner, nous prenons l’autocar pour notre nouvelle destination SHI ZIA ZHENG.

    Nous arrivons le soir pour diner et dès notre arrivée, on nous annonce que la première répétition aura lieu le lendemain à 14 h en vue de la préparation de quelques spectacles à venir. Notre hôtel est un très bel établissement de 5 * Dernières mises au point du spectacle dans les chambres : clowns et musiciens.

    - Mardi 18 :

    Journée noire !

    A la suite d’incidents survenus dans la ville : manifestation violente et voitures brûlées (Henri les a filmées), notre spectacle est annulé. Nous n’avons pas de chance.

    Alors le matin nous partons en car dans un gigantesque centre commercial ultra moderne dont la spécialité est la confection d’articles en cuir « le bonheur des dames » : sacs, chaussures, ceintures, casquettes…

    L’après-midi nous irons nous promener au centre ville, là même où se sont déroulées les manifestations précédemment.

    Après le diner dans un restaurant de qualité, nous rentrons à l’hôtel et en chemin nous tombons sur une « dance party » improvisée sur un trottoir, il y a une sono sur une charrette et l’on danse de partout – tango – madison – disco – c’est spontané informel et très agréable.

    Plus loin un karaoké hurle dans l’air avec un écho artificiel – ce sont des chants chinois, nous ne pouvons donc pas y participer.

    Demain, ce sera la triste séparation entre clowns et musiciens…les groupes se séparent pour des destinations très différentes.

    - Mercredi 19 :

    Au matin nous sommes conviés à une cérémonie avec remise de médailles. Nous faisons une photo officielle avec tous les groupes réunis : cercle celtique de Quimper (KENREN), la troupe hip hop de Nice et nous mêmes, tout ceci dans la galerie d’un peintre célèbre : LIANG YAN.

    Pendant les festivités Karl et moi lançons un blues bien nostalgique annonciateur de l’amertume due à la séparation de notre groupe, certains partent dans le sud de la Chine, les musiciens et quelques clowns à la montagne.

    Arrivés sur les lieux, plus exactement à San Feng Palace, nous attend une scène ronde ou nous commençons un set de chansons typiquement françaises ce qui semblait ravir le public. Le groupe hip hop se produit ensuite sur notre musique un peu funky comme il le souhaitait. Les bretons de Quimper font une belle démonstration de danses. Leurs costumes sont superbes.

    Nous reprenons la main avec une bonne série de chansons. Les clowns qui ne sont plus que quatre déambulent, font des gestuelles pour chauffer le public et nous terminons sur un air breton emblématique : le loup, le renard et la belette pour que nos amis bretons viennent nous rejoindre pour la finale. Nous avons produit une prestation festive et joyeuse, c’était le but essentiel recherché. Monsieur le maire de Moret applaudissait notre intervention, c’était un signe encourageant. Après cela nous prenons un petit funiculaire qui nous emmène vers les sommets et le temple de Quinlong. Nous nous promènerons dans la fraîcheur boisée des cimes. Retour à notre ville étape pour un bon diner. Demain nous quitterons l’hôtel à 8 h 30.

    - Jeudi 20 : Journée marquée essentiellement par un voyage de 9 h en autocar. Arrivée à LUOYANG en fin de journée. Cette ville est la capitale de la pivoine et organise chaque année des festivals réputés.

    Diner, puis un petit tour dans la ville…

    Petite réunion sympathique du groupe autour d’un verre d’alcool de riz qui doit être bu très doucement compte-tenu de sa teneur en alcool.

    - Vendredi 21 :

    Nous allons dans le stadium où se déroulera la grande fête de clôture du festival de Luoyang. Afin de répéter – la scène est immense – il faut s’étaler le plus possible pour remplir l’espace. Il faut dire que nous ne sommes plus que dix ( 5 musiciens et 5 clowns).

    La répétition terminée nous rentrons à l’hôtel pour déjeuner rapidement car en début d’après-midi, nous allons nous produire à nouveau.

    Nous arrivons sur les lieux et ô comble de surprise, sur le fond de la scène, j’aperçois ma photo prise lors de notre précédente venue en Chine. Je n’en reviens pas !

    Cette fois-ci nous allons jouer live « à la force du poignet ». On met à notre disposition des micros et dès que j’entonne « l’amant de St Jean », j’apprécie la qualité de la sonorisation (voix, guitare, accordéon, cuivres et batterie) sonnent au mieux, ce qui nous encourage à faire avec énergie tout le programme. Les musiciens ont bien assuré la prestation , Les clowns ont également donner le meilleur d’eux-mêmes.

    Le public était en liesse, ce soir à l’hôtel il va falloir ouvrir une bouteille de saké pour fêter ça, cela s’impose !

    Après le diner, nous nous promenons dans un vieux quartier de la ville : le spectacle est intéressant : des boutiques, des commerces en tous genres s’offrent à nos yeux : légumes, fruits, poissons…, une image plus traditionnelle et vétuste de la Chine fait le bonheur de nos appareils-photos.

    Nous avons donc fini cette belle journée par un pot de l’amitié dans notre chambre d’hôtel, car il ne faut pas perdre les bonnes habitudes !

    - Samedi 22 :

    Une journée bien remplie nous attend.

    Après un petit déjeuner matinal ; nous voici à nouveau aux portes du stadium pour un immense show télévisé.

    En attendant notre tour, nous sympathisons avec différents groupes folkloriques. Avec une compagnie russe, nous créons la surprise en leur jouant quelques morceaux de chez eux. Les belles chantent joyeusement avec nous, c’est un échange bien sympathique quifait tomber les barrières artificielles entre les peuples.

    Ensuite, voici quelques enfants très « assurés » qui demandent à essayer nos instruments. Nous ouvrons alors 4 ateliers à leur intention : trompette, trombone, batterie et guitare. Leurs essais sont prometteurs, ils apprendront vite car ce sont des habitués du spectacle et de la scène.

    Nous rentrons dans le stadium où mille projecteurs multicolores vont balayer notre prestation. Notre troupe est en place et très motivée malgré le gigantisme des lieux. Les applaudissements crépitent de toutes parts .

    Notre passage a eu le succès escompté, ensuite tous les groupes partent en parade dans la ville et nous devons nous arrêter à 8 podiums successifs pour produire notre show. La température est élevée mais les ovations du public nous encouragent à poursuivre sans relâche…

    Et voilà, c’est terminé !

    Le repas bien mérité, arrosé de bière bien fraîche et gouleyante couronne cette matinée très active.

    Et voici le temps de la visite : nous découvrons un superbe temple (celui du général GUAN YU) dont je ne vous ferai pas l’historique, reportez-vous à vos guides favoris !

    C’est bien sur dans la sérénité que nous traversons cet endroit. Des fumées montent vers le ciel, les cierges brûlent pour exhausser les voeux…on vient ici pour prier et se recueillir.

    Nous allons à la cité troglodyte de Long Men. Je l’avais déjà vue. C’est un plaisir de la redécouvrir avec ces milliers de sculptures à même la roche. C ’est un merveilleux travail d’orfèvre. Les siècles sont passés par là et toute une histoire des civilisations a traversé ces lieux magiques.

    Retour en bateau sur le fleuve YU.

    Un petit verre de saké pour clôturer cette journée riche en évènements.

    - Dimanche 23 :

    Départ matinal pour des régions montagneuses, c’est le brouillard complet mais c’est magique. Les tunnels s’enchaînent et bientôt c’est l’arrivée au manoir superbe d’un professeur officiel du premier empereur Ming : HUANGCHEN village Nous visitons tout le village avec ses multiples temples, jardins, cours intérieures, villas. C’est une succession de merveilles, l’édifice est vaste et grandiose.

    Voici que la télévision m’interwieve et l’on me demande mes impressions sur ce site, je ne peux que multiplier les commentaires favorables et j’ exprime toute l’admiration que je porte à cette culture asiatique insistant sur la grande sérénité qui se dégage de cet endroit magique.

    Après un déjeuner tumultueux au milieu de 1600 festivaliers venus de tous les coins du monde, nous allons vers l’amphithéâtre où tous vont se produire. Nous monterons sur scène après nos amis belges, et la prestation est concluante, les applaudissements nous font chaud au coeur, chacun ayant donné le maximum.

    Nous faisons quelques photos puis nous reprenons une longue route de 2 h 30 pour rejoindre notre hôtel pour un diner tardif. A la fin du diner, notre charmante guide nous remet nos diplômes honorifiques de festivaliers et puis surtout la coupe que nous avons remportée récompensant l’ensemble de nos prestations.

    Journée fatigante mais qui laissera de beaux souvenirs.

    Il faut faire les bagages car demain, nous repartons en train à Pékin. Ne prononcez pas le mot  » valise » car sans clef vous ne pourrez plus l’ouvrir à moins qu’un serrurier malin ne vienne vous prêter main forte !

    - Lundi 24 :

    Dernière visite : le temple du cheval blanc qui nous plonge à nouveau dans la méditation et la sérénité.

    Après le déjeuner, les valises s’entassent méthodiquement dans notre minibus, il nous faut partir à la gare.

    Départ pour Pékin à 19 h (c’est un train de nuit). Nous prenons dans le compartiment le dernier verre de l’amitié : un alcool de riz encore nettement plus violent que ceux que nous avions goûtés précédemment, mais avec les amuse-gueules, le liquide s’adoucit sur nos papilles.

    Arrivée à Pékin à 6 h du matin, nous prenons le bus de l’aéroport, l’ambiance est glauque, il pleut. Nous passerons presque toute la journée dans ces lieux à attendre l’avion du soir.

    Dragon air nous emmène à Hong Kong, transfert, et direction finale sur Cathay Pacific pour Paris.

    Bien entendu nous arrivons à Roissy sous la pluie.

    Ma guitare n’est pas là à l’arrivée à Roissy,( elle n’avait pas envie de rentrer à Paris), elle reviendra finalement le lendemain. L’accordéon d’Alain qui a rendu de bons et loyaux services en Chine n’a pas supporté le retour et a rendu l’âme victime probablement d’une manutention brutale. `

    Ainsi s’achève le séjour , et ma conclusion sera de dire que les participants avec leurs personnalités différentes ont constitué un groupe soudé, amical et bien sympathique, tout le monde ayant accompli sa tâche avec motivation et bonne humeur.

    Contrat rempli, mon cher Henri !

    Un grand bravo à tous les artisans de cette réussite.

    Michel RECULLET

  • ‘Cabaret Jaune Citron’ de Stéphane Ly-Cuong

    ‘Cabaret Jaune Citron’ de Stéphane Ly-Cuong

    Bretagne Viet-Nam présente ‘Cabaret Jaune Citron’ de Stéphane Ly-Cuong samedi 13 mai 2017 à 20h30 à Rennes

     

    By | mai 12, 2017

    Merci de diffuser ces informations à vos relations qui pourraient être à Rennes ce samedi 13 mai à 20h30

    pour voir ou revoir cette représentation exceptionnelle de ‘Cabaret Jaune Citron’ organisée par l’association humanitaire ‘Bretagne Viet-Nam’.

    Ce spectacle musical à la fois émouvant et très amusant, porte sur des thèmes en relation avec la double culture, l’identité et l’intégration de Français d’origine vietnamienne, etc.

    Il est très bien co-écrit par son talentueux metteur en scène d’origine vietnamienne, Stéphane Ly-Cuong,
    et très bien interprété par d’excellents jeunes comédiens d’origine asiatique (Corée, Laos, Vietnam),

    Il mérite le déplacement.
    A recommander à tous (pour toutes les générations) !

    Ce 13 mai 2017 après-midi, il restait encore quelques places.

    Entre le regard des autres qui ne la trouvent pas assez asiatique et celui de sa famille qui la trouve trop française, comment trouver l’équilibre ?

    A la trentaine bien passée, Yvonne rêve toujours de devenir une star de comédie musicale tandis que sa mère aimerait qu’elle épouse une carrière médicale.
    Yvonne s’obstine malgré tout à vouloir poursuivre son rêve mais se heurte à tant d’obstacles qu’elle en arrive à remettre en question des espoirs, ses envies et sa propre identité.

    Un voyage sur la terre de ses origines la réconciliera peut-être avec elle-même.

    Qui est  Stéphane Ly-Cuong!

    Quand Stéphane Ly-Cuong parle de comédie musicale, il entend aussi bien Stephen Sondheim que Chantal Goya ! « Mes émerveillements d’enfants sont liés aux spectacles de Marie-Rose, aux films de Walt Disney et de Jacques Demy » confie-t-il avec le sourire de celui qu’amuse cet apparent paradoxe. Il avoue avoir été durablement marqué par ce cinéma qui « devient encore un peu plus magique dès qu’on y chante et qu’on y danse« . Il y a sans doute puisé son ambition d’en faire un jour sa profession.

    Un martien à New York

    Il a fait ses études pour apprendre la réalisation à Paris puis New York mais, entre temps, il s’est découvert une seconde passion. « A 18 ans, je suis allé à Londres où j’ai vu coup sur coup Les Misérables et Miss Saigon de Boublil et Schönberg. Quel choc !« . Logiquement, il élargit son horizon musical en écoutant des disques, en allant voir des spectacles. « Par la suite, à New York, j’ai vécu dans une ville où le musical est une industrie reconnue, pas une aberration ! Je pouvais entrer dans un magasin de disques et chercher le rayon ‘comédies musicales’ sans plus passer pour un martien !« .

    De retour à Paris où, à l’époque, il n’y avait toujours que l’ « increvable » Starmania, il fait un petit détour par le journalisme et devient entre autres le correspondant français de Playbill-On-Line. Il réalise également quelques films en vidéo avant d’écrire et de réaliser son premier vrai court-métrage cinéma. Choisi avec 12 autres scénarios à la suite d’une sélection dans le cadre de la Mission 2000, il a ainsi pu bénéficier de subventions et d’une structure de production dédiée.

    Chanter ses sentiments
    La jeune fille et la tortue est film délicat qui rend poétiques les hautes tours du 13e arrondissement. C’est aussi un film rare parce que délibérément à contre-courant d’un cinéma marqué au front par la fracture sociale. « Je rêvais depuis longtemps de mêler des éléments de contes traditionnels – et tout le côté naïf que cela implique -, avec le Nouvel an chinois et la solitude des femmes célibataires de 30 ans. Ces différents éléments ont fusionné pour former La jeune fille et la tortue. Mon héroïne est enfermée dans sa culture, imperméable aux autres. Mais peu à peu, elle va se rendre compte du monde qui l’entoure. Et se réconcilier avec lui. Je sais que la tendance est au réalisme social mais moi, je ne veux pas faire des choses déprimantes. J’ai voulu faire de mon film une respiration, une parenthèse. C’est un peu un OVNI dans la production actuelle« .

    Stéphane a pu tourner cet « OVNI » avec un budget très serré grâce à la participation amicale de la plupart des intervenants. « Un ‘court’, c’est le passage obligé pour pouvoir un jour faire un long-métrage. C’est un peu comme une carte de visite« . Et pour lui, quelle carte ! Son scénario a en effet séduit deux professionnels chevronnés qui ont accepté de jouer dans son film : Barbara Scaff et Jérôme Pradon. Il a découvert son héroïne dans la distribution des Misérables au Théâtre Mogador il y a quelques années, avant qu’elle ne fasse la carrière que l’on sait, en particulier au sein de la troupe de Roger Louret. « Barbara a en elle cette nostalgie, et en même temps ce dynamisme, que je voulais donner au personnage« . Quant à Jérôme Pradon, lui aussi était dans les « Miz« . « Pour beaucoup de jeunes artistes, le voir dans le rôle de Marius a été un grand choc. Moi, j’ai tout de suite eu envie de travailler avec lui ». Depuis, Jérôme est devenu le Français le plus célèbre des scènes anglo-saxonnes et partage désormais sa vie entre Londres et Paris. « Je lui avais déjà parlé d’un film que je voudrais faire mais, en attendant, j’ai écrit le personnage du frère de Barbara en pensant à lui« . Un rôle court mais marquant ainsi qu’une très belle chanson. Car, bien sûr, La jeune fille et la tortue est un film musical. Stéphane a écrit les paroles des chansons que Patrick Laviosa a mises en musique. « Dans ma propre vie, j’adorerais chanter mes sentiments ! « .

    Le doute du moment où l’on crée…
    Depuis sa première en octobre dernier, le film a été projeté dans de nombreux festivals et presque chaque fois, Stéphane se rend sur place pour en parler. « Un film n’est réellement terminé que lorsqu’on a fini de le défendre. Donc, là, je ne fais que commencer ! « , déclare-t-il. Néanmoins, le voilà déjà qui pense au prochain… ou plutôt aux prochains. « Je prépare un long-métrage mais en attendant, je travaille d’abord sur un nouveau court. Il sera plus disco, plus gay mais gardera néanmoins la part d’irréel que lm’on trouvait dans La jeune fille et la tortue.L’écriture est un moment où je doute beaucoup. Après, quand le film est terminé, je suis plus serein parce que de toute façon, ce qui est fait est fait mais là, j’en suis encore à l’instant où un bon choix ou un mauvais choix peuvent faire toute la différence« .

    Lors d’une projection récente, commentant la rencontre surprise qui vient clore La jeune fille et la tortue, un spectateur a commenté tout fort dans la salle : « Hé, mais c’est du Disney !« . « D’autres auraient peut-être pris ça pour une critique mais pas moi » explique le jeune réalisateur. Normal pour quelqu’un qui a grandi avec Mary Poppins et Peau d’Ane ! Et de conclure pourtant : « Je ne fais pas vraiment du premier degré. Je ne sais pas si c’est visible mais, derrière la candeur, la naïveté, il y a un petit sourire en coin« . Un petit sourire en coin, c’est tout Stéphane !

    La jeune fille et la tortue
    Court-métrage musical écrit et réalisé par Stéphane Ly-Cuong.
    Avec : Barbara Scaff, Jérôme Pradon, Quang Tri Truong et la voix de Marie-Thérèse Orain.
    Musique originale : Patrick Laviosa.

    Une jeune femme française, désabusée par la vie et l’amour, mène une existence recluse dans le quartier chionis de Paris. Une rencontre inattendue avec une tortue qui parle lui réapprendra à vivre et à aimer.

    Stéphane Ly-Cuong

  • LE CRAFV organise son Gala annuel, Dimanche 2 Juillet 2017

    LE CRAFV organise son Gala annuel, Dimanche 2 Juillet 2017

    CONCOURS « LA VOIX FRANCO-VIETNAMIENNE » – GALA du CRAFV dimanche 2 juillet 2017

    Communiqué du CRAFV

    Le CRAFV (Conseil Représentatif des Associations franco-vietnamiennes de France) organisera un GALA le Dimanche 2 Juillet 2017 au restaurant CHINE MASSENA  (96, Boulevard Masséna, Porte de Choisy Paris 13è).

    L’objectif du gala est de promouvoir la double culture et l’ouverture d’esprit du CRAFV à toutes les Associations franco-vietnamiennes en prolongement de la fête de la musique.
    Le gala sera organisé autour d’un concours de chant réservé uniquement aux amateurs d’origine vietnamienne et se déroulera comme suit :

    • de 16h à 19h: sélection des 10 finalistes sur les 20 candidats qui auront été préalablement retenus à partir de leur vidéo
    • de 19h à 21h: dîner dansant avec orchestre et la chanteuse Thanh Thanh ;
    • de 21h à 22h30: sélection du gagnant dans chacune des deux catégories (« Chanson vietnamienne » et « Chanson française ») ; les 10 finalistes chanteront une chanson différente de celle de la précédente sélection afin de les départager ;
    • de 22h30- 23h30: Bal avec THANH THANH et annonce des 2 GAGNANTS.

    (PRIX: 1 billet aller/retour Paris-CDG/Vietnam pour chaque gagnant)

    Les candidats doivent envoyer la vidéo ou le lien YouTube de leur chanson choisie par e-mail à hung.dinh@free.fr au plus tard le 31 mai 2017.

    La pré-sélection des 20 candidats (via les vidéos) qui se présenteront en ‘live’ lors du gala, sera assurée par un Jury composé de :

    – M. TRAN DINH Nam Anh: musicien, directeur de la chorale J.VOX

    – M. Jules TAMBICANNOU: musicien

    – Mlle Marie Ann TRAN: Comédienne /Chanteuse

    – Mlle THANH THANH: chanteuse

    – M. DINH Hung: Coordinateur du Comité d’organisation du GALA.

    Chaque membre du Jury notera les participants de 1 à 10 suivant trois critères:

    –        la voix, le rythme et l’interprétation de la chanson.

    Les 20 candidats qui auront obtenu les meilleures notes seront retenus pour la présentation en public le Jour du gala, le dimanche 2 juillet.

    Le 15 juin 2017 au plus tard, les noms des 20 chanteurs amateurs retenus pour le concours final lors du gala seront annoncés sur le site internet du CRAFV www.crafv.org.

    La nomination des 10 finalistes et le choix des gagnants de chaque catégorie (Chanson française ou vietnamienne) sera assurée par un Jury professionnel composé de 6 membres (dont les membres du jury de pré-sélection disponibles le 2 juillet renforcés par d’autres professionnels du monde musical).

    Le CRAFV remercie d’avance toutes les Associations franco-vietnamiennes de communiquer sur le GALA et le CONCOURS DE CHANT et de motiver tous leurs membres à partager cette information sur les réseaux sociaux, les sites internet et par e-mail ou d’autres canaux de communication.

    – Ce communiqué est téléchargeable : COMMUNIQUE CONCOURS LA VOIX FV 2017 version finale

  • Spectacle d’écologie et respect de la nature

    Spectacle d’écologie et respect de la nature

    Ecologie et spectacle

     

    Compagnie Show en Ville

    En général tous les messages sont mieux compris et intégrés par les jeunes enfants. Plus ils sont petits, plus ils sont intéressés par les messages de tri sélectif, recyclage ou d’environnement en général. Capter leur attention passe par une communication particulière, par les notions de couleurs, par le spectacle vivant à la fois interactif, musical et visuel.

    Les spectacles sont les courroies de transmissions idéales afin de transmettre efficacement aux générations futures tous les messages de développement durable. Une « influence » ludique et didactique permettra aux différentes « notions » d’écologie de passer tout en souplesse et aussi de réaliser un vrai travail de fond.

    Une compagnie de théâtre (la Cie Show en Ville), spécialisée dans le domaine des « comédies musicales pour les enfants » a su apporter un souffle nouveau en créant depuis plus de 20 ans des spectacles efficaces, ludiques et évidemment interactifs. Que ce soit dans le cadre de la sécurité routière, de la prévention des dangers domestiques ou de l’écologie la compagnie de Show en Ville a toujours su inventer de nouveaux concepts pour distiller de vrais messages faciles l’attention des enfants.

    Les chansons, la magie, les couleurs ou les « clowneries » sont des armes indispensables pour motiver les enfants. Le prix « Talent » (avec Renault, la prévention routière, la préfecture de Paris…) a d’ailleurs été attribué à la Cie Show en Ville (SEV) pour ses concepts résolument novateurs.

    Dans le cadre de la COP 21 la Cie Show en ville est partie pour une grande tournée en Ukraine avec un spectacle spécifique d’écologie: « Au secours sauvons la terre les enfants ». Des milliers d’enfants des Alliances Françaises ont accueilli la troupe de Show en Ville enthousiasme. Différents messages de tri sélectif, du cycle de l’eau, d’environnement ont été bien compris par nos amis d’Ukraine.

     

    Site Show en ville

    Contact 06 62 63 15 10

     

    Site Show en ville

    Contact 06 62 63 15 10

  • Je suis un adepte des voyages en Asie (Photos)

    Je suis un adepte des voyages en Asie (Photos)

    Etat d’âme d’un amoureux de l’Asie.

    Carnet de voyage en Asie

    Partir au bout du monde c’est déjà me noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette asie grouillante, colorée et pleine de vie. Jamais de mauvaises surprises car les sourires seront certainement au rdv. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous. A l’affût de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques. En Asie je me sens serein, zen et en accord avec moi- même.

    Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables bien que rester dans les traces des agences de

    voyages est une incongruité insupportable. Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique…Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. J’aime me promener à la découverte de ce petit supplément d’âme que me procurent ces pays que j’adore. J’ai juste l’impression, enfin, que je vis. Mais à travers des  films comme , l’auberge du 7ème bonheur, la canonnière du Yang Tsé ou les 55 jours de Pékin je me surprends à voyager dans le temps aux frontières du passé. L’Asie restera toujours mystérieuse  et énigmatique.

    Carnets de voyage en Asie