Étiquette : cap

  • Papa m’a sauvé la vie, un thriller indochinois, histoire vraie au   au Vietnam.

    Papa m’a sauvé la vie, un thriller indochinois, histoire vraie au au Vietnam.

    Papa m’a sauvé la vie, un thriller indochinois, histoire vraie au   au Vietnam.

    Papa m’a sauvé la vie

    Hôpital Graal, hôpital français, Vietnam, Saïgon 1951, une chaleur moite s’immisce dans le plus profond de notre corps. Une activité perpétuelle, le va et vient des médecins français, la frénésie des infirmiers indigènes aux blouses tâchées et le brouhaha omniprésent…

    l’entrée de l’hôpital (Vietnam)

    Soudain un homme surgit, une femme lui emboîte le pas un bébé dans les bras. Ce dernier cherche un lit car son enfant ne semble pas en bonne santé, il s’énerve, vocifère et provoque au sein de l’hôpital, un véritable attroupement bruyant et gênant. Le fonctionnaire Français eurasien ne comprend pas que son enfant ne puisse pas être soigné dans cet hôpital qui en principe lui est réservé en priorité. Les riches commerçants chinois ne s’embarrassent pas de préjugés moraux et donnent en sous- mains au personnel des milliers de piastres ( monnaie officielle de l’époque), ils s’accaparent tous les lits. Le ton monte, les cris font place aux demandes formelles.

    la vie à l’hôpital Graal (Vietnam)

    Le papa anxieux sent bien que tout lui échappe et que seul le pouvoir de l’argent pourrait peut-être donner à son enfant un véritable avenir, un espoir de survie ; il ne comprends pas qu’un hôpital destiné à alléger les douleurs humaines puisse abandonner un enfant à une typhoïde dévastatrice. Une maladie impitoyable qui a décimé des dizaines de nourrissons dans tout le Vietnam déjà déchiré par des guerres sans lendemain. Sa colère alors éclate, incontrôlable comme une vague déferlante puissante et rageuse.

    Brusquement il dégaine son pistolet de service et le brandit vers le personnel ahuri. Une peur diffuse, fantomatique étouffe les bruits comme une chape de plomb lourde et angoissante. Les regards se croisent inquiets et interrogatifs. Ce père aux abois est capable de tout, la folie le guette, et il est prêt à tuer pour sauver son enfant. Le médecin-chef surgit brusquement et comprend immédiatement que le drame est là, tapi dans l’ombre. Il décide dans une fraction de seconde d’accorder un lit.

    Immédiatement le climat de tension disparaît et comme par magie le pistolet se volatilise remplacé par l’immense sourire de ce père rassuré et plein de gratitude. Sa femme toute menue dans un délicat ao daï de soie, lance à l’assemblée émue son regard rempli de larmes .

    Le lendemain, mon papa et ma maman sont revenus à l’hôpital Graal les bras remplis de bouteilles de champagne. Ils décidèrent par la suite de quitter définitivement le Vietnam pour ne plus jamais y revenir. Pour eux je suis revenu.

    Copyright © 2006-2009 – OpenMag- Tous droits réservés

  • Vietnam, la langue perdue

    Vietnam, la langue perdue

    Au revoir Vietnam ou le mystère de la langue perdue.

    Le mystère de la langue perdue.

    Vietnam, un pays qui souvent laisse rêveur.

    Aussi loin que je me souvienne, le français, la langue française, a toujours été pour moi un moyen simple que j’utilise sans difficulté particulière, qui reste docile comme une amie. D’autres vocifèrent, pestent contre cette langue si compliquée à dompter qui reste sauvage pour la plupart de nous.

    En classe,mon imagination vagabondait d’histoires étranges en récits romanesques. Rien dans ma scolarité ne me prédisposait particulièrement à cette facilité. Dans mes rédactions colorées et pleines de d’aventures, je couchais sur le papier mes rêves les plus fous, mes espoirs les plus extravagants. Ces histoires faisaient le tour des classes car mon style, si saugrenu fut-il, plaisait aux élèves mais, étrangement, aussi aux professeurs. Avais-je mérité ces éloges unanimes ? Ces rédactions passaient de classe en classe faisant l’admiration de mes congénères !

    Il faut pourtant avouer qu’en mathématiques, je frôlais souvent le zéro pointé, qu’en histoire et géographie, mes notes inlassablement restaient en dessous de la moyenne et qu’en langue étrangère mon accent était l’objet de nombreuses plaisanteries.

    Mais en revanche en « rédac »…j’atteignais les sommets ! Des 19/20, des félicitations, en veux tu en voilà…Où avais je donc appris les syntaxes, l’orthographe, la conjugaison où simplement le style ? Je suis arrivé tout droit du Vietnam et je ne parlais strictement que ma langue maternelle. Tout cela était-il dû à une potion magique ou au travail acharné de votre serviteur ? Euh, travail acharné serait un doux mensonge.

    Mon père désirait ardemment l’intégration de tous ses enfants dans la société française, mais malheureusement, la barrière de la langue restait un obstacle presque insurmontable.

    A l’âge de 4 ans ils me laissèrent chez une nourrice française et quand ils revinrent un mois seulement plus tard, mon frère et moi, avions totalement oublié le vietnamien, nous ne nous exprimions plus qu’en français. Notre langue maternelle était ensevelie dans une trappe sans fond. Je reconnais les mots et certaines phrases, je baigne dans les accents toniques mais je ne parle pas, je reste muet aux questions comme muselé.

    Les années sont passées et je souhaite réapprendre le vietnamien, mais il me semble, aujourd’hui que je n’ai aucune prédisposition particulière pour cette langue « étrangère » !

    Un pays lointain, le Vietnam, mon pays !!!

    Un internaute « nostalgique »

  • Carnets de voyage en asie, Chine ou la culture de la bouffe

    Carnets de voyage en asie, Chine ou la culture de la bouffe

    Carnets de voyage en Asie, Chine ou la culture de la bouffe

    Carnets de voyage en asie

    Je suis un un globe-trotteur invétéré et je traverse l’Asie toujours avec délectation. Mes voyages me laissent inévitablement comme un goût de culture culinaire au fond du palais.

    Des odeurs, des senteurs et des couleurs réveillent mes papilles laissant dans la bouche des souvenirs presque palpables. En Chine manger est une seconde nature, et l’on ne dit pas « bonjour » mais  » as tu mangé ». Suite à de grandes périodes de famine, l’on dit que les chinois ingurgitent tout ce qui vole, sauf les avions et tout ce qui a quatre pattes, sauf les bancs.

    Un telle profusion de nourriture sur tous les étals m’a toujours étonné. Dans les restaurants, souvent grands comme des halls de gare, la présentation des plats me donne le tournis. Sur de longues tables interminables une multitude de « gourmandises » inconnues s’étalent devant mes yeux m’invitant à choisir des « Bizarreries » venues d’ailleurs.

    La grande difficulté est de choisir car nous cherchons souvent à faire des comparaisons avec notre propre cuisine et parfois après une longue hésitation et un choix « cornélien » nous nous apercevons que le goût ne correspond en rien à nos attentes.

    Comme dans un musée je vais visiter ce pays extraordinaire où l’odorat, la vue et le goût s’allient pour mon plus grand plaisir.

    ©Reportages d’Asie et Asie reportages

    Copyright © 2006-2009 – Open Mag- Tous droits réservés

  • Shanghaï du début de siècle.

    Shanghaï du début de siècle.

    Wanted, des infos de Shanghaï du début de siècle.

    Quand une bretonne part à la recherche de détails de la vie de son grand-père qui a vécu à Shanghaï de 1922 à 1934 dans la concession française.

    Avis à tous ceux qui auraient des informations sur la vie des français dans les concessions à cette époque, sur les traversées en paquebot et leurs escales (Paul Lecat, Empress of Canada ou le Bremen) ou via le Transsibérien !

    Mon grand-père, Eugène Fonteneau, est arrivé à Shanghaï à bord du paquebot Paul Lecat en 1922. Il avait 18 ans et allait avoir pour mission de diriger les réparations des navires, de guerre pour la plupart italiens, portugais, américains et français pour la société Kiou sin Dock dont les Messageries Maritimes avaient des parts majoritaires semble-t-il. Il a travaillé avec Etienne Sigaut, Mr Le Scour et Mr Laurent. Il a vécu dans les années fastes de la concession, période au cours de laquelle le jeu, l’opium et la prostitution étaient à leur apogée. J’imagine que mon grand-père a dû bien profiter de la vie même s’il travaillait beaucoup. J’ai quelques notes sur sa vie en Chine, mais je souhaite en savoir plus. Il nous a longuement parlé de dîners protocolaires où on lui servait plus de 20 plats (chinois), les plus raffinés les uns que les autres, mais j’ignore à quoi cela pouvait correspondre. Il a également vécu l’attaque des japonais à Shanghaï en 1932 et a fait quelques allers-retours en France. Il quitte la Chine définitivement en 1934 et restera marqué toute sa vie par cette riche expérience.

    Si quelqu’un a des informations sur les relations entre les français et les chinois ou autres communautés présentes dans les concessions, ou les personnes avec qui il a travaillé, merci de me les transmettre :

    Mon contact

  • Voyager au Vietnam : infos pratiques

    Voyager au Vietnam : infos pratiques

    Voyager au Vietnam : des infos pratiques

    Voyager au Vietnam : des infos pratiques

    Géographie

    S’étendant sur 331 688 km², le Vietnam, Viet Nam – « le Sud des Viets », peut être divisé en 3 régions, correspondant aux anciennes régions historiques : le Sud (Cochinchine), le Centre (Annam), et le Nord (Tonkin). Le pays est très montagneux (80% de sa surface) et compte de vastes étendues de forêts tropicales (42%).

    Le Sud,capitale Ho Chi Minh City (ex-Saigon), est divisée entre les rizières du delta du Mékong et les montagnes souvent couvertes de jungle, notamment à la frontière cambodgienne. Le delta, couvrant environ 40 000 km², est à moins de 3 mètres au dessus du niveau de la mer et sillonné de rivières et de canaux. Les sédiments apportés par le fleuve sont tels que le delta avance de 60 à 80 mètres par an. C’est une région de rizières et de vergers.

    Le Centre,capitale Da Nang, inclue de hauts plateaux peuplés de minorités, une côte découpée avec de nombreuses plages (Hoi An, Nha Trang, Mui Ne) et trois principaux sites historiques : la vieille (2200 ans) ville de Hoi An, les ruines Cham de My Son, et l’ancienne capitale de Hue, avec sa citadelle et ses tombeaux impériaux.

    Le Nord, capitale Ha Noi, qui est également celle du Vietnam, consiste en une large plaine formée par le delta du Fleuve Rouge (15 000 km²) et de montagnes de plus en plus élevées, parsemées de petites vallées et culminant à 3143m au Mont Fan Si Pan. Toute la région longeant la frontière chinoise est un époustouflant capharnaüm de montagnes et pics karstiques, vallées encaissées, et canyons. C’est dans le Nord que se trouvent 2 sites uniques au monde : la baie d’Halong, à 160 km au nord d’Ha Noi, et la baie d’Halong terrestre de Tam Coc à 100 km au sud.

    Climat

    À cause des différences de latitude et du relief très marqué, le climat varie considérablement du Nord au Sud, avec une différence marquée entre les côtes et l’intérieur montagneux :

    Le Nord :

    Climat parfait en octobre-novembre et avril-juin : températures entre 21 et 28º. La meilleure période pour visiter le Nord. Décembre à mars : L’hiver y est généralement ensoleillé, mais froid (12-15º dans la plaine, 5-12º en montagne). Juillet-fin septembre est la saison “d’été”, avec des températures de 30 à 40º et, parfois, des pluies violentes.

    Le Centre :

    Février-mai est la meilleure période, la moins bonne étant de septembre à fin janvier (fortes pluies ; typhons en septembre et octobre). Le climat est beaucoup plus frais sur les Hauts Plateaux (Dalat, Buon Ma Thuôt) que sur la côte.

    Le Sud :

    Février-mai est la meilleure période, la moins bonne étant de septembre à fin janvier (fortes pluies ; typhons en septembre et octobre). Le climat est beaucoup plus frais sur les Hauts Plateaux (Dalat, Buon Ma Thuôt) que sur la côte.

    Population et religion

    Le Vietnam compte 85 millions d’habitants. 86% de la population est viet (Khin), concentrée dans les deltas, les plaines côtières, et les grandes villes. Le reste est composé de 12% de 54 minorités ethniques (H’mongs, Thais, Dao, etc.), vivant surtout dans les montagnes et petites plaines intérieures, et qui gardent férocement toutes leurs traditions. On compte également 2% de chinois.

    Beaucoup de religions cohabitent au Vietnam, du bouddhisme au confucianisme et au catholicisme (8% de la population), taoïsme, animisme (chez les tribus montagnardes), et quelques musulmans chez les Chams de la frontière cambodgienne. Religieux ou non, les Vietnamiens pratiquent tous le culte des ancêtres, et voir un crucifix au dessus de l’autel des ancêtres n’est pas une rareté.

    Visa

    Tous les étrangers (sauf les citoyens de quelques pays) ont besoin d’un visa pour entrer au Vietnam. Le visa Touriste normal est de 1 mois, renouvelable sur place. Il peut être obtenu soit dans un consulat, soit à l’arrivée dans un aéroport seulement, avec une lettre d’invitation des services d’immigration. Un visa Touriste de 3 mois peut être obtenu seulement avec une lettre d’invitation. Les visas Affaires sont de 1 à 3 mois et ne peuvent s’obtenir que dans les consulats.

    Santé

    La malaria n’est plus présente que dans les jungles éloignées, et un traitement préventif n’est donc pas indispensable. Il est recommandé de ne consommer que de l’eau en bouteille. Si vous utilisez des médicaments spéciaux, il est préférable de les amener, bien que l’on trouve dans les grandes villes d’excellents hôpitaux et des pharmacies bien achalandées. A l’intérieur, on trouve partout des dispensaires.

    Alexandra de Forcille

  • Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie

    Humour, blagues et histoires drôles d’Asie (vivre mieux par le rire et l’auto- dérision)

    Humour d’asie et Histoires drôles d’Asie

    Pécheur urbain, un coin bien tranquille pour pêcher des maquereaux !

    *

    Confucius a dit :Un homme qui va se coucher en ayant le sexe à l’esprit, se réveille avec le pénis à la main.

    *

     Moi j’ai peur de manger Japonais, ou trouver des « sushis » sans « soucis ?

    *

    La Chine et l’ex-Union Soviétique sont en guerre. 1er jour : Les Russes font 50 000 prisonniers chinois. 2ème jour : Les Russes font 100 000 prisonniers. 3ème jour : Les Russes font 500 000 prisonniers. 4ème jour : Les Russes font 1 000 000 de prisonniers. 5ème jour : Le QG Chinois appelle le Kremlin : Alors, vous capitulez ?

    *

     Supplices chinois :

    Un homme perdu dans la forêt trouve la trace d’une maison, où il est accueilli par un vieux chinois :

    « Je suis perdu, pouvez vous m’héberger pour la nuit »

    « Bien sur, mais a une condition : si vous touchez un cheveu de ma fille, je vous infligerai les 3 pires supplices chinois connus. »

    Ok, répond l’homme, pensant que de toute façon la fille doit être bien moche et vieille. En fait, au dîner, il s’aperçoit que la fille est superbe et qu’en plus elle n’arrête pas de lui faire de l’oeil. Mais se souvenant de l’avertissement du vieillard, il préfère s’abstenir de quoique ce soit. Cependant, au milieu de la nuit, il n’en peut plus.Il sort de sa chambre et rejoint la jeune fille pour une nuit de folie. Puis il retourne se coucher en faisant attention de ne pas faire de bruit. Le lendemain, il se réveille en sentant une pression sur sa poitrine. Ouvrant les yeux, il voit un énorme bloc de pierre posé sur son torse avec une note disant :

    1er supplice chinois . Grosse pierre posée sur poitrine . Le mec, un peu déçu se dit que si c’est ce que le vieux a pu trouver de mieux, ce n’est vraiment pas terrible. Il prend le bloc, marche jusqu’à la fenêtre et le balance par-dessus bord. A ce moment, il aperçoit une autre note sur la fenêtre disant : 2ème supplice chinois . Grosse pierre liée à testicule gauche . Pris de panique, il voit le fil liant son testicule gauche à la pierre qui commence à se tendre. Décidant que quelques os cassés valent mieux que la castration, il saute par la fenêtre.  Alors, en tombant vers le sol, il voit une pancarte posée par terre, où il y a écrit : 3ème supplice chinois . Testicule droit lié au pied du lit .

    *

    Une serveuse dans un restaurant s’apprête à servir un plat, elle se dirige vers la table des convives : « canard aux cinq parfums, chaud devant, chaud devant… ». Dans sa précipitation, elle laisse tomber le plat, le ramasse et sans se démonter : « chaud devant, chaud devant, canard aux six parfums… »

    Humour d’Asie et Histoires drôles d’Asie

  • Salade et crevettes (Recette, cuisine chinoise)

    Salade et crevettes (Recette, cuisine chinoise)

    Salade aux crevettes (Recette chinoise/cuisine chinoise)

     

    Photo sans carottes

    Recette chinoise

    cuisine chinoise

    Salade chinoise aux crevettes

    Ingrédients
    500 gr d’échine de porc découennée et bouillie
    500 gr de grosses crevettes surgelées sans la tête
    3 grosses carottes rappées grossièrement
    20 cm de navet chinois (ou radis noir) découpé en filaments
    feuilles de menthe ( selon votre goût).
    coriandre frais ( selon votre goût)
    2 oignons nouveaux

    Préparation
    Raper les carottes
    râper à la main le radis chinois (au couteau et non avec une râpe)
    trancher la poitrine froide bouillie et découennée (profiter pour enlever du gras)
    cuire les crevettes et sitôt cuites, les refroidir en les arrosant abondamment d’eau froide puis les couper en deux dans le sens de la longueur.
    Mélanger en rajoutant menthe, oignons et coriandre.

    la sauce : vinaigrette normale + sauce soja claire +nuoc mam (le tout dans les proportions que vous aimez)

    L’idéal c’est de préparer la sauce à part et l’ajouter au dernier moment

  • L’argent et la sagesse asiatique, une autre philosophie

    L’argent et la sagesse asiatique, une autre philosophie

     

    SAGESSE ASIATIQUE

    SAGESSE ASIATIQUE et L’ARGENT

    Voici un gentil petit poème sur l’argent

    L’argent peut acheter une maison, mais pas un foyer

    L’argent peut acheter un lit, mais pas le sommeil,

    L’argent peut acheter une horloge, mais pas le temps

    L’argent peut acheter un livre, mais pas la connaissance

    L’argent peut acheter une position, mais pas le respect

    L’argent peut payer le médecin, mais pas la santé.

    L’argent peut acheter du sang, mais pas la vie

    L’argent peut acheter du sexe, mais pas de l’amour

  • Phytothérapie

    Phytothérapie

     

    Phytothérapie

    Phytothérapie

    La phytothérapie, étymologiquement le traitement par les plantes, est une méthode thérapeutique qui utilise l’action des plantes médicinales. On compte environ 2 000 plantes médicinales utilisées en herboristerie. La médecine par les plantes est l’une des plus vieilles médecines du monde ; depuis plus de 6000 ans des hommes du monde entier ont testé et sélectionné les meilleures plantes médicinales pour se soigner.

    La plante constitue un ensemble riche et complexe, composé de parties aériennes (feuille, fruit, fleur…) et de parties souterraines (racine, rhizome…). La plante médicinale peut avoir une ou plusieurs parties actives. Agissant en profondeur, à la base du problème, une plante peut avoir de multiples indications qui peuvent sembler très éloignées mais qui ont toutes une origine commune.

    La recherche en phytothérapie sélectionne les plantes les plus actives et les plus efficaces pour lutter contre les maladies, et aujourd’hui les progrès de la science sont tels que de nouveaux horizons s’ouvrent. Nouvelles méthodes scientifiques, découverte de nouvelles propriétés, nouvelles formes d’utilisation, désormais les plantes peuvent être considérées comme de véritables médicaments.

    Traditionnellement, les plantes étaient consommées en infusion. Aujourd’hui, il existe la poudre de plante totale cryobroyée, plus pratique et plus concentrée, proposée sous forme de gélules. La poudre de plante cryobroyée est obtenue par pulvérisation de la partie active de la plante sèche, par un broyage à froid sous azote liquide.

    Phytothérapie:

    Le mot phytothérapie provient de 2 mots grecs qui signifient essentiellement « soigner avec les plantes ». Il s’agit d’une pratique millénaire basée sur un savoir empirique qui s’est transmis et enrichi au fil d’innombrables générations.

    Aujourd’hui, la phytothérapie s’appuie à la fois sur cette sagesse traditionnelle et sur les découvertes de la médecine moderne. La rencontre relativement récente de ces 2 mondes et le peu de normes qui régissent le domaine font en sorte que la pratique et la formation sont encore très disparates.

    Dans le domaine du soin par les plantes, on remarque 2 tendances majeures. Certains intervenants mettent surtout l’accent sur les connaissances empiriques des plantes et sur leurs effets reconnus depuis la nuit des temps. Préconisant une approche holistique, ils s’intéressent aux effets de la plante dans sa globalité, sur tout l’individu. D’autres se basent davantage sur les connaissances biochimiqueset se préoccupent plutôt des symptômes des maladies et de l’action des principes actifs des plantes.

    L’herboristerie est plutôt associée à l’école empirique et la phytothérapie à l’école scientifique, mais cette distinction tend à s’amenuiser, tradition et chimie profitant de plus en plus l’une de l’autre. D’autre part, les herboristes s’occupent souvent de la préparation, du mélange et de la transformation (concentrés, huiles, élixirs, onguents, etc.) des plantes et de leur culture, ce que font rarement les phytothérapeutes.

    Source

  • Pâtés impériaux, nems, les astuces pour réussir la cuisson

    Pâtés impériaux, nems, les astuces pour réussir la cuisson

    Nems, pâtés impériaux les astuces pour réussir la cuisson (cuisine vietnamienne, recettes vietnamienne)

    cuisine vietnamienne, recettes vietnamienne

    Nems, pâtés impériaux les astuces pour réussir la cuisson

    Parfois la préparation des pâtés impériaux (nems) devient un véritable parcours du combattant :

    – les nems explosent, se déchirent et tombent en miettes

    – les nems se gonflent

    – ils noircissent trop ces sacrés nems

    Des raisons à cet hécatombe des nems c’est la mauvaise préparation des nems.

    – Il faut que les légumes (carottes, oignons etc…) soient laissés une nuit entière à l’air libre afin d’évacuer leur trop plein d’eau

    – La galette de riz ne doit être pas trop humidifiée car elle de l’eau se mélanger à l’huile

    – Enfin pour tremper la première fournée de pâtés impériaux il faut que l’huile ne soit pas chaude et que la température monte petit à petit

    – Il faut en plus avoir 2 poêles car si l’huile est trop chaude dans l’une il vous faudra mettre les nems dans l’autre.

    – Il aussi ne pas oublier de passer l’huile dans un chinois afin d’enlever les impuretés dues à la cuisson succécive des nems

    Alors amusez vous bien car c’est un vrai travail de professionnel qui nécessite un vrai savoir faire et une attention de tous les instants!

    En savoir plus sur le nem: on l’appelle aussi pâtés impériaux mais c’est une erreur car la vraie dénomination est « pâtés impérial » car cela ne s’accorde pas. Les nems sont « impérial » soit à la mode de l’empereur. Bref c’est sans importance ce sont des nems et si c’est bon c’est royal, ces nems. En plus les nems ne sont pas les pâtés impériaux ce sont des petits carrés… On va laisser cette histoire ici car c’est vraiment compliqué et sans grande importance.

    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons
    pho et son nuoc mam ou sauce de poissons