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  • Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Stages de clowns en Asie avec « Sourires sans frontières »

    A l’approche d’un long périple ça se rapproche nous y sommes presque, un itinéraire à travers tout le Vietnam nous attend, riche de rencontres, d’expériences…

    cela fait des mois que nous préparons ce voyage dans le cadre de l’association Sourires Sans Frontières.

    Mais c’est encore difficile de réaliser que nous allons partir au bout du monde pour un si beau projet : donner, pendant quelques minutes, le sourire à des enfants , et échanger avec eux sans avoir besoin de parler (nous serions bien incapables de composer une phrase en vietnamien !! 😉 !mais grâce au langage universel du rire, qui est le propre de l’Homme à travers les continents…

    to be continued very soon !!!!

    Interview de Veronique, apprentie clownette Veronique, alias Nono le clown, dont vous avez deja eu l’occasion de lire les premieres impressions, s’est pretee a une interview de choc par notre equipe de clowns

    Pourquoi avoir choisi de rejoindre Sourires Sans Frontieres pour ce projet au Vietnam ? j’avais avant tout envie de me depasser, aller plus loin. C’est pour moi une facon de me connaitre mieux au contact des autres, de la difference, de l’inconnu. Je souhaitais me retrouver moi meme, et, apres quelques jours, j’ai beaucoup avance dans cette demarche. Je dirais meme plus ; je decouvre une autre partie de moi meme a votre contact !!!

    Pourquoi as tu choisi en particulier la scene et l’univers clownesque ? quand l’opportunite s’est presentee a moi, c’etait comme une evidence. Cela ne pouvait etre qu’extraordinaire !!!

    Etais tu deja attiree par l’Asie ? oui bien sur, mais je me refusais a y aller en ’touriste’. Pour moi, aller a la rencontre des enfants et des accompagnants dans les orphelinats est tellement plus enrichissant que de voir le pays en observateur lointain !!! C’est veritablement du tourisme equitable. En plus, j’ai la chance d’etre avec vous qui connaissez bien le terrain !!

    Apres quelques representations, te sens tu prete a aller plus loin et a devenir encore plus autonome sur scene ? bien sur !!

    rassurez vous, vous pourres suivre les aventures de Veronique l’apprentie clowmette dans nos prochains articles

    Une aventure debridee !!!!!!!

    Elle est partie un matin pour s envoler vers la France. Elle etait venue pour faire rire les petits orphelins et les enfants ont ri aux larmes en voyant le clown Nono faire le maximum pour faire oublier toutes les tristesses du monde. Nono a donne ce qu elle avait appris avec les professionnels de l equipe de l association, Sourires sans frontieres, mais elle a su aussi se depasser et offrir tout son coeur. Les benevoles de Sourires sans frontieres savent, evidemment, enseigner aux stagiaires leur savoir- faire mais il leur sera toujours impossible transmettre ce supplement d ame si particulier.

    Veronique avait l envie de realiser une vraie experience. Deconnectee de ses racines, de sa famille et face a de nombreuses incertitudes, notre clown amateur a realise un tour de force, au dela meme de nos esperances, en se lancant sur scene au coeur de l extreme orient, emportant les enfants dans un vrai tourbillon de rires et de joie. Un dizaine de spectacles a travers tout le Vietnam, Saigon, Nha trang, Hue, Hanoi nous a fait decouvrir une compagne de voyage agreable et attentive.

    Veronique, l equipe de Sourires sans frontieres te remercie pour cette fabuleuse aventure pleine de magie, d images et de sincere emotion

    Nous tous

    Vous pourrez retrouver les tribulations de « sourires sans frontières », les photos de leurs aventures, le satage de Nono le clown « amateur » en cliquant :

  • Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    Les grands lieux touristiques de Thaïlande

    - Bangkok

    Capitale de la Thailande, la population de Bangkok est d’environ 6 500 000 habitants, la superficie de cette province est de 1560 km², dont l’essentiel est considérée comme constituant la ville de Bangkok, ce qui en fait une des plus grandes villes du monde. Elle n’est située qu’à 2 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui provoque des inondations en période de mousson. De plus, construite sur une zone autrefois marécageuse, la ville s’enfoncerait de 5, voire 10 cm par an.

    Bangkok est traversée par le fleuve Chao Phraya qui détermine deux grandes zones, la rive droite (l’ancien Thonburi) qui est restée plus traditionnelle, parcourue de nombreux khlong, réseau de canaux reliés au fleuve et qui avaient valu à Bangkok le surnom de Venise de l’Asie, et la rive gauche, plus développée, là où se trouvent presque tous les attraits touristiques, le centre des affaires, le réseau de métro et les grandes tours modernes.

    HISTOIRE :

    Bangkok (aujourd’hui le quartier de Thonburi) était un village situé sur la rive droite du fleuve Chao Phraya. À la suite de la destruction d’Ayutthaya, capitale du royaume, par les Birmans en 1767, le général Chanhda , devenu roi, se replia en aval sur ce site et décida d’y fonder la nouvelle capitale. Devenu dément, il fut assassiné et remplacé par le général Chakri qui, sous le nom de Rama Ier, devint le premier roi de la nouvelle dynastie Chakri régnant encore aujourd’hui. En 1782, il décida, pour des raisons de défense, de transférer la capitale sur la rive gauche et commença des constructions fortifiées, aujourd’hui le Grand Palais. C’est cette date qui est retenue comme fondation de la ville.

     Chiang Mai

    Chiang Mai (appelé également la rose du Nord) est la seconde plus grande ville de Thaïlande, culturellement la plus significative au nord de la Thaïlande et la capitale de la province de Chiang Mai. Elle est située à 800 kilomètres au nord de Bangkok, parmi les plus hautes montagnes du pays.

    Ces dernières années, Chiang Mai est devenu une ville de plus en plus moderne. La ville propose beaucoup d’attractions pour les milliers de visiteurs étrangers qui viennent à Chiang Mai tous les ans. La force historique de Chiang Mai dérive de son importante situation stratégique près d’une branche méridionale de l’ancienne route de la soie, et longtemps avant l’afflux moderne des visiteurs étrangers. La ville a servi de centre important pour son artisanat, les ombrelles, les bijoux (en particulier argent) et ces sculptures sur bois.

    Chiang Mai est formellement devenu une région du Siam en 1774, quand le Roi Taksin l’a repris aux Birmans. Chiang Mai s’est relevé tant culturellement qu’économiquement, pour devenir graduellement la capitale officielle du nord de la Thaïlande.

    Wat Chiang Man est le temple le plus ancien de Chiang Mai. Le Roi Mengrai a vécu dans ce temple tout en surveillant la construction de la ville. Ce temple abrite deux très importantes et vénérées images de Bouddha, Phra Sila (un Buddha de marbre) et de Phra Satang Man (un Bouddha de cristal).

     Pattaya

    Pattaya est une station balnéaire internationalement connue, située dans la province de Chonburi, sur le golfe du Siam, à 147 km au sud-est de la capitale Bangkok

    Pattaya n’est qu’un petit village de pêcheurs jusqu’au milieu des années 1960. Ce sont les militaires américains, stationnés sur la base aérienne d’U-Tapao, quelques 70 km plus à l’est, qui font connaître cette baie agréable pourvue d’une plage en arc de cercle de 4 km de long. La guerre du Viêt Nam terminée et les militaires partis, un embryon de tourisme se développe, qui à partir de 1980 connaîtra un développement vertigineux.

    Pattaya est désormais la première station balnéaire de Thaïlande par le nombre de touristes la fréquentant. Un tourisme de masse s’est installé, tourisme essentiellement orienté vers l’industrie du divertissement et du sexe.

    Les personnes désirant plus de tranquillité se dirigeront vers Jomtien, quartier sud de Pattaya plus calme et a la mer plus propre. Les îles autour de Pattaya méritent également une visite notamment l’ile de Koh Lorn célèbre pour son récif et ses activités nautiques.

     Hua Hin

    Hua Hin est connue pour son port de pêche traditionnel, ses restaurants de fruits de mer et une splendide plage de sable fin qui s’étale sur trois kilomètres, depuis un promontoire rocheux, et s’incurve doucement, après le port, jusqu’aux collines surmontées de temples bouddhistes à son extrémité sud. Hua Hin est l’un des séjours balnéaires les plus connus du pays, aussi bien des visiteurs étrangers que des Thaïlandais. Située sur le côté ensoleillé (ouest) du Golfe de Thaïlande, Hua Hin à environ 200 km, soit trois heures de voiture au sud de Bangkok, est le plus traditionnel des sites balnéaires thaïlandais. Hua Hin offre une calme et relaxante retraite dans un environnement conservant une atmosphère typiquement thaïlandaise.

    C’est là qu’en 1920, le Roi Rama VII fit construire un palais d’été, créant ainsi la vogue de Hua Hin comme retraite favorite de l’aristocratie thaïlandaise pendant les chaleurs estivales de Bangkok.Aujourd’hui, la Famille Royale réside toujours à Hua Hin une partie de l’année.

    Hua Hin est connue pour son port de pêche traditionnel, ses restaurants de fruits de mer et une splendide plage de sable fin qui s’étale sur trois kilomètres, depuis un promontoire rocheux, et s’incurve doucement, après le port, jusqu’aux collines surmontées de temples bouddhistes à son extrémité sud.

     Phuket

    A 867 kilomètres au sud de Bangkok, Phuket est la plus grande île de Thaïlande, avec une silhouette de perle irrégulière longue de 21 kilomètres. Reliée au continent par une route, sa côte bordée de plages de sable blanc et de petites baies paisibles est baignée des eaux bleues claires de la Mer Andaman et adossée à de vertes collines, des rangées de cocotiers et des plantations d’hévéas.

    La richesse de Phuket venait autrefois du caoutchouc et de l’étain et l’histoire de l’île est pittoresque. Phuket était sur une des routes principales du commerce entre l’Inde et la Chine et est fréquemment mentionnée dans les journaux de bord des navires étrangers. Les Portugais, les Hollandais, les Anglais et les Français venaient pour commercer à cette époque.

    Le plus célèbre monument de Phuket est la statue pour commémorer les héroïnes Thao Thep Krasattri et Thao Sisunthon qui rallièrent les insulaires en 1785 pour repousser les envahisseurs birmans.

    Phuket a deux principales saisons : la saison des pluies de mai à octobre et la saison chaude de novembre à avril. Néanmoins, le soleil brille régulièrement au cours de la saison des pluies, les averses ne durant généralement guère plus de 2 ou 3 heures. Les meilleurs mois pour visiter l’île sont ceux de novembre à février.

    Phuket est aujourd’hui une des premières stations balnéaires tropicales du monde.

    - Koh Samui

    L’île de koh Samui, avec une superficie de 250 km2, est la 3e plus grande île du royaume. Souveraine de 80 îles et îlots, elle baigne dans le golfe de Thaïlande, en mer de Chine. Située à 560 km au sud de Bangkok, Koh Samui mesure 21 kilomètres en son point le plus large et 25 km en son point le plus long. La Main Road, route périphérique de 51 km, en grande partie côtière, encercle l’île qui est réputée pour ses jolies plages et baies.

    Les plus belles plages de Samui s’étendent sur les côtes nord et ouest, les plus touristiques sont celles de Chaweng et Lamaï qui sont bordées de magnifiques hôtels. Bo Phut et Mae Nam sont d’autres plages populaires. Hormis les plages, les autres attractions de l’île sont les chutes de Hin Lat et Namuang, les formations rocheuses phalliques de la pointe sud de Hat Lamai nommées hinta hinyai, le jardin de papillons et la ferme apicole tout proches, une énorme image du Bouddha assis sur l’îlot de Fan à Ao Plai Laem, un jardin des plantes à Ban Makham. Nathon, la zone principale d’activités en front de mer de l’île où se concentrent des boutiques, des restaurants et des agences d’organisation d’excursions.

    De Décembre à Février (haute-saison), les températures peuvent atteindre 30°C (86°F). De brèves pluies tropicales peuvent tomber en Décembre. C’est la meilleure saison pour les gens venant d’Europe qui quittent les rigueurs de l’hiver Européen pour la douceur de l’été Asiatique. De Mars à Juin, c’est l’époque des grosses chaleurs, plus de 40°C (114F), la pluie tombant rarement.De Juin à Septembre, le temps est chaud entrecoupé de quelques pluies et d’orages. Octobre et Novembre sont les mois les plus pluvieux, même s’il ne pleut pas tous les jours. En contraste avec les autres régions de Thaïlande, Samui ne semble pas avoir de saison des pluies bien définie. En Novembre par exemple, des périodes de 2/3 jours sans soleil peuvent être suivies de périodes très ensoleillées.

    Si vous désirez trouver et réserver des hôtels en ligne hotel-thailande.com

    Thaïlande, les conseils pour votre voyage

    Thaïlande, les conseils pour votre voyage

     En France Office national du tourisme de Thaïlande : 90, av. des Champs-Élysées, 75008 Paris. Tél : 01-53-53-47-00 www.tourismethaifr.com. Ouvert du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 17 h 30.

     Pour les visas : Ambassade royale de Thaïlande : 8, rue Greuze, 75116 Paris. Tél : 01-56-26-50-50. Fax : 01-56-26-04-45 ou 46. Ouvert du lundi au vendredi de 9 h 30 à 12 h. Formalités Le visa n’est pas nécessaire pour les séjours de moins de 30 jours pour les ressortissants CE à condition d’avoir un vol aller-retour confirmé. ?- Pour les séjours de moins de 30 jours (donc sans visa), passeport impérativement valable au moins 3 mois après le retour de Thaïlande. Pour les séjours de plus de 30 jours (avec visa), le passeport doit être valide 6 mois après le retour de Thaïlande

     Vaccinations Aucun vaccin obligatoire, sont toutefois recommandés les vaccins déjà conseillés en France : tétanos, polio, diphtérie (DT polio), hépatite B. Les vaccins contre l’hépatite A et la typhoïde sont conseillés.

    Photo à la une de T.Beyne

  • Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Evadez vous au coeur du Vetnam avec les nouvelles photos de Thiery Beyne. Un voyage hors du temps avec des images qui resteront tressées comme un fil entre le présent et le passé.

    BIOGRAPHIE

    Né en 1955 en France, Thierry Beyne est diplômé de l’Ecole supérieure des beaux-arts de Paris (en 1978). Il est venu au Vietnam pour la première fois en 1997 et revient souvent dans cette terre « de la multitude des verts et des sourires » pour capturer des moments de la vie quotidienne de la population.

    Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thaïlande, la Malaisie,

     

     

     
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    Latest photos from Thiery Beyne Latest photos from Thiery Beyne   Escape to the heart of Vetnam with the new photos of Thiery Beyne. A journey out of time with images that will remain plaited as a thread between the present and the past. BIOGRAPHY Born in 1955 in France, Thierry Beyne graduated from the Ecole Supérieure des Beaux-Arts in Paris in 1978. He came to Vietnam for the first time in 1997 and often returns to this land « of the multitude of greens and smiles » to capture moments of the daily life of the population. In the 1980s, Thiery Beyne discovered Asia, where his passion for travel and photography became increasingly important. He traveled from India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, …
  • SANYA, une ile magnifique et touristique

    SANYA, une ile magnifique et touristique

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    Des photographies « SANYA, l’île de Hainan, vu par des Français »

    La CHINE, un pays lointain et mystérieux qui laisse l’esprit vagabonder à travers des images, des senteurs et des couleurs et qui nous invitent au voyage. Située à l’extrême sud de la Chine, Santa, ville touristique, sait accueillir les occidentaux chaleureusement dans la douceur délicate de son climat tropical si propice aux rêves les plus doux..

    Merci aux photographes sans lesquels rien n’aurait été possible :

     M.CHATELIER Patrick
    M.CHAUVEAU Nikola
    M.ESCUDIER Alain
    M.PARDESSUS xavier
    M.PICARD Pascal.

    Au travers de ces photos délicates et expressives, les voyagistes sauront immédiatement que « cette île de Hainan, est une destination de rêve pour les occidentaux à la recherche de douceur, d’exotisme et de beauté. La tradition omniprésente, la nature luxuriante, créera dans le cœur de Français un cocktail de dépaysement.

    Les personnalités :
    M.Yixiu LIN Adjoint au Secrétaire Général du Gouvernement Municipal
    Mme Alice Bosquillon de Jenlis de l’UNESCO,
    M. JIN Chunlei, ministre conseiller de l’Ambassade de Chine en France ;
    M. Mathieu de l’ECTI, M.
    Alan Attia, Directeur Général de la société Models’s fasshion ;
    M. Yves Launoy, réalisateur de l’émission télévisée Interville
    Mme PICARD Aiming Présidente du Centre d’Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois

    Selon nos études, Sanya se trouve à latitude nord 18°, donc le point le plus au sud de la Chine. Elle possède des ressources naturelles irremplaçables : Les plages, les tropiques, la nature… Malgré la crise économique en 2009, Sanya a réssisté à la crise, elle a reçu plus de 6 690 000 nuitées, donc une augmentation de 10%, dont beaucoup de touristes français. La délégation de Sanya a bien dit : Sanya est pas seulement à nous, elle est aussi à tout le monde, elle est au profit de toutes les personnes qui souhaitent la connaître et à l’aimer. Bienvenue au Sanya

  • SOUPE PHO : La recette traditionnelle

    SOUPE PHO : La recette traditionnelle

    PHO, TOUT CE QUE VOUS AVEZ VOULU SAVOIR SUR 

    1) Pour la fête du têt un bon pho ou soupe tonkinoise

    VOIR LA VIDEO DE LA PREPARATION DU PHO

    La cuisine asiatique facile de Henri Victor

    Étonnez vos amis pour la fête du têt, nouvel an vietnamien, préparez un vrai « pho » la soupe tonkinoise traditionnelle pleine de goût et de couleurs.

    La couleur si particulière de cette soupe complète réside dans le délicate saveur du bouillon (c’est là le secret des recettes bourgeoises vietnamiennes).

    Alors à vos fourneaux !

     Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    Pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle bourgeoise)

     

    TOUT CE QU’IL FAUT POUR UN BON PHO

    Pour le bouillon

    1 kg de plate côte

    1 os à moelle

    7 cuillères à soupe de sauce de poisson ou Nuoc Mam

    1 petite cuillère à soupe de gros sel

    1 cuillère à café de cinq parfums

    5 à 7 Anis étoilés

    5 à 7 cubes de bouillon de bœuf

    1 gros oignon grillé

    Un gingembre écrasé

    Et pour finir

    500g de viande rouge de qualité

    Oignon cru en lamelles

    1 Bouquet de Coriandre

    Poivre

    Une recette dérobée sournoisement à ma maman de 90ans. A cette époque les femmes de la bourgeoisie vietnamienne, étaient obligées d’apprendre la cuisine afin de satisfaire aux futurs époux. Cela se passait dans les cuisines des belles demeures et les jeunes filles avaient à leur disposition des cuisinières attachées à la famille. Ces recettes étaient jalousement gardées mais je peux vous confier qu’un bon pho c’est uniquement la qualité du bouillon et évidemment un certain savoir faire.

    Ceci est la recette du pho de base mais il est possible de rajouter des boulettes de viande etc… Mais c’est un pho moins traditionnel!



    oignons crus coupés en fines lamelles
    Persil chinois ou coriandre coupé grossièrement


    j’adore préparer le pho- j’aime sentir le pho- je déguste le pho

    Photos à la une de thierry Beyne

  • Cinéclub Yda & Echanges culturels et économiques France -Vietnam

    Cinéclub Yda & Echanges culturels et économiques France -Vietnam

     

    Cinéclub Yda Echanges culturels et économiques France Vietnam

    présentent

    samedi 25 février 2016 à 14 h

    cinéma La Clef

    34 rue Daubenton, Paris 5e

    Métro : Censier – Daubenton

    SOUS TES DOIGTS / (Dưới ngón tay ai)

    Un film d’animation de Marie-Christine Courtès

    Coproduction de Vivement Lundi ! et Novanima Productions, 2014, 13’

    Création graphique : Ludivine Berthouloux, Marcelino Truong.

    Primé aux festivals : FICAM- Meknès (Maroc), New York International Children’s Festival et WorldFest – Houston (USA), Monstra – Lisbonne et Cinanima – Espinho (Portugal), Tricky Women – Vienne (Autriche), Urban film – Paris, Chacun son court – Strasbourg,  Séquence court métrage – Toulouse, Film court – Villeurbanne…

     

    Nominé aux Césars 2016, finaliste du Cartoon d’or 2016, présélectionné aux Oscars 2017.

     

    Le jour de la crémation de sa grand-mère, Emilie, une jeune métisse asiatique, se plonge dans les souvenirs de la vieille femme. Elle découvre l’Indochine de Hoa, sa rencontre amoureuse avec Jacques (un colon français), la naissance de Linh (sa mère) et le départ tragique vers la France en 1956. Elle revit en compagnie de Linh l’arrivée au camp d’hébergement de Sainte-Livrade, l’exploitation des femmes indochinoises par les maraîchers du Lot-et-Garonne. Entre souvenirs, danse, colère et rituels traditionnels, Emilie apprend à accepter cet héritage…

    LE CAMP DES OUBLIES / (Những số phận bị lãng quên)

    Un documentaire de Marie-Christine Courtès et Nguyen My Linh

    Grand Angle Production, 2004, 52’, v.o. s.t.f.

    Sélection aux festivals : Grand reportage d’actualité – Le Touquet Paris Plage, Chroma –  Le Mans, Les Yeux ouverts – Creil, Cinémas d’Asie – Vesoul, Film d’Histoire – Pessac, FIFAM – Amiens.

     

    En 1956, 30 000 rapatriés d’Indochine – surtout des épouses, compagnes ou veuves de militaires et leurs enfants – arrivent en France. Près de 1200 dont 740 enfants sont accueillis dans un camp militaire désaffecté à Sainte-Livrade en Lot-et-Garonne : 300 logements installés dans des baraquements sans âme, sans sanitaires ni eau chaude, qui deviendra le CAFI, Centre d’accueil des Français d’Indochine. Pour survivre, femmes et enfants doivent aller cueillir et équeuter les haricots aux alentours. Sous-payés, exploités, jamais déclarés, ils n’ont aujourd’hui droit à rien. Quant aux hommes, ils travaillent dans les conserveries ou dans une usine de chaussures installée dans le camp. Peu à peu, ces familles qui ont tout perdu vont recréer leur propre univers, un Vietnam miniature. Cinquante ans après, demeure encore dans cet hébergement « provisoire » une centaine de personnes oubliées (en 2014, pelleteuses et grues ont  rasé les baraquements du CAFI dont les derniers habitants ont réussi à sauver l’église et la pagode).

     

    Débat avec Dominique Rolland, anthropologue,

    auteure de Petits Vietnams, Histoire des camps de rapatriés d’Indochine et De sang mêlé, Chronique du métissage en Indochine

     

    Contact : cineclub.yda@gmail.com – PAF: 5 € (étudiant : 3 €)

    Facebook : https://www.facebook.com/pages/YDA/1530764113840508

    Câu lạc bộ Yda (Yêu điện ảnh) &

    Hội Echanges culturels et économiques France Vietnam

    giới thiệu

    Vietnam/MCFV

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

     

    thứ bảy 17.12.2016 lúc 14 giờ

    Cinéma La Clef

    34 rue Daubenton, Paris 5e

    Métro : Censier Daubenton

     

     

    Dưới ngón tay ai / Sous tes doigts

    Phim hoạt hình của Marie-Christine Courtès

    Vivement Lundi và Novanima Productions đồng sản xuất , 2014, 12 phút 54

    Sáng tạo hình họa : Ludivine Berthouloux, Marcelino Trương.

    Giải thưởng liên hoan phim : FICAM – Meknès (Maroc), New York International Children’s Festival và WorldFest – Houston (Mỹ), Monstra – Lisbonne và Cinanima – Espinho (Bồ Đào Nha), Tricky Women – Vienne (Áo), Urban film – Paris, Chacun son court – Strasbourg,  Séquence court métrage – Toulouse, Film court – Villeurbanne (Pháp)…

    Phim tham dự chung kết giải César 2016, chung kết giải Cartoon d’Or 2016,  danh sách thi giải Oscar 2017.

    Ngày hỏa táng bà ngoại, Emilie, thiếu nữ Pháp lai Việt, cùng với mẹ là Linh, trở lại nơi cô đã sống thời niên thiếu. Đó là trại CAFI của người Đông Dương hồi hương ở Sainte-Livrade thuộc vùng Tây Nam nước Pháp. Bà Linh kể cho con nghe cuộc đời của Hòa – mẹ bà, tại Việt Nam thời thuộc địa : từ cuộc gặp gỡ giữa Hòa với Jacques, chủ thực dân Pháp, đến khi Hòa mang thai rồi bị Jacques bỏ rơi; từ chuyến ra đi của hai mẹ con Hòa- Linh theo chân quân đội Pháp, đến lúc nhập trại Sainte-Livrade, sống hàng chục năm bên lề xã hội.

    Ký ức ba thế hệ phụ nữ được nối kết lại. Sau những năm mặc cảm, thành kiến, phủ nhận truyền thống văn hóa Việt, Emilie tập tễnh chấp nhận di sản của bà ngoại và mẹ của mình.

    Những số phận bị lãng quên / Le camp des oubliés

    Phim tài liệu của Marie-Christine CourtèsNguyễn Mỹ Linh

    Grand Angle Production, 2004, 52’

    Phim tham dự liên hoan : Grand reportage d’actualité – Le Touquet Paris Plage, Chroma –  Le Mans, Les yeux ouverts – Creil, Cinémas d’Asie – Vesoul, Film d’Histoire – Pessac, FIFAM – Amiens.

    Năm 1956, 30000 người Đông Dương gọi là hồi hương – chủ yếu vợ và con gốc Việt được thừa nhận hay không của quân nhân Pháp – đặt chân đến chính quốc. Gần 1200 người, trong đó có 740 trẻ em, được đưa đến một trại lính bỏ hoang ở xã Sainte-Livrade thuộc tỉnh Lot-et-Garonne : 300 căn nhà mục nát, thiếu tiện nghi – không phòng vệ sinh, không lò sưởi – trở thành trại CAFI, trung tâm đón tiếp người Pháp ở Đông Dương. Tưởng chỉ tạm trú ở đó một thời gian ngắn, nhưng hơn năm mươi năm sau vẫn còn hàng trăm người sinh sống ở khu trại bị lãng quên này (năm 2014, máy ủi và máy xúc đã san bằng các lán trại, những người dân cuối cùng ở CAFI chỉ kịp cứu ngôi nhà thờ và ngôi chùa).

    Thảo luậnvới nhà dân tộc họcDominique Rolland, tác giả của Petits Vietnams, Histoire des camps de rapatriés d’Indochine và De sang mêlé, Chronique du métissage en Indochine

    Liên hệ : cineclub.yda@gmail.com – Tham gia chi phí : 5 € (sinh viên :3€)

    Facebook : https://www.facebook.com/pages/YDA/1530764113840508

    Vietnam/MCFV

     

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

  • Asie histoires et poésies

    Asie histoires et poésies

    Asie histoires et poésies

    La carpe et le pécheur.

    Dans un étang vivait une carpe, en compagnie de brèmes, de gardons, de brochets et de perches. Une petite rivière alimentait cet étang et emmenait dans ses eaux, toujours plus de nouveaux de locataires ; pour un temps ceux ci y résidaient, puis ils repartaient, suivant leur bon plaisir. La carpe, elle, y demeura.

    Un honnête homme, amoureux de la nature, y venait pêcher. Notre homme connaissait bien son étang, des berges jusqu’au fond de l’eau, du plus petit des brins herbes, aux plus gros des insectes . Il connaissait tous les secrets de la faune et la flore qui y vivait. Aucun oiseau ne lui était étranger.

    Il fit l’acquisition d’une petite barque en bois. Ainsi il put admirer le charme de la brume du matin, ce rideau de fumée qui souvent attendait sa venue. Sa façon de faire était toujours la même, à tâtons de la berge, il poussait sa barque dans l’eau, montait dedans se rétablissait, s’asseyait , pour se baisser, et ensuite inéluctablement, il cherchait sa rame, du bout des doigts, la saisissait, puis doucement il se redressait, la plongeait dans l’eau presque sans bruit juste un petit clapotis, une fois à droite une fois à gauche et dirigeait sa barque ainsi à son gré, jusqu’à l’endroit choisi. Il attendait, que le brouillard se dissipasse, offrant le merveilleux spectacle de la vie. Enfin il commençait sa pêche.

    Il fut témoin du cycle des saisons, le printemps quand commençait le vol stationnaire des premières libellules, les chaudes après- midi d’été où se prélassaient sur la rive quelques lézards inquiets, la tristesse du saule qui pleure ses feuilles à l’automne, la morsure du froid de l’hiver quand il plongeait ses mains dans l’eau glacée.

    Mais l’objet de toutes ses préoccupations, c’était la carpe, cette coquine, qui n’avait encore jamais mordu l’hameçon. Elle ondulait, nageait calmement, s’approchait, de sa barque, passait ses lèvres hors de l’eau, faisait sa bulle mais toujours, repartait indifférente et royale.

    Il avait tout essayé, les appâts, les leurres et nombreuses sortes d’hameçons, mais rien n’y faisait.

    Le jour comme la nuit, la carpe le poursuivait de ses baisers mouillés. Dans ses rêves, dans ses pensées, dans sa vie, elle était toujours présente, mais invariablement insaisissable. Comment l’attraper, comment enfin l’attirer à lui, la saisir ? Il persévéra dans cette terrible obsession pendant des années avant d’y renoncer définitivement.

    Au fil du temps, s’était établie une sorte d’amitié entre le pêcheur et la carpe. Aussitôt sa barque était-elle mise à l’eau, que cette dernière passait et repassait pour s’évanouir soudain dans les profondeurs et réapparaître de nouveau comme par magie. Parfois elle frôlait la barque comme pour demander une caresse improbable.

    Les années passèrent le pêcheur était devenu vieux et malade, il restait chez lui au chaud, sa barque pourrissait à demi- immergée, le nez dans la vase. Un jour il se sentit mieux, il décida de se rendre à l’étang, s’habilla chaudement, prit quelques provisions, les mit dans sa besace, et partit sans canne à pêche ni même un filet.

    Arrivé au pied de sa barque, il s’assit sur l’un des rebords encore resté solide. D’un filet d’onde, la carpe s’approcha, difficilement il se baissa et s’accroupit, mit ses deux mains dans l’eau, les rapprocha comme un coussin, fit un creux et doucement la carpe y prit place, il la souleva presque entièrement, la regarda un instant et la replongea délicatement dans l’eau. La carpe resta immobile, il retira ses mains de l’eau et d’un coup de nageoire elle disparue .

    Notre honnête homme se releva rayonnant. Son vœu le plus cher s’était enfin réalisé.

    JPB .

  • Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

     les dormeurs indochinois

    Thierry Beyne, les dormeurs indochinois

    Thiery Beyne

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  • Thiery Beyne dernières photos d’un Vietnam hors du temps

    Thiery Beyne dernières photos d’un Vietnam hors du temps

    LES CARNETS DE LILA PIK, « le Vietnam en grand format » by Thiery beyne

    Cette semaine, je vous donne UNE bonne raison de vous rendre à Boulogne-Billancourt : Allez craquer sur les photos de Thiery Beyne au laboratoire photo INITIAL. Ça s’appelle « le Vietnam en grand format » et c’est beau.

    Les photos sont émouvantes, bien composées, avec une recherche graphique qui ravit l’œil. Et pour une fois, il y a une très intéressante adéquation entre le travail du photographe et les supports choisis, assez novateurs.

    J’ai découvert ces belles photos sur de grands kakémonos aux couleurs éclatantes. Et là, j’ai plongé tête la première dans l’image ; et je me suis retrouvée ailleurs, là- bas, dans les rizières, au bord d’une rivière ou sur le coin d’une natte en bambou….. ça m’a fait un bien fou !

    J’ai une nette préférence pour les kakémonos en vertical (1,50 m de haut, c’est superbe !!). Thiery beyne a su choisir des thèmes qui se déclinent à merveille sur ces grands formats ; Il y a également des tirages photos sur plaque d’aluminium pour les amoureux d’un rendu parfait : Les photos saisissent un moment de vie, un vélo qui passe sur un pont, une fenêtre à secret …

    Mais, surtout c’est un travail de qualité, sensible. Pour ceux qui connaissent le Vietnam, impossible de ne pas sourire en regardant cette cuisine de rue, ces enfants aux mains levés, cette sieste hors du temps , ce vert mordant des rizières .. ; il faut dire que cela fait 20 ans que Thiery Beyne photographie le Vietnam, en noir et blanc, en couleur …

    Alors, partager son regard et se dissoudre dans ces images en grand format, c’est un plaisir à ne pas rater ! Et comme il le souligne, Boulogne- Billancourt, c’est un peu plus loin que Paris mais bien moins que Hanoï !

    Les prix sont vraiment doux et si vous voulez bluffer vos copains, faire un méga cadeau original et beau, réinventer votre déco, allez sur le site du labo :

    Blog Initial

    Vous pourrez choisir et commander en direct VOTRE photo préférée ! Tirage limité à 30 exemplaires. Personnellement, ça vaut 100 000 fois plus que les panneaux de papier peints tendance ou les stickers qu’on retrouve partout …

    Pour les courageux (ils ne le regretteront pas) : . DU 18 JUIN AU 4 JUILLET, Laboratoire INITIAL, 62 av Jean- baptiste Clément, Boulogne Billancourt, métro : Jean Jaurès

    Blog de thiery beyne

    Asie et culture

    Les dernières photos de Thiery Beyne 

    Les dernières photos de Thiery Beyne ou le voyage hors du temps à travers le Vietnam

    Avec Thiery Beyne, évadez vous au coeur du Vietnam avec de nouvelles photos d’un voyage hors du temps,des images qui resteront tressées comme un fil entre le présent et le passé.

    chine

  • Cour royale de Corée au XVIII ème siècle

    Cour royale de Corée au XVIII ème siècle

    LES CARNETS DE LILA PIK , petite incursion à la cour royale au XVIII ème siècle

    BANQUET ROYAL A LA COUR DE CORÉE

     petite incursion à la cour royale de Corée au XVIII ème siècle, le temps de fêter les soixante ans de la reine- mère …

    Le vent souffle en rafale. Des tourbillons de feuilles vont et viennent ; le ciel est bas, plombé, gris.

    Ambiance complètement différente dans la salle de spectacle du musée ; Un décor chatoyant, festif, floral ; c’est la reconstitution sur scène de la salle de réception à la cour. En arrière- plan, tâche lumineuse rouge hibiscus, les musiciens jouent un air lancinant qui contribue à nous faire lâcher prise avec le temps.

    Le spectacle se déroule comme un tableau animé. Sur un écran, discret, des informations en français défilent pour présenter les différentes étapes solennelles du banquet.

    On assiste alors à tout le déroulement de la cérémonie, très codifié et cérémonial, et entrecoupé de moments plus dynamiques, où la musique s’anime sur un trois temps et permet aux danseuses d’évoluer gracieusement sur la scène. En final, la danse de la grue et du lotus clôture de façon un peu plus active le déroulement de la cérémonie.

    Un peu déroutée au départ, je me suis finalement laissée emporter dans cette frise très esthétique. Les costumes sont superbes, les déplacements élégants et raffinés, le temps s’efface devant la tranquillité des rituels qui se succèdent ; on flotte alors comme ces danseuses qui donnent l’impression de marcher sur un tapis de nuages …

    Pour les curieux, un petit prospectus distribué avant le spectacle donne quelques informations supplémentaires sur la culture artistique traditionnelle en Corée ; musique et danse y sont à l’honneur.

    Ce soir- là, en sortant, les couleurs ont perduré dans la nuit, sensation trèsagréable et que j’ai prolongée autour, non pas d’un banquet royal, mais d’un dîner fort sympathique avec mon rédacteur en chef, en toute simplicité !

    Ce spectacle a été joué par le centre national Gugak