Étiquette : vietnamienne
-
Papaye géante, un fruit délicat et plein d’exotisme
est un fruit exotique qui peut se déguster en dessert ( au sirop) ou en salade (la fameuse salade de papayes) . Fruit saisonnier il n’est pas toujours bon…affaire à suivre. Dans les sorbets il prend toute sa splendeur gustative. Avant la papaye était rare et chère, aujourd’hui ce fruit est accessible à toutes les bourses. On trouve aussi de la papaye sous forme de fruits confits. -
Travers de porc au caramel (cuisine chinoise, recette chinoise)
Travers de porc au caramel (cuisine chinoise, recette chinoise)
Recette chinoise/ cuisine chinoise
Travers de porc au caramel
Pour 4 personnes
Photo Photo Marie- Claire et Frédéric, non contractuelle
Ingrédients
1,500 kg de travers de porc découpés en petites portions
Du laurier
2 c à soupe de vinaigre de vin( blanc)
2 gousses d’ail haché
1 et demi ou 2 c à soupe de miel
3 c à soupe de sauce de soja light
20 dl de bouillon de volaille
2 C à café de sucre
Préparation
Mettre le laurier dans de l’eau jusqu’à ébullition
Puis y faire blanchir les travers de porc et les déposer dans un sopalin
Faire une marinade vinaigre + miel + l’ail + sucre
bien enrober la viande de cette marinade
Déposer les travers dans un plat et y rajouter la sauce de soja +le bouillon + sel
Déposer dans un four très chaud et attendre que le porc se caramélise et que le dessus se mette à frétiller
terminer en rajoutant du avant de servir
La cuisine asiatique est facile
LA CUISINE ASIATIQUE
Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci
-
Pho ou soupe tonkinoise en images (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Pho ou soupe tonkinoise en images (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne
pho la recette ou soupe tonkinoise (recette traditionnelle bourgeoise)
.Une recette dérobée à ma maman de 95
ans. A cette époque les femmes de la bourgeoisie vietnamienne, étaient obligées d’apprendre la cuisine afin de satisfaire aux futurs époux. Cela se passait dans les cuisines des belles demeures et les jeunes filles avaient à leur disposition des cuisinières attachées à la famille. Ces recettes étaient jalousement gardées.
Ingrédients
1kg 300 de plat cote pas trop gras
500 g de viande rouge à steak découpée en fines lamelles
1 gros os à moëlle
3 ou 4 bouillons de bœuf
1 c à café rase de cinq parfums
1 gingembre frais écrasé
2 oignons crus coupés en fines lamelles
1 oignon grillé
3 ou 4 c 0 soupe de sauce de poisson
1/3 c à café rase de sel
vermicelles de riz vietnamiennes (taille medium) que vous laisserez au préalable trempé dans de l’eau froide
persil chinois ou coriandre coupé grossièrement
3 ou 4 anis étoilés
Préparation
remplir à demi d’eau une grande casserole de la taille d’une cocotte minute et y ajouter …Os à moelle +plat cote +gingembre écrasé +cinq parfums +l’oignon grillé + sel +l’anis étoilé
Mettre à feu fort et écumer
quand il n’y a plus rien à écumer rajouter…le bouillon de boeuf préalablement fondu dans de l’eau chaude +la sauce de poisson et laisser mijoter à feu moyen.
Goûter le plat cote et dès que vous estimerez qu’il est cuit, cad à votre goût, votre bouillon sera ok.
1/2 h avant de servir, pour faciliter le service, disposer dans une assiette la viande rouge, l’oignon cru, le persil chinois et le plat cote débité en fines lamelle.
retirer les vermicelles de riz de l’eau froide, les cuire, les égouter et les mettre dans chaque bol.
mettre ensuite par dessus le plat cote+ la viande rouge et verser le bouillon par dessus
rajouter ensuite l’oignon cru +le persil chinois et avant de servir une petite rasade de poivre
.
– j’adore préparer le pho- j’aime sentir le pho- je déguste le pho
Recette de Mamie Merluche
La cuisine asiatique est facile
Si vous avez une recette asiatique facile et délicieuse, n’hésitez pas à nous la faire connaître et nous nous ferons un plaisir de la mettre illico presto en ligne. Merci
-
Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Porc au caramel (cuisine vietnamienne, recette vietnamienne)
Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne
Recette du Porc au caramel
Les ingrédients :
3 gousses d’ail
500g d’échine
5 cuillérées à soupe de sauce de poisson (Nuoc mam)
5 cuillérées à soupe de caramel
1 cuillérée à soupe de sucreLa préparation :
D’abord faire chauffer à feu moyen une poêle avec de l’huile et l’ail, dès que ce dernier commence à roussir mettre le porc coupé soit en lamelles, soit en petits cubes …C’est selon votre désir personnel .
Quand la viande est à moitié cuite vous ajoutez le caramel, la sauce de poisson et le sucre.A ce moment précis le tout forme un amas pas très ragoûtant comme de la lave en ébulition.
Vous laissez à feu doux en remuant régulièrement…le tout va réduire et la viande prendra une belle couleur dorée à souhait. N’hésitez pas à goûter et rajouter une cuillérée de ….ou de … selon votre goût.
Si la sauce finale vous semble trop épaisse, à vous de rajouter une larme d’eau.
-
Thiery Beyne, un photographe amoureux du Vietnam
VIDÉO A VOIR ABSOLUMENT
Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thailande, la Malaisie, l’Indonésie, le Cambodge, les Philippines, Hong-Kong, Singapour et bien sûr le Vietnam, son coup de cœur. Voilà bientôt 15 ans qu’il sillonne ce pays et le photographie du nord au sud dans ses coins les plus reculés. Marié à une vietnamienne de Hué, Thiery Beyne est en contact direct avec la vie quotidienne et l’authenticité du pays. Être au cœur de la population vietnamienne est pour lui essentiel. De 1995 à 2002, il réalise plusieurs expositions personnelles, à Paris et en région parisienne. En 1997, il est primé au “Nikon Photo Contest International” et exposé à la Maison Européenne de la Photographie à Paris. Thiery Beyne vit maintenant au Vietnam et aussi en France.
Prochaine exposition:
Festival « aux coeurs du Vietnam » du 6 au 23 Mai 2020 au Cosmopolis de Nantes.
Thiery Beyne khởi hành khám phá vùng đất Châu Á vào năm 1980, mảnh đất đã làm cho niềm say mê du lịch cũng như đam mê nhiếp ảnh của ông được khẳng định. Ông đã đi từ Ấn Độ, Srilanka, Thái Lan, Mã Lai, Indonesia, Campuchia, Philippines, Hồng Kông, đến Singapore và tất nhiên có Việt Nam, chính là đất nước yêu thích của ông. Vậy là đã 15 năm ông ngang dọc trên đất nước này, ông đã ghi lại những hình ảnh từ nam chí bắc ở những nơi xa xôi hẻo lánh. Thiery Beyne kết hôn với cô gái Huế, ông tiếp xúc trực tiếp với cuộc sống hàng ngày, sự chân thực của đất nước này. Hòa mình vào với người dân Việt Nam đối với ông chính là điều thiết yếu. Từ năm 1995 đến 2002, ông đã có nhiều cuộc triễn lãm ảnh cá nhân ở thủ đô Paris và ngoại ô Paris. Vào năm 1997, ông giành được giải thưởng nhiếp ảnh «Nikon Photo Contest International» và triển lãm ảnh ở phòng trưng bày «La Maison Européenne de la Photographie» tại Paris. Thiery hiện đang sinh sống tại Việt Nam.
Thiery Beyne began his journey through Asia in the eighties as the ultimate confirmation of his passion for travel and photography. He crossed India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, Indonesia, Cambodia, The Philippines, Hong Kong, Singapore and of course Vietnam, his favorite.
Between 1995 and 2002, his photographic work is frequently exhibited in Paris and surroundings. In 1997 he received a prize in the ‘International NIKON Photo Contest’ and his work is exhibited in ‘La Maison Européenne de la Photographie’ in Paris. He is married to a Vietnamese girl from Hue, thus penetrating to the heart of Vietnamese society, a privilege which the tourists cannot enjoy. Today he lives and works as a photographer in Vietnam (Nha Trang), among the indigenous population. To be at the heart of Vietnamese life is essential for him
Toutes les photos de ce site « VISAGES DU VIETNAM » sont la propriété de Thiery Beyne
Site de Thiery Beyne
-
Hàm Nghi, empereur en exil, artiste à Alger
Samedi 7 décembre 2019 de 16h30 à 18h30, Foyer Vietnam, 80 rue Monge, Paris 5ème : rencontre et séance de dédicace du livre « Hàm Nghi, empereur en exil, artiste à Alger » avec l’auteure Amandine Dabat. Entrée libre
L’histoire de Hàm Nghi, jeune empereur du Vietnam, qui à l’âge de dix-huit ans décide de résister à l’instauration du protectorat français en Indochine, demeure méconnue. Prisonnier politique, exilé à Alger, le prince d’Annam, tel qu’on l’appelle désormais, choisit de consacrer sa vie à l’art. Il se lie d’amitié avec Auguste Rodin et Judith Gautier, côtoie les milieux artistiques et intellectuels de son époque. Surveillé sans relâche par le gouvernement français, qui le considère comme un dangereux ennemi, le prince parvient malgré tout à préserver des relations avec l’Indochine et à communiquer avec ses proches, grâce à un réseau d’amis qui circule entre l’Algérie, l’Indochine et la métropole. Dessin, peinture et sculpture : Hàm Nghi crée un espace de liberté qui lui est propre. Il se forme aux beaux-arts auprès de Français. Il s’inspire des impressionnistes et postimpressionnistes, ainsi que des sculpteurs contemporains pour produire une oeuvre au croisement de plusieurs cultures. Pour les Vietnamiens d’aujourd’hui, Hàm Nghi est un héros national, symbole de la résistance à la colonisation. A travers cette première biographie de cet artiste singulier, de ce personnage historique au destin hors du commun, Amandine Dabat met en rapport le point de vue officiel et politique de la France, avec celui, intime, du prince sur sa propre vie, au croisement de plusieurs cultures. Son oeuvre, conservée dans des collections particulières, très peu exposée, est étudiée pour la première fois. La mise au jour récente d’une grande partie de sa correspondance vient éclairer ce pan de l’histoire coloniale de la France.
(source Amazon)
-
Asie images d’hier et d’aujourd’hui ou le durian une odeur indéfinissable.
J’adore flâner dans les petites ruelles de Chine, là où est la vie, où vit le brouhaha des cyclos et des gens. J’aime à la fois ces quartiers pas encore aseptisés qui ne demandent qu’à exister.
Je regarde avec toujours autant d’étonnement ce foisonnement d’étals aux couleurs chamarrées. Des odeurs de fruits exotiques mêlés de fritures. Certains seront, j’en suis persuadé, dégoûtés par ces mixtures d’odeurs et d’autres trouveront comme un air d’exotisme arriver à leurs narines.
C’est sûr parfois il arrive que la chaleur donne à ces effluves un semblant de torture chinoise mélangeant avec avec finesse douceur et relents désagréables. Vous avez dit odeurs, odeurs de Chine et bien vous n’êtes pas les premiers et les derniers touristes occidentaux à me parler de souvenirs déroutants. Sauce de poissons qui vous grattouille désagréablement le nez, poissons fermentés qui vous agressent sans délicatesse ou même odeurs inconnues qui soulèvent le dégoût.
Voyager en Asie est un voyage au pays des odeurs à la fois sensuelles et délicates mais aussi déroutantes car étranges. Mais connaissez vous ce fruit apprécié en Chine, au Vietnam, en Thaïlande: le durian … Eh bien celui ci dégage une odeur des plus repoussante, mélangeant le beurre rance et la douceur d’un caramel suave. Difficile à expliquer car il faut essayer.
Et maintenant 3 anecdotes sur le Durian.
1- Ma maman , une gourmande, acheta un jour un durian de qualité, un durian doit sentir mauvais, elle le fit emballer de plusieurs sacs en plastique afin d’occulter les odeurs qui pour elles sont délicieuses. Armées de cette armure anti-odeur voilà ma maman qui se faufile dans le bus. Timide, taille 1m50, elle trouve enfin sa place. De nombreux yeux peu sympathiques la fixent tous dans le bus regardent ma mère avec un air des plus agressif car le parfum exotique malgré l’emballage s’est propagé dans tout le bus. Ma maman lève alors les yeux vers les autre voyageurs et dit en riant jaune, très gênée, la tête dans les épaules: « ça sent mauvais mais c’est bon ».
2- Sur l’île de Langkawi en Malaisie à l’entrée d’un hôtel de luxe il y avait ce panneau: « Interdit aux chiens et au Durian ».
3- Afin de nous faire plaisir, une commerçante vietnamienne nous mit dans la bouche du durian et l’une de mes amies hurla et rejetant le met « délicat », elle éructa: » ça pue, c’est dégueulasse, on m’a fait manger de la merde ». Le durian ce fruit apprécié dans toute l’Asie mais c’est un vrai sacrilège!
-
Changer sa vie
Comment changer sa vie, témoignage: pour se sentir vivante
Changer pour se sentir vivante
Comment changer sa vie
Niveau de difficulté :
Véronique , AvignonQu’avez-vous changé de votre vie ?
J’ai tout changé. Après de nombreux changements de métiers, de régions, voire de pays, j’ai décidé de quitter le statut confortable de salarié (ingénieur avec un bon poste) pour me lancer en indépendant. Et puis surtout réaliser mes vrais envies. D’abord un grand voyage dans les traces de Garnier le long du Mekong de la Chine au Vietnam prévu en octobre 2008. Ensuite de la prospection pour travailler à mon compte.
Quand et pourquoi avez-vous pris cette décision ?
L’envie était latente depuis que j’ai commencé à travailler il y a 20 ans. Issue d’un milieu modeste et après avoir financé mes études, il fallait bien bosser pour rembourser les emprunts. Alors j’ai trouvé un job et j’ai grandi professionnellement me faisant une expérience dans différents domaines pour, un jour, monter ma propre entreprise. Au printemps 2007, à 42 ans, le ras bol des chefs et des structures lourdes m’a fait passé le Cap. Décision évidente mais pas facile quand on vit seule et qu’il n’y a personne d’autre pour assurer les dépenses du quotidien.
Décrivez les difficultés ou les joies que vous avez rencontrées ?
Le doute, toujours le doute non pas sur le choix mais sur les chances de réussite. Aucun regret, j’ai fait ce que je voulais faire mais avec un tel espoir de réussite que l’échec serait très dur à vivre. Il se traduirait par un retour dans une entreprise. Je n’en suis pas encore là et j’ai à minima un an pour évaluer mes chances et réussir.
Quel bilan tirez-vous aujourd’hui de cette décision ?
On verra dans un an.
-
Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018
Message du réalisateur Lam Lê avec entretien joint avec l’artiste peintre et sculpteur d’origine vietnamienne Trân Thu-Vân (Thu-Van Tran) qui expose cinq nouvelles oeuvres jusqu’au 31 décembre 2018 au Centre Pompidou :
‘Courez-y voir avant le 31 décembre 2018.
Elle s’appelle Trân Thu Vân, finaliste au Prix Marcel Duchamp 2018.
De par la matière provenant des plantations d’hévéas du Sud-Vietnam d’où elle vient, qu’elle utilise dans ses oeuvres monumentales, c’est une artiste post-coloniale à souhait. 👍👍👍’
Lien vers la vidéo de l’entretien : https://m.youtube.com/watch?feature=share&v=MQBB4q3BNiU
– Plus d’informations sur cette exposition et cette artiste danshttp://www.paris-art.com/mohamed-bourouissa-clement-cogitore-centre-pompidou-paris-prix-marcel-duchamp-2018/
-
Nam Trân à la Galerie Art’et Miss (Paris 3e)
Du 29 novembre au 24 décembre 2018, exposition des peintures de Nam Trân à la Galerie Art’et Miss (Paris 3e). Vernissage samedi 8 décembre (18h-20h).
INVITATION
Sur le thème « PETITS FORMATS », Nam Trân présente, avec une quinzaine d’autres artistes, quelques nouvelles créations sur toiles pour les
Fêtes, à la galerie Art’et Miss située au coeur du Marais de Paris.
L’exposition se déroule du 29 novembre jusqu’au 24 décembre 2018.
L’entrée est libre aux heures d’ouverture de la Galerie.
Voici une photo d’un tableau de Nam Trân intitulé « Marécages » :
Sur l’invitation jointe sont indiquées les informations détaillées ci-dessous.
Lieu d’exposition et horaires :
Galerie Art’et Miss : 14, rue Sainte Anastase- 75003 PARIS
Tél. 01 84 84 17 59 17- artetmiss14@gmail.com
Horaires : du mercredi au samedi : 12h-19h – dimanche : 14h-18h
Vernissage : samedi 8 décembre 2018 de 18h à 20h.
Plus d’informations :
– Pour accès à la Galerie :
Métro : Saint-Paul ( ligne 1), Chemin Vert ( ligne 8 ) suivre fléchage vers Musée Picasso
Bus : 29, 96, 75 – Parking Barbette, Rambuteau
– Sur Nam Trân :
Lien :http://www.mcfv.eu/nam-tran-artiste-peintre
Site Internet : http://www.namtran.fr/