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  • « le Vietnam en grand format »  by Thiery beyne

    « le Vietnam en grand format » by Thiery beyne

    LES CARNETS DE LILA PIK, « le Vietnam en grand format »

    by Thiery beyne

     

      » le Vietnam en grand format » et c’est beau. »

    Les photos sont émouvantes, bien composées, avec une recherche graphique qui ravit l’œil. Et pour une fois, il y a une très intéressante adéquation entre le travail du photographe et les supports choisis, assez novateurs.

    J’ai découvert ces belles photos sur de grands kakémonos aux couleurs éclatantes. Et là, j’ai plongé tête la première dans l’image ; et je me suis retrouvée ailleurs, là- bas, dans les rizières, au bord d’une rivière ou sur le coin d’une natte en bambou….. ça m’a fait un bien fou !

    J’ai une nette préférence pour les kakémonos en vertical (1,50 m de haut, c’est superbe !!). Thiery beyne a su choisir des thèmes qui se déclinent à merveille sur ces grands formats ; Il y a également des tirages photos sur plaque d’aluminium pour les amoureux d’un rendu parfait : Les photos saisissent un moment de vie, un vélo qui passe sur un pont, une fenêtre à secret …

    Mais, surtout c’est un travail de qualité, sensible. Pour ceux qui connaissent le Vietnam, impossible de ne pas sourire en regardant cette cuisine de rue, ces enfants aux mains levés, cette sieste hors du temps , ce vert mordant des rizières .. ; il faut dire que cela fait 20 ans que Thiery Beyne photographie le Vietnam, en noir et blanc, en couleur …

    Alors, partager son regard et se dissoudre dans ces images en grand format, c’est un plaisir à ne pas rater ! Et comme il le souligne, Boulogne- Billancourt, c’est un peu plus loin que Paris mais bien moins que Hanoï !

    Les prix sont vraiment doux et si vous voulez bluffer vos copains, faire un méga cadeau original et beau, réinventer votre déco, allez sur le site du labo :

    Blog Initial

    Vous pourrez choisir et commander en direct VOTRE photo préférée ! Tirage limité à 30 exemplaires. Personnellement, ça vaut 100 000 fois plus que les panneaux de papier peints tendance ou les stickers qu’on retrouve partout …

    Blog de thiery beyne

  • Echine de Porc l’ail et au poivre à la vietnamienne

    Echine de Porc l’ail et au poivre à la vietnamienne

    Echine de Porc l’ail et au poivre à la vietnamienne (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Echine de Porc l’ail et au poivre à la vietnamienne

    Pour 4 personnes

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    INGÉDIENTS

     4 côtes de porc dans l’échine
    2 cuillères à soupe d’huile

    MARINADE

    Mélanger le tout dans un plat creux

     4 gousses d’ail finement hachées à la moulinette
    1 bonne cuillère à soupe de sauce de poissons (nuoc mam)
    1 cuillère à café de sucre en poudre
    1 cuillère à café rase de poivre concassé
    1cuillère à soupe d’huile
    1 pincée de 5 parfums

    Laisser tremper une nuit, si possible, ou 4 à 5 heures en remuant parfois. Réserver dans le frigidaire

    PRÉPARATION

     Dans une poêle mettre de l’huile à feu fort et y faire griller le porc (égoutté) en retrournant souvent
    Faire attention que ne le poivre et l’ail ne brûlent pas
    Réserver la viande
    Dans cettemêmepoêleverser à feu doux la marinade et faire réduire

    Au moment de servir vous pourrez, si vous le désirez, y rajouter cette sauce fort exotique.

  • VIETNAM OU COUP DE FOUDRE EN INDOCHINE

    VIETNAM OU COUP DE FOUDRE EN INDOCHINE

    RENCONTRES COLONIALES OU LES HISTOIRES VRAIES D’ASIE (VIETNAM)

    Coup de foudre en Indochine

     VIETNAM OU COUP DE FOUDRE EN INDOCHINE

    Vietnam juillet 1947, le Nord s’embrase, le Sud s’amuse. Hanoï ne veut plus d’un passé de soumission et lève l’étendard d’une liberté si longtemps enfouie. Des idées nouvelles, un désir d’indépendance, un vent nouveau souffle sur le Tonkin et l’ombre d’un avenir sombre embrase la quiétude tranquille des rizières.

    Saigon, l’insouciante, se perd dans les jeux, s’enivre de fêtes lascives, s’oublie dans la lumière des néons chatoyants. Elle a beau s’étourdir, elle sait que le destin d’un pays la rattrapera bientôt, alors elle exulte dans des frasques démesurées et se laisse mourir de plaisir.

    En ce 14 juillet 1947 alors que les évènements se précisent dans le Nord, dans le Sud un grand bal des débutantes se prépare au le palais présidentiel. Le chef de l’état a invité de très nombreux convives à participer à cette soirée de prestige qui fait rêver toutes les jeunes filles du Vietnam. Elles sont là les sœurs Hô , elle font partie de la fête, ébahies d’être ici dans cette magnifique résidence. Le monde entier leur tend les bras, la terre entière est à genoux devant leurs délicates silhouettes à peine sorties de l’adolescence, elles sont les reines d’un monde qui va s’enfoncer dans une tragédie interminable et douloureuse. Au diable la guerre, rien ne compte plus pour elles que les paillettes et le strass des robes qui scintillent sous la lumière indiscrète des projecteurs.

    Ils sont tous là, généraux aux uniformes rutilants, coloniaux aux costumes impeccables, diplomates à l’allure empruntée, jeunes hommes au regard de braise, belles plantes exotiques prêtes à dévorer les mâles trop peu méfiants, ce sont les derniers représentants d’un monde déjà oublié, un monde en sursis.

    Leur père les présente à son ami, un certain Monsieur Messmer et, manu militari, les invite à aller s’amuser car des affaires fort importantes l’attendent.

    Elle s’appelle Simone et ses sœurs ont pour nom Yvonne, Marguerite et Cécile et viennent du Nord. Elles sont vietnamiennes mais de nationalité française, cette particularité les sauvera plus tard d’une lente descente aux enfers.

    Happées par la musique langoureuse distillée par un orchestre en smoking blanc, elles s’égaient toutes comme des moineaux affolés, éperdues de bonheur, émerveillées, gargarisées par ce luxe exacerbé offert sans pudeur par cette immense salle de réception.

    Le service de sécurité est là tendu, à fleur de peau, l’oeil aux aguets, prêt à intervenir au moindre mouvement de foule, au simple battement de cils, suspectant même leurs propres collègues car aujourd’hui les frontières sont floues, le futur incertain et les amis peu sûrs.

    Paul est le responsable de cette garde rapprochée, il observe les aller- venues de chaque convive, son œil aguerri plonge dans le regard des invités pour en extirper l’essence et ainsi anticiper tout danger. Soudain ce professionnel aux yeux bridés, cet Elliot Ness au cœur de pierre, reste figé devant ce tableau si fragile d’une jeune fille timide et maladroite. Il est là comme tétanisé, seul enfermé dans un silence de glace parmi tous ces gens qui tournoient, s’esclaffent, mangent et boivent.

    Alors Paul, il faut te réveiller, tu n’as pas le droit de rêver, retombe sur terre, ici tous comptent sur toi. Rien n’y fait, subjugué par la belle Simone, il oublie tous ses devoirs, confie à son adjoint la bonne marche des opérations, se défait de ses habits de fonction et revêt un costume valorisant, car monsieur veut plaire, séduire, jouer les fanfarons et assiéger le cœur de la jeune fille drapée dans un magnifique Ao-Aï bordeaux. Il sait à cet instant précis qu’elle sera la femme, la femme de sa vie.

    Paul, fin stratège, invite tantôt Yvonne, tantôt Marguerite à des danses endiablées et ne jette aucun regard à Simone qui de surcroît n’en a cure…. D’ailleurs elle n’a même pas remarqué ce garçon follement amoureux qui virevolte avec ses sœurs. Le voilà faisant le beau, il parle haut et fort, se trémousse comme un gardon pris à l’hameçon, le ridicule ne peut rien contre l’amour.

    Paul est fort courtisé par la gente féminine, son charme a déjà fait de nombreux ravages et dévasté de nombreux cœurs de Saïgonnaises. Son père est un homme que tous connaissent, respectent et il est d’ailleurs extrêmement fortuné, puissant et de surcroît un bienfaiteur de l’église.

    Le papa de Simone connaît d’ailleurs bien celui de Paul, ils se fréquentent et s’apprécient.

    Paul, le tombeur de ces dames, a sorti les grands moyens et rien ne pourra arrêter cette machine à broyer le cœur de Simone, ni l’indifférence, ni l’échec et encore moins le ridicule. L’affaire s’annonce difficile car les prétendants sont nombreux et la victoire difficile. Le regard de velours ne suffira pas à capturer, à ensorceler cette jeune fille qui ne pense aujourd’hui qu’à s’amuser au rythme des danses et des rires.

    Pas de répit pour Paul car le lendemain il part à la recherche de sa belle et trouve l’adresse où celle- ci habite. Il passe et repasse devant cette maison aux couleurs de l’amour ; il n’ose pas s’arrêter, hésite, se tâte… Yvonne et Marguerite ont remarqué son manège et l’invite à venir prendre une petite collation que ce dernier accepte avec empressement. Enfin la première défense est franchie et Paul rêve déjà d’une victoire totale où Simone béate tomberait dans ses bras comme un fruit mûr prêt à être cueilli.

    Il pavoise dans cet aéropage de la gente féminine et ne veux plus partir, il s’incruste et même s’invite à dîner. L’on envoie un « boy » à Cholon, le quartier chinois de Saigon, afin de commander un canard laqué, plat uniquement réservé aux convives de choix. Paul tel un pacha en « Pachaterie » se félicite de cette si « inattendue » invitation mais malheureusement une épreuve des plus épouvantables l’attend. Notre séducteur déteste le canard et ce met si délicat le dégoûte au plus haut point, ingérer cette volaille palmée est une torture à sacrifier sur l’autel de l’amour. Paul ne cède pas et prenant son courage à 2 mains avale courageusement le canard qui lui est présenté et dans un rictus des plus hypocrite, remercie la maîtresse de maison d’une si délicate attention.

    Les heures passent, et l’encombrant convive ne se décide toujours pas à regagner ses pénates, il s’évertue à camper près de sa belle qui le trouve aussi collant que du riz gluant.

    Comment se débarrasser de cet amoureux transit qui, de peur de se faire coiffer au poteau par un autre prétendant, ne veut plus quitter des yeux sa « future épouse non consentante ».

    Il est fort tard et voilà qu’il virevolte, fait de l’esprit ne remarquant aucunement les baillements à peine dissimulés de toute la maisonnée. Une telle opiniâtreté amuse et même séduit les sœurs qui ne savent toujours pas pour laquelle cet « ‘énergumène » s’évertue à stationner, sans la moindre gêne chez elles. Etant donné l’heure tardive, la maman propose à Paul de dormir sur place dans la seule pièce disponible celle où réside leur animal de compagnie le « cochon ». N’écoutant que son courage Paul n’hésite pas un instant à accepter de partager son sommeil avec cet animal réputé pour sa propreté légendaire et son ronflement peu délicat.

    Les jours passent et Paul reste sur place, aveugle à la gêne occasionnée, planté tel un chêne indéracinable aux racines tentaculaires ; le cochon est devenu un ami intime, un vrai pote de chambrée à qui il confie son espoir de conquérir le cœur de Simone.

    Comprenant qu’il est impossible de se débarrasser d’un tel phénomène, la famille entière déstabilisée, dérangée mais aussi intriguée attend avec impatience le dénouement, le départ de cette bernique, non bretonne, aux yeux bridés.

    Une vraie histoire sans lendemain dont l’héroïne, l’exotique Simone, en voiture Simone, ne semble pas encore remarquer le manège de Paul dont l’incroyable audace a déjà « tsunamisé » une famille entière.

    Les jours passent et « Mister glue » ne trépasse toujours pas. Vous vous demandez comment cette abracadabrante histoire peut se terminer ?! Et bien rassurez vous car l’étalon italien, oh pardon, vietnamien, se maria avec Simone dans la cathédrale de Saigon soulageant sa future belle- famille d’un si long siège dont l’issue paraissait vraiment improbable.

    Qu’est devenu le cochon, fut-il invité à la cérémonie, se laissa t-il glisser vers une dépression d’avoir perdu son co- locataire ? Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard , bien plus tard !

    Henri (l’un des enfants du couple)

    Cette histoire est une histoire vraie d’Asie.

    Photo à la une de Thierry Beyne

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    Autres histoires vraies d’Asie

  • Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Sourires sans frontières au Vietnam, des stages de clowns en situation

    Stages de clowns en Asie avec « Sourires sans frontières »

    A l’approche d’un long périple ça se rapproche nous y sommes presque, un itinéraire à travers tout le Vietnam nous attend, riche de rencontres, d’expériences…

    cela fait des mois que nous préparons ce voyage dans le cadre de l’association Sourires Sans Frontières.

    Mais c’est encore difficile de réaliser que nous allons partir au bout du monde pour un si beau projet : donner, pendant quelques minutes, le sourire à des enfants , et échanger avec eux sans avoir besoin de parler (nous serions bien incapables de composer une phrase en vietnamien !! 😉 !mais grâce au langage universel du rire, qui est le propre de l’Homme à travers les continents…

    to be continued very soon !!!!

    Interview de Veronique, apprentie clownette Veronique, alias Nono le clown, dont vous avez deja eu l’occasion de lire les premieres impressions, s’est pretee a une interview de choc par notre equipe de clowns

    Pourquoi avoir choisi de rejoindre Sourires Sans Frontieres pour ce projet au Vietnam ? j’avais avant tout envie de me depasser, aller plus loin. C’est pour moi une facon de me connaitre mieux au contact des autres, de la difference, de l’inconnu. Je souhaitais me retrouver moi meme, et, apres quelques jours, j’ai beaucoup avance dans cette demarche. Je dirais meme plus ; je decouvre une autre partie de moi meme a votre contact !!!

    Pourquoi as tu choisi en particulier la scene et l’univers clownesque ? quand l’opportunite s’est presentee a moi, c’etait comme une evidence. Cela ne pouvait etre qu’extraordinaire !!!

    Etais tu deja attiree par l’Asie ? oui bien sur, mais je me refusais a y aller en ’touriste’. Pour moi, aller a la rencontre des enfants et des accompagnants dans les orphelinats est tellement plus enrichissant que de voir le pays en observateur lointain !!! C’est veritablement du tourisme equitable. En plus, j’ai la chance d’etre avec vous qui connaissez bien le terrain !!

    Apres quelques representations, te sens tu prete a aller plus loin et a devenir encore plus autonome sur scene ? bien sur !!

    rassurez vous, vous pourres suivre les aventures de Veronique l’apprentie clowmette dans nos prochains articles

    Une aventure debridee !!!!!!!

    Elle est partie un matin pour s envoler vers la France. Elle etait venue pour faire rire les petits orphelins et les enfants ont ri aux larmes en voyant le clown Nono faire le maximum pour faire oublier toutes les tristesses du monde. Nono a donne ce qu elle avait appris avec les professionnels de l equipe de l association, Sourires sans frontieres, mais elle a su aussi se depasser et offrir tout son coeur. Les benevoles de Sourires sans frontieres savent, evidemment, enseigner aux stagiaires leur savoir- faire mais il leur sera toujours impossible transmettre ce supplement d ame si particulier.

    Veronique avait l envie de realiser une vraie experience. Deconnectee de ses racines, de sa famille et face a de nombreuses incertitudes, notre clown amateur a realise un tour de force, au dela meme de nos esperances, en se lancant sur scene au coeur de l extreme orient, emportant les enfants dans un vrai tourbillon de rires et de joie. Un dizaine de spectacles a travers tout le Vietnam, Saigon, Nha trang, Hue, Hanoi nous a fait decouvrir une compagne de voyage agreable et attentive.

    Veronique, l equipe de Sourires sans frontieres te remercie pour cette fabuleuse aventure pleine de magie, d images et de sincere emotion

    Nous tous

    Vous pourrez retrouver les tribulations de « sourires sans frontières », les photos de leurs aventures, le satage de Nono le clown « amateur » en cliquant :

  • Poulet à la citronnelle (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Poulet à la citronnelle (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Poulet à la citronnelle (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Poulet à la citronnelle

    Pour 4 personnes

    Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne

    INGÉDIENTS

     6 cuisses de poulet tranchées en 4 chacune ( avec un gros coupe- coupe)
    2 cuillères à soupe d’huile
    1/2 oignon coupé finement
    2 gousses d’ail écrasées
    1 cuillère à soupe de citronnelle congelée ou fraiche
    8 cuillères à soupe de sauce de poissons (nuoc mam)
    1 cuillère à café de sucre

    PRÉPARATION

     Dans une poêle mettre l’huile à feu moyen + oignons + ail
    1mn après ajouter le poulet et bien remuer
    A la moitié de la cuisson verser la sauce de poissons (nuoc mam) + sucre + citronnelle
    A feu doux laisser cuire le tout en remuant et en couvrant avec un couvercle

    Ce plat sera meilleur réchauffé le lendemain

    Déguster avec un riz parfumé .

  • Côtelettes à la citronnelle (recette vietnamienne, cuisine vietnamienne)

    Côtelettes à la citronnelle (recette vietnamienne, cuisine vietnamienne)

    Côtelettes à la citronnelle

    (recette vietnamienne, cuisine vietnamienne)

    Côtelettes à la citronnelle

    (recette vietnamienne, cuisine vietnamienne)

    4 PERSONNES

    INGRÉDIENTS

     4 belles côtelettes dans l’échine de préférence.
    1 cuillère à soupe de citronnelle préalablement décongelée et épongée.
    2 échalotes finement émincées .
    1/2 cuillère à café de sucre caramélisé.
    2 bonnes pincées de poivre.
    2 cuillères à café de Nuoc Mam (sauce de poissons).

    PRÉPARATION

     Mélanger tous les ingrédients dans un grand plat
    Faire mariner les côtelettes pendant plusieurs heures en les retournant le plus souvent possible.
    Faire frire les côtelettes avec de l’huile dans une poêle bien chaude .

    Déguster avec du riz parfumé

  • Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Evadez vous au coeur du Vetnam avec les nouvelles photos de Thiery Beyne. Un voyage hors du temps avec des images qui resteront tressées comme un fil entre le présent et le passé.

    BIOGRAPHIE

    Né en 1955 en France, Thierry Beyne est diplômé de l’Ecole supérieure des beaux-arts de Paris (en 1978). Il est venu au Vietnam pour la première fois en 1997 et revient souvent dans cette terre « de la multitude des verts et des sourires » pour capturer des moments de la vie quotidienne de la population.

    Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thaïlande, la Malaisie,

     

     

     
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    Latest photos from Thiery Beyne Latest photos from Thiery Beyne   Escape to the heart of Vetnam with the new photos of Thiery Beyne. A journey out of time with images that will remain plaited as a thread between the present and the past. BIOGRAPHY Born in 1955 in France, Thierry Beyne graduated from the Ecole Supérieure des Beaux-Arts in Paris in 1978. He came to Vietnam for the first time in 1997 and often returns to this land « of the multitude of greens and smiles » to capture moments of the daily life of the population. In the 1980s, Thiery Beyne discovered Asia, where his passion for travel and photography became increasingly important. He traveled from India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, …
  • Les pâtes vietnamiennes, une identité des recettes du vietnam

    Les pâtes vietnamiennes, une identité des recettes du vietnam

     

    Les pâtes vietnamiennes

    Les pâtes vietnamiennes

    La cuisine vietnamienne peut être divisée en trois catégories, selon les régions :

    La cuisine du Nord, dont sont issus les plats les plus célèbres comme le pho. Cette cuisine est influencée par leur voisine : la Chine. Ainsi, ils cuisinent des nouilles aux œufs, des plats sautés et utilisent des baguettes. La cuisine du Sud, influencée par les Français et les Khmers. Comme, le climat est plus clément, ils cuisinent plus de végétaux et plus sucré. La cuisine du Centre, nettement est plus épicée et salée. Ils servent beaucoup de petits plats La cité historique de Hué est certainement la capitale du goût. Nulle part ailleurs on ne trouve de mets aussi raffinés que sur les rives de la rivière des Parfums. Cette tradition de grande cuisine vietnamienne est héritée de son passé impérial.

    Les vietnamiens sont très friands de soupe à base de nouilles, qu’ils mangent au petit-déjeuner et déjeuner en dehors de chez. Le repas du soir est, en général, pris en famille et composé de riz accompagné de viande ou de poisson. Les nouilles à base de riz

    bahn hoi : vermicelles de riz très fins. Ils sont souvent servis garnis d’oignons nouveaux et avec un plat de viande. Recette : Banh hoi thit nuong Bún : « spaghettis » de riz Recettes : Bún Bo : plat composé de vermicelle de riz, de boeuf, de salade. On peut également y ajouter des nem coupés en morceaux. Bún bò Hué : soupe préparée avec des nouilles de Hué ainsi que de la viande de boeuf. On utilise les nouilles de riz bue ainsi que de la viande cuite dans le bouillon et mise en lambeaux. Bún mang vit : bouillon de canard avec des nouilles et des pousses de bambou Bun oc : nouilles avec des escargots Bun cha ca : soupe avec des nouilles de riz et des boulettes de poisson Bun rieu : soupe avec des nouilles et des boulettes de crabe ou de crevettes Recette : Bun rieû tôm phở : nouilles plates et larges Le pho est un potage qui est sans aucun doute le plat national du Vietnam. Il se consomme à toute heure de la journée. Il est souvent servi avec des nouilles de riz ainsi que du boeuf. Le bouillon tire sa saveur des os de boeuf bouillis. Banh Cuon : pâtes de riz fraîches en forme de galette ou crêpe Les Banh Cuon sont confectionnés avec de la farine de riz dont les grains sont choisis soigneusement et marinent dans l’eau toute une nuit. Ils sont ensuite moulus dans un mortier. La pâte obtenue est étalée sur un tissu qui recouvre sur une marmite d’eau bouillante. On ose un couvercle et l’on cuit ainsi la pâte à la vapeur. Après quelques minutes, à l’aide d’une baguette en bambou, on enlève la crêpe qui s’est formée sur le tissu. On pose de la farce au centre de la crêpe et on l’enroule. . les galettes de riz sèches pour la préparation des rouleaux de printemps (goi cuon) et des nem

    Nouilles à base de blé : Mì

    Elle sont moins courantes car plus chères.

    Mì :soupe de nouilles jaunes à laquelle on peut ajouter de la viande et des crevettes.

    Recette : mi vit, soupe de nouilles au canard laqué

    Nouilles à base de haricot mungo

    Appelées bun tao ou quelquefois mien

    Voir en ligne : Source de l’article
  • Grand Prix « Jeunes Talents »

    Grand Prix « Jeunes Talents »

    2ème Grand Prix « Jeunes Talents » de l’Association d’Amitié Franco-Vietnamienne et de l’entreprise LINAGORA : candidatures jusqu’au 30 juin 2017

    By | mars 16, 2017
    imageAlaUneLinagoraAAFVpris jeunes talents2017

    APPEL À CANDIDATURE
    Comme en 2013, le Grand Prix « Jeunes Talents » de l’AAFV est destiné à récompenser une production scientifique, artistique ou autre, en lien avec le Viêt Nam. Sont admises à concourir les productions scientifiques, artistiques ou autres dont le ou les auteurs résident de façon permanente en France (qu’ils soient de nationalité française ou étrangère) et sont âgés de 35 ans au plus (à la date du dépôt de la candidature). Les productions doivent être achevées et/ou rendues publiques depuis moins de deux ans. Le deuxième Grand Prix est doté lui aussi d’une récompense de 3 000 euros en espèces, offerts par
    l’entreprise LINAGORA.
    Les candidatures au deuxième Grand Prix institué pour l’année 2017 devront être envoyées au siège de l’association, le 30 juin 2017 au plus tard à:
    Association d’Amitié Franco-Vietnamienne (AAFV)
    44, rue Alexis Lepère
    93100 MONTREUIL
    Pour tout renseignement complémentaire s’adresser à l’AAFV :
    contact@aafv.org et/ou Michel Dreux
    01 42 87 44 34 06 85 37 94 20 / 01 77 14 17 72
    ci joint réglement du Grand Prix
    Photo de la une de T.Beyne
  • Fils du dragon, enfants de la lune, spectacle

    Fils du dragon, enfants de la lune, spectacle

    Samedi 18 mars à 20h30, dimanche 19 mars 2017 à 15h30, ‘Fils du dragon, enfants de la lune’, spectacle co-créé par Marie Ann Trân, MJC Théâtre de Colombes (92)

    By  

    imageAlaUneColombesMarieAnnThalia Théâtre et Paris Concert (co-producteurs) présentent ‘Fils du dragon, enfants de la lune

    Spectacle tout public à partir de 10 ans.  Durée : 1h05

    Avec : Marie-Ann Trân, Boun Sy Luangphinith, Singhkéo Panya

    Création graphique/images animées en direct : Nadia Nakhlé

    Scénographie/ Costumes : Laurence Ayi. Création musicale : Singhkéo Panya

    Création lumière : Olivier Nacfer. Bande son : Philippe Hunsinger

    Conception : Anne Barlind

    mdrosne cie paris concert 2017_14

    Affiche, présentation et autres informations téléchargeables via ces liens :

    Affiche+tract presentation info Fils du Dragon MJC-TColombes

    http://mjctheatre.com/spectacles/spectacles.php?ev=dragon

     

    2017_03_18_Fils_du_dragon_MJC affiche blog EvelyneTran

    Lieu des deux représentations :

    Maison des Jeunes et de la Culture Théâtre de Colombes (MJC-TC)

    96/98 rue Saint-Denis – 92700 Colombes

    Tél. : 01 56 83 81 81 – Fax : 01 42 42 20 20

    E-mail : mjctheatrecolombes@wanadoo.fr

    Salle de 300 places environ.

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    Accès + plan : extraits de

    http://www.billetreduc.com/lieu/colombes/maison-des-jeunes-et-culture-theatre/

    http://www.mjctheatre.com/spectacles/plan.php?ev=dragon

    Plan + acces transports MJC TColombes

    Tarifs – Réservations :

    Hors Colombes  18 € ; Colombiens  13 € ; adhérents mjc-tc 10 €

    tout public 14-18 ans 8 € ; tout public -14 ans  6 €

    Le tarif adhérent est réservé aux centres sociaux de Colombes, étudiants, demandeurs d’emploi, adhérents mjc-tc sur présentation d’un justificatif

    Voir sous l’affiche en bas du texte Affiche+tract presentation info Fils du Dragon MJC-TColombes

    http://mjctheatre.com/spectacles/spectaclesResa.php?ev=dragon

    http://www.billetreduc.com/180557/evt.htm

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    Avis de spectateurs et de médias

    • Article d’Evelyne Trân sur le blog ‘Théâtre au vent’ du site internet  lemonde.fr http://bit.ly/2lWqV3D

    THEATRE-AU-VENT-BIS

    PhotoFilsdudragon_version2_14-01-17-1_modifié-1 par NamTran

    marieannbounsy-thumb_12120_project_medium

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    Radio

    Marie-Ann Trân était l’invitée de l’émission ‘DEUX SOUS DE SCENE’ animée par Evelyne Trân sur ‘Radio Libertaire’ (89.4) le samedi 11 Mars 2017, accessible en podcast (surligné en rouge) pendant un mois sur le site internet « Grille des émissions de Radio Libertaire » http://media.radio-libertaire.org/ dans l’onglet de la semaine 10 : 06/03/2017.

    Lorsqu’il ne sera plus possible d’entendre cette émission en podcast, des liens vers un enregistrement audio de cette émission seront ajoutés.

    Sur 1h30 d’enregistrement, une 30taine de minutes sont consacrées à Marie Ann Trân et son spectacle ‘Fils du dragon, enfants de la lune’.

    logo radio libertaire

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    Plus d’informations :

    Dossier réactualisé (le 1er décembre 2016) téléchargeable via le lien dossier-fils-du-dragon-enfants-de-la-lune-1-1

    La 1ère représentation de ce spectacle a eu lieu le 14 janvier 2017 au Centre Culturel d’Orly ; voir l’article http://wp.me/p5pQgJ-Vz

    Dates, heures et lieux des représentations de mars à mai 2017 : Calendrier spectacle Fils du Dragon Enfants de la Lune 2017 mars avril mai

    mcfv