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  • Eve Elisabeth Martin, Hypnothérapeute, et la PNL .

    Eve Elisabeth Martin, Hypnothérapeute, et la PNL .

     

    Eve Elisabeth Martin, Hypnothérapeute, Expérience De Coach Artistique.

    Jetez un coup d’œil à cette vidéo

    Eve Elisabeth Martin, Hypnothérapeute,

    nous parle aujourd’hui de son expérience de coach artistique. La PNL (Programmation Neuro-Linguistique ) et l’hypnose ont été très utiles pour gérer les groupes lors de voyages en Asie.

    Eve-Elisabeth Martin est hypnothérapeute et coach. Aujourd’hui elle consulte à Paris et dans le Berry à Vierzon. Eve-Elisabeth Martin nous explique aujourd’hui son parcours.

    Depuis 20 ans déjà, Eve-Elisabeth fait des castings d’artistes en Europe afin de créer de gros numéros en Chine. Un de ses plaisirs est de mixer, mélanger professionnels du monde du spectacle et amateurs « éclairés » afin que les uns puissent faire bénéficier de leur expérience et les autres découvrir le monde des paillettes.

    Très vite Eve-Elisabeth Martin a du se doter d’outils d’accompagnement de la personne afin de gérer aussi bien les problématiques des différents intervenants que les problématiques de groupe. C’est donc tout naturellement que l’hypnose Ericksonienne et le PNL se sont imposées.

    Lors des tournées artistiques, il y a très souvent un gros travail de gestion de la confiance en soi ainsi que sur les problématiques liées aux changements de repères. Pour la Chine tout  cela est exacerbé par le gigantisme des scènes et par la dizaine de milliers de spectateurs à chaque représentation. Il n’est pas anodin non plus de se voir à la télévision chinoise en « prime-time » pour le spectacle d’ouverture de l’exposition universelle de Shanghaï, l’inauguration du barrage des trois gorges… Là encore il faut un sérieux accompagnement pour éviter aux différents ego de se croire « en haut de l’affiche »….le cas échéant le retour au quotidien peut être très mouvementé.

    « Mon rôle est simple, je m’occupe de chacun dans sa spécificité. Mon objectif  est que chaque participant puisse prendre conscience de son potentiel, et grâce à mon aide, qu’il l’intègre et apprenne à le développer et à prendre confiance en soi ».

    Eve-Elisabeth Martin (Hypnothérapeute).

    Hypnothérapeute Paris et Vierzon

    D’autres sujets d’Eve-Elisabeth Martin (Hypnothérapeute):

     L’arrêt du tabac

    Pourquoi l’hypnose

    L’hypnose, un outil puissant

    Hypnose et cigarettes

     

  • Visiter les Palaos, destination inconnue des vacanciers

    Visiter les Palaos, destination inconnue des vacanciers

    Partir découvrir les iles Palaos

    Évoquer le nom des iles Palaos ne dit pas grand-chose pour la plupart des voyageurs. Destination encore peu célèbre, il s’agit en fait d’un archipel de la Micronésie. Bien que peu de vacanciers connaissent cette destination, les Palaos méritent toutefois la visite et cela, à juste raison.

    Les iles Palaos (ou Palau) sont une destination encore très peu connue des voyageurs. Se situant à l’est des Philippines, entre la Nouvelle-Guinnée, les Iles Marchall et les Iles Mariannes, il s’agit d’un archipel formé de plusieurs centaines d’iles dont le plus grand nombre est inhabité. Il est intéressant de savoir que Palaos est la nation la plus jeune au monde. En effet, le pays n’est indépendant que depuis 23 ans, soit depuis 1994. C’est peut-être pour cela, d’ailleurs, qu’il n’est pas aussi connu que les autres destinations voisines. En tout cas, cela n’enlève rien au fait que les iles Palaos méritent toute l’attention des voyageurs et pour bien profiter des trésors de ces iles, il vaut mieux s’offrir un circuit sur mesure.

    La plus grande ile de l’archipel est une ile volcanique du nom de Babelthuap. C’est sur cette ile que se trouve la capitale du pays, Melekeok. Babelthuap est un véritable petit paradis pour ceux qui apprécient la nature verte, puisque presque 90 % des forêts de l’archipel qui s’y sont regroupé. Notez également qu’avant l’année 2006, la capitale de cet État était Koror qui se situe sur l’ile du même nom, au sud de Babelthuap. Ainsi, pour les visites touristiques, c’est vers ces deux iles qu’il faut se diriger. Visiter ces deux villes vous permettra d’apprendre davantage sur l’histoire des Palaos. C’est principalement à Melekeok et Koror que vous pourrez visiter des musées et d’autres établissements culturels.

    Un archipel surtout apprécié pour la beauté de sa nature

    Toutefois, le plus grand attrait des Palaos est sans doute la beauté de sa nature. D’ailleurs, la protection de l’environnement est un sujet que l’on prend vraiment à coeur dans le pays. Cela fait même partie de sa Constitution et est inculqué chez les enfants dès l’école primaire. C’est ainsi, que vous pouvez, entre autres admirer les iles inhabitées de Chelbacheb qui sont connues pour la richesse de leur biodiversité et sont classées au patrimoine mondiale de l’UNESCO. Ces iles sont par ailleurs connues des touristes pour leurs lacs aux méduses. En effet, dans ces lacs, il est possible de nager au milieu de centaine de méduses : une expérience des plus singulières. En passant, il est aussi à noter que les iles Palaos possèdent quelques-uns des meilleurs spots de plongée au monde.

  • Auteur et aventurier: Christophe Delachat

    Auteur et aventurier: Christophe Delachat

    Christophe Delachat, Népémakö (ed Theles)

    Parcours de l’auteur et aventurier Christophe Delachat

    Christophe Delachat a écrit Népémakö, vingt ans après avoir découvert le Zanskar un hiver en 1988, dans des conditions extrêmes.

    Ce roman raconte l’histoire d’un voyage inachevé dont il a imaginé la suite. Inachevé, car il à fallu rentrer avant que le fleuve ne dégèle sous peine de rester au pays six mois car faute d’accès, le Zanskar est un état isolé du monde pendant les huit mois d’hiver. Ce voyage, l’a transformé et depuis, chaque hiver le transporte auprès de ses amis sherpas, les Mayallas du Tchadar.

    Ensuite, son métier de guide de haute montagne, l’a poussé à la découverte d’autres populations de montagne à travers le monde. Il est devenu caméraman de l’extrême pour l’émission Montagne de France 3. Cette collaboration dura dix années : Ushuaïa et Okavango, Zone interdite avec Toni Comiti, (France télévisions) les JO d’Albertville, d’Athènes et toutes les télévisions internationales pour tourner des reportages au Mont blanc que Christophe Delachat a gravi plus de 250 fois.

    Il a franchi le Cap Horn à bord du voilier Balthazar puis a exploré la Terre de Feu comme un trappeur et fit plusieurs courses jusqu’à 6000 mètres dans la cordillère des Andes, dans le Ruwenzori en Afrique, le Groenland, l’Everest et l’Annapurna sans atteindre le sommet.

    « La montagne m’a tout appris, elle est toujours mon école de la vie car j’ai quitté l’autre à 16 ans par soif d’aventure. Je suis un vrai autodidacte avec les embûches que cela représente jusqu’au jour où j’ai pu prouver au système que cette école là fonctionne également. Voilà pourquoi j’ai créé le personnage de Louis Galion qui va traverser les sept continents pour plaider la cause des populations opprimées dont l’environnement naturel est menacé. »

    Christophe Delachat a dans un même esprit créé l’association des Héritiers du Mont Blanc pour préserver l’identité culturelle des populations de montagne. Il a réalisé trois films dont le premier, Les Héritiers du Mont Blanc retrace la vie des guides de la compagnie de Saint Gervais de 1760 à nos jours. Le deuxième, Les Caravanes de l’Ombre montre le travail des bénévoles de la société de secours en montagne du Mont Blanc et enfin le troisième opus de la trilogie du Mont Blanc, Sur les Traces de Charles Hudson retrace l’itinéraire de la voie Royale au Mont Blanc que Charles Hudson a ouverte en 1855. Ces trois films DVD sont disponibles et l’association des Héritiers du Mont Blanc les commercialise pour réinvestir dans d’autres projets. Christophe Delachat prépare les prochaines aventures de Louis Galion au Pérou.

    NÉPÉMAKO ( Edition Theles)

    Népémakö est le Royaume des Ombres Tibétaines. L’Eden tibétain est une terre promise aux cœurs purs pour se réfugier à l’abri des menaces de l’envahisseur. Louis Galion choisit l’hiver himalayen pour remonter le fleuve gelé du Zanskar, frontière entre l’Inde et le Tibet. Première épreuve pour cet aventurier néophyte qui veut rejoindre le monastère de Phuktal, à la recherche d’une source sacrée fort convoitée. Un moine-médecin tibétain et un aventurier valdôtain vont se joindre à lui pour sauver la source des sept cristaux de l’arc-en-ciel dont les vertus miraculeuses sont le garant de l’écosystème de la Terre face à la folie des hommes.

    Christophe Delachat est né à Saint-Gervais. Guide de haute montagne, il parcourt les plus hauts sommets du globe. Après un grave accident, il s’oriente vers le reportage. Caméraman de l’extrême puis réalisateur, il collabore pour Ushuaïa, le magazine Montagne, Zone interdite… Son dernier film, Les Héritiers du Mont Blanc, a remporté l’adhésion du public.

    Illustration de couverture, Abeleisa.

    Si vous souhaitez joindre l’auteur qui réside à Saint-Gervais 06 80 02 75 24, ou crisdelachat@orange.fr

    Martine Cartaux, attachée de presse, 01 40 20 98 44, martine.cartaux@theles.fr

  • Une aventure des clowns de Paris: Beijing 2008

    Une aventure des clowns de Paris: Beijing 2008

    Beijing 2008, jeux Olympiques de Pékin ou avant goût à la chinoise !

    Carnets de voyage en Asie des clowns de Paris

    Les Jeux Olympiques de Pékin 2008 ou avant goût à la chinoise !

    Par une belle soirée de septembre, des artistes venant des quatre coins de l’hexagone furent invités à découvrir un spectacle dont le décor était le fameux barrage des « 3 gorges ».

    Nous découvrîmes une scène gigantesque entourée de quatre immenses grues qui surplombaient des rampes de jeux de lumières colossales aux couleurs irréelles. Tels des géants de la guerre des étoiles, les grues se mirent en mouvement comme mues par une force invisible.

    Bientôt, une musique titanesque et grandiose, nous enveloppa, enserrant nos oreilles d’un étau de plaisir : le spectacle commença. Des murs de baffles nous distillait un torrent de cuivres aux accents de péplum, les grues se mirent à s’affoler et soudain un silence de plomb nous cloua sur place. Des centaines de comédiens, danseurs, jongleurs, acrobates et figurants ,environ mille personnes, surgirent de nulle part ou de tous les coins à la fois. Nos yeux ne savaient pas où regarder, notre attention attirées par tant de mouvement, s’affolaient ivres de couleurs et de magie. Une grue enleva une jongleuse et la transporta dans les airs, une autre souleva une jonque qui navigua en plein ciel, et une troisième emporta un immense tambour sur lequel une danseuse effectua une danse délicate…

    Nous étions happés par ce spectacle où se détachait le fameux barrage grandiose et effrayant à la fois. La fin de cet incroyable débauche de moyens se termina par l’arrivée spectaculaire des mascottes de jeux olympiques de Beijing 2008.

    Des étoiles plein la tête et après cette « petite » mise en bouche, nous songions avec une certaine circonspection à la dimension pharaonique des festivités prévues pour l’ouverture des jeux de Beijing 2008.

    Et que cela reste entre nous, il nous a été confié que ce spectacle auquel nous avons été conviés aurait coûté, juste pour 12 jours, la bagatelle de 3 millions d’euros. Une bagatelle, quand l’on sait que de telles représentations sont réalisées dans de nombreuses villes de Chine.

    Bien sûr les Jeux Olympiques à Pékin ce n’est pas tous les jours.

    Nous souhaitons à la chine nos meilleurs pour Beijing 2008.

    Avec l’association « Sourires sans frontières »

    Comment changer sa vie avec les clowns de Paris

  • Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Jeu : une bretonne rousse s’est cachée parmi des indiens, à vous de la retrouver… pour le gagnant, 100kg de crêpes et un magnifique séjour à Redon.

    Un groupe de 20 bretons est parti 15 jours en Inde du Sud traversant le « Tamul Nadu pour rejoindre la côte ouest du Kerala. Piloté par un guide du pays, nous avons sillonné le sud de l’Inde en car en passant par Chennai, Pondicherry, Maduraï, Kodal Kanal, Black Waters…Cochin et retour en train de nuit. »

    Nos bretons ont été impressionnés par cet étrange animal fort rare en pays Bigoudin


    Une fesnoz très exotique

    « La ferveur des indiens dans les temples, le sourire et la gentillesse des hommes et des femmes que nous avons côtoyés, la finesse des plats au curry, les rick shaws zigzagant entre les camions voitures et vaches sacrées, les saris chatoyants, la beauté des paysages ensoleillés : montagnes, rizières, sequoias, palmeraies, plages… sont autant de souvenirs impérissables et colorés. Nous attendons tous une bonne occasion pour partir à la découverte de l’Inde du Nord ! »

    Soizick

    PS : « une seule fausse note, il me manquait le cidre et les crêpes…. A défaut de crêpes j’ai pris des NANS, mais ce n’est pas pareil, il manque ce petit supplément d’âme qui donne ce goût breton si particulier et qui parle à mes origines flibustières ». Pourquoi aller si loin, le Nirvana c’est la crêpe avec une rincée de cidre.

    PS:et du coup j’ai décidé de changer ma vie!



    A Breton looking for Nirvana!

    A Breton looking for Nirvana!

    Game: a red-haired Brittany hidden among the Indians, you find her … for the winner, 100kg of pancakes and a magnificent stay in Redon.

     

    A group of 20 Breton traveled 15 days in South India crossing the « Tamul Nadu » to join the western coast of Kerala. Driven by a guide of the country, we crossed the South of India by bus through Chennai, Pondicherry , Madurai, Kodal Kanal, Black Waters … Cochin and return by night train.  »

     

    Our Breton ones were impressed by this strange animal very rare in country Bigoudin
    A very exotic fesnoz

    « The fervor of the Indians in the temples, the smile and the kindness of the men and women we met, the delicacy of the curry dishes, the rick shaws zigzagging between the trucks cars and sacred cows, the shimmering saris, Sunny landscapes: mountains, rice paddies, sequoias, palm groves, beaches … all of them are imperishable and colorful souvenirs, and we are all waiting for a good opportunity to discover northern India!  »

    Soizick

    PS: « Only one false note, I miss cider and pancakes …. In the absence of pancakes I took NANS, but it is not the same, it lacks that extra bit of soul that gives this A Breton taste so special and which speaks to my filibustering origins « . Why go so far, the Nirvana is the crepe with a rinse of cider.

    PS: and suddenly I decided to change my life!

  • Barbara Luna, chanteuse argentine

    Barbara Luna, chanteuse argentine

    Barbara Luna, a été découverte par Peter Gabriel 

    Barbara Luna, chanteuse argentine, a été découverte par Peter Gabriel en 1998 et a tourné partout dans le monde.Femme de tempérament, Barbara Luna métamorphose toutes les racines musicales d’Argentine en une composition acoustique pleine d’énergie. 
    Puisant dans les racines amérindiennes et africaines de la musique argentine, où elle est née, ses chansons parlent d’amour, de liberté, de la richesse des métissages, de la brûlure des passions et d’horizons sans fin.

    Elle présente son 5ème album « Hijos des Sol » enregistré entre Paris, Buenos Aires et la Bretagne

    vendredi 21 avril à l’Entrepôt à 20h 
    7 Rue Francis de Pressensé, 75014 Paris

    Le clip sur youtube

     

    Découverte en France en 1998 au Printemps de Bourges, elle entame une carrière internationale en se produisant dans le cadre du festival  itinérant de World Music «Womad » créé par Peter Gabriel.  Au quatre coins de la planète (Canaries, Sicile, République Tchèque, Afrique du Sud, Singapour, Etats Unis, Australie, Grèce…), elle démontre qu’elle est une véritable artiste de scène. Barbara reçoit le label «Attention Jeune Talent» décerné par la Fnac, pour l’album India Morena, cette chanson éponyme la consacre dans son pays en 2014 où elle l’interprète devant 100.000 spectateurs.

    Plus d’information : www.barbara-luna.com
    Venez partager un moment d’énergie solaire et communication

     

     

     

  • Fils du dragon, enfants de la lune, Centre Culturel d’Orly (94)

    Fils du dragon, enfants de la lune, Centre Culturel d’Orly (94)

    Samedi 14 janvier 2017 à 20h30, Fils du dragon, enfants de la lune’, spectacle co-créé par Marie Ann Trân au Centre Culturel d’Orly (94)

    By | 

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    Affichettes extraites du document du Centre culturel d’Orly téléchargeable via le lien affichettes-fils-du-dragon-orly-14_01_-2017 :

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    Texte de Marie Ann Trân extrait du dossier réactualisé (le 1er décembre 2016) téléchargeable via le liendossier-fils-du-dragon-enfants-de-la-lune-1-1 :

    Fils du dragon, enfants de la lune est une création mêlant théâtre, musique des mondes, arts numériques et graphiques. J’ai souhaité mettre en forme la quête sur les origines de ma famille, native du Vietnam du Sud et son parcours d’exil en Val-de-Marne.

    Le texte, écrit à partir de témoignages et de faits réels, entremêle le passé et le présent, la fiction et la vérité. La création d’images d’animation en direct et l’interaction entre personnages incarnés et virtuels réinventent un univers mental et fantasmagorique, oscillant entre le rêve et la réalité.

     

    Dans cette “en-quête”, à la fois questionnement collectif et recherche introspective, se dessine en filigrane une part encore enfouie de la mémoire collective : celle de la colonisation française en Indochine.’

    Création 2017  présentée par : Thalia Théâtre et Paris Concert.

    Texte : Marie-Ann Trân et Cédric Bonfils.  Mise en scène – Conception : Anne Barlind.

    Distribution : Marie-Ann Trân, Boun Sy Luangphinith, Singhkéo Panya.

    Coproduction : Centre culturel Aragon-Triolet d’Orly

    Plus d’informations dans http://www.centre-culturel-orly.fr/spip.php?article1930

    Le spectacle débute à 20h30, dure 1h05’(sans entracte), se termine vers 21h35.

    Il est conseillé d’être à l’entrée de la grande salle de spectacle de 400 places entre 20h et 20h15.

    Il n’est pas obligatoire de réserver les places. Elles ne sont pas numérotées ; mais il est préférable de signaler assez à l’avance votre venue à Nam Trân et aux autres personnes impliquées (selon les modalités décrites plus loin) pour bénéficier du tarif de groupe. Merci !

    Plein tarif : 15 €.    Tarif de groupe (10 personnes au minimum) : 8 € 

    Les billets de groupe peuvent être réservés à l’avance (ce qui est préférable)

    1. soit en laissant un commentaire (‘privé’) sur le site internet du MCFV en réponse au présent article http://wp.me/p5pQgJ-Vz  (votre réservation sera transmise à Nam Trân et aux autres personnes concernées ; elle vous sera confirmée aux coordonnées que vous aurez laissées, lesquelles n’apparaîtront pas publiquement sur ce site sans votre accord),

    2) soit en adressant votre demande de réservation via Facebook dans un ‘message privé’ au compte nommé ‘Mai HX‘,

    3) et non pas en contactant le Centre culturel d’Orly par téléphone comme indiqué initialement.

     Les billets de groupe peuvent aussi être achetés sur place (sans réservation) le soir de la représentation du 14 janvier avant 20h30 au :

    Centre culturel Aragon-Triolet d’Orly  –  1, place du Fer-à-Cheval  –  94310 Orly

    Extraits de http://www.centre-culturel-orly.fr/spip.php?article39 (Informations pratiques) +commentaires + compléments d’informations (soulignés + en italique):

    Comment se rendre au Centre culturel ?

    Covoiturage : indiquer à l’accueil si des places sont disponibles dans des voitures pour raccompagner des personnes après le spectacle,… (ce nouveau service ne fonctionne pas encore).

    Navette : La ville met une navette à votre disposition pour venir vous chercher et vous raccompagner le soir des spectacles, pour réserver téléphonez à l’accueil billetterie au 01 48 90 24 29.  Cette navette dans un véhicule pour 9 personnes dessert uniquement trois villes : Orly, Choisy-le-Roi, Villeneuve-le-Roi.

    En voiture : Prendre A6a ou A6b direction Orly Aéroport. Sortie Orly-Ville. Passer tous les ronds-points et suivre les panneaux Orly-Ville (D64). Au bout de l’avenue de la Victoire, prendre à droite l’avenue des Martyrs-de-Châteaubriant. Le Centre culturel est en face du centre commercial Leclerc.

    Par le RER Ligne C, train ROMI ou MONA : – Descendre à Orly-Ville. À droite de la gare en sortant, 1re à droite (pont) : avenue Adrien-Raynal jusqu’au Centre culturel (en face du centre commercial Leclerc) ; de la gare RER C Orly-Ville, environ 15 minutes à pied.  – De la gare RER C Les saules, environ 5 minutes à pied.

    Par AUTOBUS 183 direct de la Porte de CHOISY en direction d’Orly, descendre à l’arrêt FER À CHEVAL, à côté du Centre Culturel d’Orly.

    Durée du trajet en bus de Porte de Choisy à ‘Fer à Cheval’ selon l’attente: 45 à 60 minutes.

    Plus d’information sur le trajet et les horaires du bus 183 :

    http://www.evous.fr/Bus-183-Porte-de-Choisy-Aeroport-d-Orly-Terminal-Sud,1168729.html

    http://www.ratp.fr/informer/pdf//orienter/f_horaire.php?loc=bus_banlieue/100&nompdf=183&fm=pdf&default=h&lang=fr&partenaire=ratp

    Le vendredi 13 janvier 2017, ce spectacle est proposé aux groupes d’établissements scolaires d’Orly.

    Téléphone du Centre culturel d’Orly : 01 48 90 24 24   (pour renseignements, mais pas pour réservationde billets de groupe)

  • Comment changer sa vie: changer son look

    Comment changer sa vie: changer son look

    Comment changer sa vie: changer son look

    FondHeaderChanger sa vie c’est un peu comme changer de peau et pour cela j’ai cherché à apprendre, j’étais « ouvert ». Je m’appelle Gustave et je suis d’origine asiatique et très longtemps je me suis senti mal dans mes baskets et pas seulement aussi dans mes fringues. J’avais l’air d’un « boat- people » arrivé fraîchement par le dernier sampang.

    La frange devant, une paire de lunettes sur- dimensionnée, des chaussures « écrase- m… » etc…J’avais l’impression de ressembler à un poisson- lune en goguette.

    Une première petite amie m’a expliqué que l’apparence « peut parfois » aider à améliorer ses relations avec son entourage professionnel. Ce message je l’ai tout de suite intégré car j’avais cette aptitude à l’écoute et la possibilité de saisir les « bons conseils » que l’on pouvait me donner, pas des conseils débiles sans sans grande portée mais plutôt un petit plus qui me permettrait de mieux m’intégrer.

    Je n’étais pas au top mais mon look avait quelque peu évolué vers un style plus « attrayant », une coiffure plus moderne, des lunettes qui ne défiguraient pas le visage cachant un « charme  » naissant…. Les filles me trouvaient plus à leur goût, plus « sexy », moins « strange ».

    Puis le grand déclic survint avec la préparation pour le mariage d’une proche. J’avais acheté une veste chez Brummel aux Galeries La fayettes et j’étais fier comme Artaban de cette acquisition fort onéreuse. Un proche toujours habillé avec élégance me dit:  » tes vêtements ne te vont pas ». Assommé par cette remarque, je l’écoutai quand même avec attention. « comme de nombreux asiatiques, tu as des jambes courtes et pour cette raison il faut nécessairement une veste plus courte afin d’allonger virtuellement tes jambes et pour cela il serait judicieux de t’habiller « sur mesure » . Interloqué mais toujours attentif à des conseils « positifs », je m’exécutai.

    Depuis je comprends mieux que tout doit être homogène, que les couleurs doivent se compléter sans jurer etc… Sans tomber dans l’excès devenir uncouleurs« dandy » ou une « fashion  victim », il est dans tous les cas important d’écouter, d’analyser et de synthétiser afin d’évoluer. Etre à l ‘écoute, voir, comparer et surtout s’intéresser à son environnement est une qualité indispensable pour évoluer dans notre société sans pour autant perdre son âme et se vouer à la mode et au bling- bling.

    Changer son look est aussi une certaine façon de « changer sa vie » sans la bouleverser. C’est un premier pas vers une démarche psychologique permettant de s’éloigner à petits pas de sa zone de confort et ainsi d’intégrer un autre territoire plus favorable à nos désirs de « changer sa vie ».

    Notre avis: facile mais êtes vous à l’écoute des conseils des autres?

    En savoir plus

  • Histoires vraies: Vaudeville à la Morgue

    Histoires vraies: Vaudeville à la Morgue

     

    Histoires vraies: Vaudeville à la Morgue 

     

    rire

    Ma chère belle mère, Solange (mère de ma femme) décédée en 2002 se trouvait déjà à la morgue de l’hôpital avant que sa sœur Huguette, ne se déplaçant qu’en fauteuil roulant, puisse venir lui rendre hommage. Leur relation était très fusionnelle, elles se vouaient une vraie passion l’une pour l’autre.

    Ma femme et moi obtenons une dérogation pour venir avec elle, à titre très exceptionnel et ce, dans la plus grande discrétion,  afin de lui rendre une dernière visite dans ce lieu si sympathique.

    Deux jeunes infirmières stagiaires, dont cela n’était pas du tout la fonction, nous accueillent à la morgue, dans les sous-sols de l’hôpital. Elles ouvrent un grand casier qui contient trois corps et extirpent ma belle mère du casier du milieu. Elles positionnent les roulettes, font glisser le chariot en inox sur lequel repose la défunte et nous autorisent à rester quinze minutes à la contempler ainsi pour ne pas que le corps se réchauffe trop à la chaleur ambiante. Puis elles s’éclipsent.

    Trop contents de pouvoir satisfaire la demande d’Huguette, je la laisse parler à Solange :

    – Ah, ma Solange, ma Solange, nous avons vécu tellement de choses ensemble. Rodolphe, tu vois comme elle est belle. Je veux l’embrasser pour un dernier adieu. Je veux t’embrasser ma Solange.

    J’approche son fauteuil roulant. Elle essaie de se pencher mais ça reste encore trop loin pour qu’elle puisse accomplir son souhait. Alors elle se lève, prend appui avec ses deux mains sur le chariot en inox dont les stagiaires n’avaient pas serré le frein, et, devant subitement tant de poids mal réparti, le chariot en inox valdingue par terre avec grand fracas, emportant dans son élan le corps de la malheureuse Solange stoppé net dans sa chute par le carrelage froid de la morgue.

    Evidemment, panique à bord. Ma femme, la fille de la défunte, se met à hurler dans le couloir. Les deux stagiaires arrivent à la rescousse. La première entre et, en voyant le tableau pitoyable, tombe directement dans les pommes.

    Bon, bon, c’est bien parti la visite en catimini !

    –  Ma Solange, je t’ai tuée ! Ma Solange, je t’ai tuée une deuxième fois !  hurlait sa sœur Huguette, éberluée et choquée. Il faut dire qu’on le serait à moins !

    La  deuxième stagiaire se met à trembler comme une feuille en voyant le cadavre étendu parrire terre :

    – Qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce qui se passe ?

    Je ne réponds pas et décide de prendre les opérations en main. Pour commencer, j’assène quatre claques à la première stagiaire pour qu’elle se remette de ses émotions et  nous aide à remettre le corps sur le chariot. Une fois debout, nos huit bras ne sont pas de trop pour ramasser la pauvre Solange et la positionner  à nouveau correctement avant de la glisser dans son casier.

    A ce moment-là, on voit le cadavre d’une vieille dame, placée dans le casier du bas, dont l’œil était resté ouvert  et qui semblait contempler notre pathétique scénario.

    Les infirmières, livides et prêtes à nouveau à défaillir, imaginent aussi les conséquences pour elles, au cas où nous aurions porté plainte auprès de l’hôpital pour personnel incompétent.

    Je  les rassure :

    – Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer, il n’y aura pas de suite, personne n’a rien vu !

    Et nous repartons sur le champ à toute allure dans les couloirs des sous-sols puis du rez-de-chaussée de l’hôpital, en poussant le fauteuil roulant d’Huguette qui, toujours sous le choc, continue à hurler à qui veut bien l’entendre :

    – J’ai tué ma sœur, j’ai tué ma sœur une deuxième fois !

    Une visite comme on nous l’avait demandée : en toute discrétion…

    (Serge Senftlé)

    Une autre histoire vraie

     

  • Rémy Gastambide, peintre et illustrateur d’origine vietnamienne

    Rémy Gastambide, peintre et illustrateur d’origine vietnamienne

    Cours de dessin par l’artiste peintre et illustrateur d’origine vietnamienne Rémy Gastambide, les samedis à partir du 24 septembre 2016, de 10h30 à 12h, à Paris 13e

    By | septembre 22, 2016
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    Les cours de dessin académique et d’observation, ainsi que les cours de dessin avec modèle vivant commenceront à partir du samedi 24 septembre 2016.

    Le 2ème cours aura lieu le samedi 1er octobre 2016

    Horaire : 10h30 – 12h.

    Lieu : 68, avenue d’Italie – Paris 75013 – Métro : Tolbiac

    Pour plus de renseignements sur ces cours de dessin de l’artiste peintre et illustrateur d’origine vietnamienne Rémy Gastambide,

    le contacter par téléphone au 06 61 47 37 85

    ou par e-mail à l’adresse remy.gastambide@free.fr.

    Le numéro de téléphone et l’adresse e-mail de Rémy Gastambide figurent en bas de l’affiche ci-dessous avec en haut des éléments de son C.V.

    Les personnes qui souhaitent suivre les cours accompagnées de leur(s) enfant(s) sont les bienvenues.

    Rémy Gastambide pourra donner des cours de dessin adaptés à l’âge et au niveau de ces enfants, s’ils le souhaitent.

    D’autres informations seront ajoutées plus tard.

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    Photo de la une de thierry beyne