Étiquette : happy

  • Retour au Vietnam, émotion mais pas de larme!

    Retour au Vietnam, émotion mais pas de larme!

    Retour au Vietnam, d’autres ont pleuré et pourquoi pas moi !

    _ Carnets de voyage en Asie: le Vietnam
    D’autres ont pleuré… et moi, et moi et pourquoi pas moi ?

    `Je connais bien la Thaïlande, la Malaisie, Le Sri Lanka, la Chine… j’ai toujours évité de visiter le Vietnam dont je suis originaire… vous avez dit bizarre ? Aujourd’hui je pars, je m’envole là-bas aux portes de ma vie et de mes rêves. Une décision brutale à la recherche d’un passé trouble résultat de souvenirs souvent auréolés de peurs, de joies et de chimères.
    Je pose enfin les pieds sur cette terre imprégnée de soleil. Aucune émotion, rien qu’un dépaysement sous un lourd manteau de chaleur où résonne le brouhaha annonciateur d’une ville en perpétuel mouvement. Des taxis racoleurs, des camelots insistants et cette vie intense nous rappellent que l’Europe se meurt d’ennui à plus de 12 000kms. Saïgon m’ouvre les bras comme une mère et m’accueille dans la fourmilière urbaine prête à happer les imprudents. Dans ce délire de vélos, de cyclomoteurs, je marche tranquille et je n’ai pas peur. Étrange impression de connaître et de découvrir sans jamais franchir la frontière du réel et du rêve. La sécurité routière ou la prévention routière dans cet enchevêtrement d’autos, de piétons, de poussière et de klaxons stridents seraient au bord de l’apoplexie. Une vraie vie m’attend ici depuis toujours.

    J’avais donné rendez-vous à une amie, en provenance de Bangkok et à un cousin qui arrivait de Paris, dans cet hôtel mythique le Majestic. Se retrouver ici, au Vietnam ensembles est vraiment un moment magique teinté de vives émotions. Accompagné d’effluves exotiques et de senteurs de gaz oïl je commence la visite de cette ville grouillante où la vie règne en maître absolu. Une partie de la famille de ma fiancée, 100% française, a vécu en Indochine. Aujourd’hui elle est ravie de participer à ce retour aux sources. J’ai tous les caractères physiques d’un vrai asiatique et pourtant elle ne m’a jamais vu comme tel. Elle m’avoua par la suite n’avoir aucune attirance à l’encontre des mâles aux yeux bridés…Qu’elles sont étranges les perceptions ; grâce à cette particularité de l’amour j’avoue avoir bien de la chance !
    Revenons à nos canards laqués…oh pardon à nos moutons. Continuons notre petite ballade. Eh oui j’y suis, incroyable je suis là au milieu de Saigon la ville de mes parents, grands parents, oncles, tantes…La cathédrale se dresse devant moi comme une caverne d’Ali Baba. Dans des moments rares, mes parents, devenus en France de petits fonctionnaires, me parlaient avec un brin de fierté dans la voix, de cette famille dont j’étais devenu un obscur descendant. Une famille aux pouvoirs importants, à la fortune immense qui possédait en outre près de 30 000 ha de rizières…Comment en étions-nous arrivés là ? Je sentais en eux une gêne d’être ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, des gens simples et transparents. Ils s’excusaient de n’être plus. Tout ce passé glorieux fait de luxe, d’apparat, je n’y croyais que par besoin , j’avais aussi attrapé les symptômes de cette maladie honteuse que l’on appelle …. Les moyens de mes aïeux étaient illimités et ils n’hésitaient pas à offrir des cadeaux somptueux au culte…c’est ce qui se disait ! Tout cela n’était peut-être qu’affabulations et chimères ! Ma fiancée brusquement me prend le bras et me montre un magnifique vitrail sur lequel est inscrit mon Nom. Stupéfaction, tout est donc vrai, pas de blabla rien que du bonheur d’exister. On me confirme par la suite que le gros bourdon avait été offert par mon grand père. Je n’avais jamais vraiment senti l’ampleur de mon désarroi aujourd’hui encore.


    Des odeurs connues mélangées à d’étranges sensations de parfum enivrant m’emportent dans un univers rassurant en terrain conquis. Je vis comme un « riche » allant de restaurants branchés en repaires à « bobos » sans jamais compter, la note la plus élevée n’atteignant jamais la somme record de 5 euros. Je suis un nabab. Mais ce qui attise mes sens, les excite au plus haut point est sans conteste le sirop de la rue en perpétuel mouvement habillé de soie blanche, de chapeaux coniques, de sourires enfantins, de cris perçants et de vrombissements omniprésents. L’enfer du bruit ouvre ses bras, mais un enfer tellement désiré, si souvent souhaité ! La ville de Saigon représente bien une cité du sud elle est grouillante et pleine de surprises. Mais je trouve qu’elle manque d’une unité architecturale ce qui me déçoit quelque peu.
    Prendre le train de nuit, même en couchette molle reste une aventure à vivre avec délectation. Nga Trang et ses plages dorées m’accueillent avec douceur et émerveillement. Cette carte postale me raconte les plus belles heures coloniales pleines de femmes sublimes aux jambes interminables et au fume-cigarette omniprésent.
    Prochaine destination Hué, la capitale Impériale blottie dans les méandres de la rivière des Parfums
    Pour cette fois je pars avec un guide et ami vietnamien …Nous louons un mini bus climatisé et hop direction le centre du Vietnam. Des côtes et encore des côtes, la mer et ses flots amicaux nous accompagnent pendant tout le voyage.La mer est, à l’est de ce merveilleux pays une frontière de près de 1500 kms. Hué me laisse un souvenir ému et impérissable plein d’une sérénité figée par le temps. Il faut prendre le temps de flâner dans ses marchés tranquilles, de visiter la cité impériale ou même de se laisser doucement glisser dans une petite jonque, sur la « rivière des parfums » à la recherche des innombrables temples.
    Jamais rassasié par les multiples découvertes, je décide de monter encore plus haut vers le nord, vers Hanoi la capitale. Cette fois si en car avec les locaux heureux de pouvoir jauger un touriste sur sa capacité à supporter un long voyage dans un véhicule sans grand confort. Rires goguenards et plaisanteries incompréhensibles égrènent notre nuit agitée.
    Arrivée à 6 h du matin la tête dans le…et l’estomac dans les talons. Une soupe tonkinoise (pho) sur le bord du trottoir et immédiatement le charme incontestable d’Hanoi s’empare de moi. Vieille ville coloniale restée vierge de toute construction intempestive elle garde ce cachet et ce caractère si particulier qui raconte une vraie histoire. Mon esprit vagabonde et se prend au jeu du retour vers le passé si empreint de douceur et de charme. Chaque quartier est l’image d’une corporation où se côtoient de différents métiers qui nous apparaissent, nous européens si aseptisés, presque désuets mais si attachants. Des petits bars à la chaleur moite malgré de vieux ventilos souffreteux, des échoppes bondées de marchandises en déséquilibre, des restaurants apocalyptiques aux énormes marmites bouillonnantes… c’est Hanoï qui nous nous reçoit sans apparat. Tout dans cette ville déborde de vie et d’envie.

    En route pour la baie d’Along et son cortége interminable et affolant de touristes ventripotents. Rien à dire sinon un peu de déception et des sentiments mitigés . Je poursuis mon chemin vers hoï han petit port au charme indéniable et à l’architecture colorée. L’or, le noir et le rouge ont fait de cette ville un passage obligé pour tous les amoureux de l’authenticité du vietnam.
    Il va falloir revenir à Saïgon et puis tristement vers paris la ville des lumières . J’ai l’impression étrange que l’Europe est, après ce déluge de vivacité, devenu un « no man’s land » aux couleurs de l’ennui.
    Je pensais que les larmes seraient au rendez-vous, que l’émotion comme une flèche délicieuse me transpercerait le cœur jusqu’atteindre les plus profondes de mes fibres, et bien rien ! J’ai, depuis ces jours de plénitude touristique, souvent repensé à ce sentiment si étrange et des questions sans réponses ont fait place à l’imcompréhension. Suis devenu insensible à ce magnifique pays ou simplement n’ai pas réalisé le sens de ce voyage . Il me faudra retourner là bas et dès aujourd’hui je m’y prépare.
    _ Henri Victor

    Copyright © 2006-2009 – asietralala- Tous droits réservés

  • YE Jianxin, artiste- peintre chinois

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois/雄浑大地见真情, 读叶建新的水墨山水, 范迪安

    PEINTRE CHINOIS

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois.

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    YE Jianxin Né le 26 juin 1958, membre de l’Association des Artistes Chinois. Professeur à l’Institut des Arts du Cinéma et de la Télévision de l’Université de la Communication de Chine et directeur de Maîtrise. Responsable de l’Académie Nationale des Technologies du Cinéma et de la Télévision. Directeur du Comité Professionnel des Beaux-Arts. Professeur invité à l’Institut des Media de Zhejiang. Directeur de publication du Marché des Arts.

    Majestueux paysages, authentique émotion :

    Commentaire sur les œuvres de YE Jianxin par monsieur FAN Di’an

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    Les lavis paysagistes à l’encre de Chine de Ye Jianxin se distinguent par son style élégant et vigoureux hors du commun. Une structure audacieuse dans ses tableaux, une place importante accordée aux couleurs sombres et des traits profonds enveloppent une vitalité débordante. L’ensemble de ces caractéristiques forme un univers particulier qui nous impressionne et nous attire. De cette fascination, naît un contact personnel privilégié avec la terre et le ciel, issu du concept d’un esprit purificateur, il nous effleure d’une sensation de plaisir et de gaieté.

    Comme résumait parfaitement le célèbre écrivain contemporain chinois, LIN Yutang (1895—1976), lorsqu’il analysait la peinture chinoise : « toute inspiration artistique chinoise prend sa source dans les paysages ». En effet, lorsque la peinture paysagiste avait pris son essor à l’époque de la dynastie Tang, les expressions artistiques ses caractérisaient surtout par leur esprit esthétique. A travers leurs œuvres, les peintres manifestaient l’éloge de la nature. Cette extériorisation des sentiments illustrait la présence de l’esprit et valorisait la perception d’une réalité. Bien que par la suite, différents styles et courants apparurent dans les peintures paysagistes, la volonté d’interprétation d’une image réelle par son sens et vice-versa ainsi que la recherche visant à cerner l’âme des montagnes et des eaux par leurs formes physiques furent communes à toutes les peintures paysagistes chinoises. Les nuances des traits entre chacune des peintures ne changeaient en rien l’éloge des paysages.

    Ye Jianxin connaît parfaitement le positionnement de ces valeurs spirituelles dans les peintures paysagistes et cerne l’importance des places centrales qu’occupent « l’esprit » et « l’énergie qi气 » (l’air). Sur l’aspect théorique, Ye Jianxin veut transformer « l’esprit » et « l’énergie » en objets visibles afin d’interpréter l’âme insaisissable. En pratique, il commence par « l’énergie qi气 », c’est-à-dire tout ce qui est visible, pour se consacrer par la suite à la description de l’âme des paysages. Ce faisant, il rend le paysage encore plus réaliste tout en révélant ses talents et ses caractéristique artistiques.

    Les œuvres de Ye Jianxin reflètent donc, non seulement l’esprit de la nature, mais aussi ses propres caractéristiques. En effet, Ye Jianxin ne veut pas se limiter aux seules techniques artistiques : il souhaite aussi exprimer sa compréhension de la nature dans ses œuvres.

    Lors de son processus d’apprentissage artistique, Ye Jianxin a compris qu’il fallait dépasser le stade technique des mains en attirant volontairement l’expression d’émotions provenant directement du coeur et de l’inconscient. Originaire du nord de la Chine, il hérite d’un esprit ouvert et intègre également des tempéraments plus sensibles qui caractérisent les habitants du sud. Seuls les termes « émotions » et « sensations » authentiques peuvent qualifier son état d’esprit lorsqu’il contemple les chef d’œuvres de la peinture chinoise. Il ne considère pas la tradition des peintures paysagistes chinoises comme un élément isolé mais plutôt comme un univers artistique aux sentiments multiples. Et parce qu’ ému devant cet univers grandiose et ancestral, il ne prête pas attention aux détails sans importance. « Voyage imaginaire à travers les dynasties des Tang et des Song » qui se lit comme un roman classique, est justement l’aboutissement artistique réussi d’une recherche effectuée auprès des chefs-d’œuvre des peintres chinois traditionnels. A travers cette impressionnante peinture longue de 420 centimètres, le peintre nous fait apparaître une sensation d’estime mélangée à de la crainte et de la perplexité face à l’immensité d’une nature sauvage. L’esprit du Taoïsme prend alors tout son sens dans cette œuvre où la recherche de la nature est passée devant l’esprit purement esthétique.

    « Ame des montagnes », une série de travaux réalisés durant les années 1990, sont les œuvres les plus représentatives de Ye Jianxin. Dessiner l’âme des montagnes est en réalité l’objectif ultime que Ye Jianxin s’est fixé pour lui-même. Et, pour atteindre cet objectif, il parcours montagnes et sites historiques, synthétise la vision des peintures traditionnelles, et apporte ce qu’il ressent de la nature. A travers ses travaux, on pourra percevoir l’esprit d’indépendance des paysages qui sont l’essence même de la nature. Grâce à un impressionnant style artistique, Ye Jianxin a réussi à se démarquer des autres artistes.

    L’esprit Zen et les caractères humanistes font également partie des spécificité des œuvres de Ye Jianxin. A travers ses tableaux, nous pouvons percevoir la concentration qu’il a accordée pour tracer chacun des traits, sans superflu et uniquement des sentiments de confiance. Ces caractéristiques reflètent l’autodiscipline et l’esprit d’indépendance propres aux artistes chinois. A la différence de certaines soi-disant « peintures néo-littéraires », les œuvres de Ye Jianxin se distinguent à la fois par la conscience et l’esprit Zen des « peintures néo-littéraires » mais aussi par une absence totale d’attitude approximative ou négligée.

    Au niveau de la représentation graphique, Ye Jianxin recours fréquemment aux traits forts et puissants, créant ainsi un espace vivant et réaliste tout en laissant soin de préserver un caractère implicite dans la peinture.

    Dans la composition, Ye Jianxin dépasse le cadre et les règles réservés habituellement aux peintures paysagistes pour explorer davantage l’horizontal, le verticale et les parallèles… En appliquant un contraste fort dans le tableau, il renforce d’avantage l’impact visuel et augmente ainsi le caractère palpable des objets.

    Les couleurs sont rarement visibles dans ses peintures, car Ye Jianxin préfère exprimer ses sentiments affectueux pour la nature sous forme de lumières et d’ombres. Ye Jianxin est un artiste d’âge moyen prometteur, il s’efforce de progresser davantage dans l’art du lavis.

    Contact email/ Fang Zhang

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    叶建新得山水画,大气磅礴,洒脱自然。其大胆的构图、大块的墨色、大笔的渲染,可谓恣肆淋漓、云覆山翻,充盈着蓬郁的生机,让人注明,并在注目之际既生“独与天地精神往来”的“澄道观”的快意。 正如林语堂在论中国画时精辟的描述:“中国艺术的冲动源于山水”。山水画在隋唐勃发兴起之时起,就是一种非功利的纯审美活动,画家对“天地大美”之恩、之情 、之意的外化,是精神与意识价值的体现,虽然在后世的第一个时代,山水画都呈现出不同的风格与面貌,但以意摄象、以象写意,这些山水画取山水之形、求山水之魂的理想却一以贯之,笔墨纵有个性差异,皆是对仁山智水的歌咏。 叶建新做山水画,是深知山水画精神价值定位的,也特别领悟到“神”与“气”在山水画中的核心义旨。在理论上他主张“精气为物,游魂为变”;在实践中,他以“气”入画,重在写山水物象之“魂”。;于此,他画出了既体现山水画真谛,又充分显现自我个性气质的一家风仪。 在研习山水画过程中,把揣摩领会传统这个必经的功课从“器”的层面上升到了“道”的层面。他重视山水画的笔墨技巧,但不是一般地从传统中学几路笔法墨象,而是将身心投入于对传统山水经典之作地“感悟”之中,用“心’的“感悟”带出手的“功夫”。依叶建新北方式的豪放式性情和南方人的敏感多情相结合的气质,他在面对古人经典时,只有感动二字才能确切表达他的状态。他看到的中国山水画传统,并不是单个细节,而是那个含蓄多情的艺术境界——因为感动,而忘却了那些不必要的细节。《梦游唐宋境》就是他对古代大家风格研习之作,全画犹如读古的长篇笔记,充满了自己对于境界的怀想与表现。在长达420厘米的画面中,烟岚清旷,山色空蒙,漠漠川原上林立着秀劲萧森的古木,空无一人的幽深画面充满莫名的神秘与惆怅,这种远边的孤寂与惶恐是每一位现代人回顾陌生的古代都会发生的一种惧畏,困惑与崇敬。我 相信人们看到这幅画,都会忽的一下被摄住,定定的屏住气息,望着迷梦一般的唐川宋林,似乎被画幅散发出来的冰冷寒气所笼罩——叶建新在研究传统时离“形”求“道”,进入了唐宋梦境的博大幽深世界,他也把这种世界带给了我们。 最能代表叶建新艺术的还当属他从20世纪90年代中期以来持续创作的《山魂》系列。为山川写神魂,这是一个高远的目标。为此他以中国气盛为支撑,跋涉游览许多名山大川,就像他以综合的眼光看待传统、以领略的整体意境为重点一样,他在面对自然景象之时,也是用心灵和情感去统摄与收取。他的许多作品画出了山水作为大自然本真生命的那番独立精神。山川巍峨奇峭,云气吞吐大荒,以一种大开大合的气象给人以永恒的意味。在当代中国画山水画坛名家辈出、形态纷呈的格局中,他以自己强烈的艺术风貌占有了一方天地。 在叶建新黑白分明、大气磅礴的作品中,蕴涵着深厚的人文精神。画面中没有唐突粗糙的涂鸦,看似信守挥洒而得,其实每笔都注精凝神,率意之中流露出自然与自信,这是中国文人独有得自律与精神,这种自省与尊古得精神也是学者型画家独有得人品与旗帜。与当代有些所谓“新文人画”不同的是,叶建新的画虽有文人画的意境与禅思,在逸笔生气中却未流露于其自娱与荒颓。 从笔墨角度看,叶建新的笔墨多是运势刚健的重笔和恣肆淋漓的大写意泼墨,大块的笔触与墨迹在宣纸上印留下富有动感和质感的生动空间,在洗练的黑白块面中穿插着坚凝的山石素壁,似乎偶然的笔墨皴染形成极富浑厚酣畅之意味,风尚雄古,一洗工气。在 这个基础上,他也注重苍健中的含蓄,把小写意的细腻勾染结合进入,使作品整体浑然,奈人寻意。 在构图上,叶建新突破了传统的经典章法和山水具体的地域性特征,多为横段式、平行式、放射式、内敛式,有的甚至是传统山水画的大忌。画面常违背一般山水自然的有机性,采用大疏密的对比,将焦点透视中的物象置于散点透视或平面构成中,扩大画中风景的可感度,强化视觉冲击力,极大地渲染了感情氛围。他一些作品的主干线条往往斜出画面下角,直冲云头天际,一如长锋破阵,嘎嘎然撑起全幅结构,在视觉上十分让人振奋,在无际视野间感受到空而不空、寂而不寂,领悟到遐想的妙端。 叶建新的画绝少设色,在这一批黑白水墨世界里,蕴涵了董其昌“画欲暗不欲明”的妙喻,深不可测的墨色中藏有“不尽之境”,明暗中蕴有“景外之景,意外之玄妙”,在深厚的笔墨中,对自然山水的迷恋和情怀跃然素纸,这是值得称道的。依他正处中年盛期,他将在水墨山水艺术中长足前进。

    Contact email/ Fang Zhang

  • Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Centre Culturel de Chine, un lieu incontournable de la culture chinoise !

    Inauguration des nouveaux locaux du Centre Culturel de Chine.

    L’ancien centre de 1700 m2 ne suffisant plus, il a fallu construire un bâtiment annexe de 4000m2. Un auditorium, une salle polyvalente, une salle d’exposition , un centre d’enseignement de langues, une médiathèque seront les atouts majeurs de ce lieu incontournable de la culture chinoise.

    Pour l’inauguration les hôtes de marque sont tous présents, M. Valéry Giscard d’ Estaing (ancien président de la république), M. Jean- Pierre Raffarin ( ancien premier ministre), KONG Quan (ambassadeur de Chine en France), Jacques Giès (président du Musée Guimet)…

    A la fois inauguration et vernissage cette soirée aura été marquée par la présence d’une Chine culturellement omniprésente et dont l’expansion artistique réservera dans le futur encore de bien fabuleuses et étonnantes surprises.

    HVH


    CENTRE CULTUREL DE CHINE (activités et expositions)

    En collaboration avec le Musée Guimet

  • Amoureux de l’Asie, un hymne à l’extrême orient!

    Amoureux de l’Asie, un hymne à l’extrême orient!

    Amoureux de l’Asie

    Amoureux de l’Asie

    Partir au bout du monde, c’est déjà se noyer dans les nuages que me dessinent les avions en partance. En route vers cette Asie grouillante, colorée et pleine de vie, je me réveille enfin d’un long sommeil d’hibernation.

    Jamais de mauvaise surprise car les sourires seront certainement au rendez- vous. Une végétation luxuriante nous attend à l’orée des rêves si longtemps imaginés mais sans commune mesure avec une réalité chaque fois plus étonnante et attachante.

    J’aime me perdre dans cette foule active, vivante et grouillante qui me rappelle que vivre ce n’est pas survivre dans l’ombre d’un futur qui nous devance et qui restera loin, très loin devant nous.

    En attente de senteurs nouvelles je recherche sans cesse des lieux étranges perdus loin des chemins touristiques. Bien sûr il est indispensable de visiter certains sites incontournables, bien que rester sur les traces des agences de voyages est une incongruité insupportable.

    Une senteur a détourné mon odorat m’emportant vers un lieu étrange mais sympathique. Un visage peu ordinaire me rappelle que la France est si loin. J’aime me promener à la découverte de ces petits suppléments d’âme que me procurent ces pays que j’adore. En Asie j’ai juste l’impression que je vis.

  • Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée »(Asie)

    Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée »(Asie)

    Histroires d’Asie, histoires vraies : « la préférée » (Asie)

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    La préférée !

    Ma préférée, mon préféré, mes préférés, ma préférence, sonnent comme une chanson… Assez, comment peut-on imaginer dans notre vieille Europe démocratique et égalitaire, l’utilisation de cette notion surannée qui ne semble pouvoir subsister que dans des pays arriérés en voie de développement.

    Eh oui, ne vous déplaise, cette idée de préférer un oncle, une tante, un frère, une sœur et pire un enfant à un autre est encore aujourd’hui chose courante en Asie. Non seulement la préférence est exprimée, mais elle est connue de tous.

    Je me souviens, encore aujourd’hui, de ces réunions familiales pleines de gaieté où les frères, les sœurs, les cousines, les cousins se retrouvaient pour des fou- rires inoubliables, des jeux bruyants et des chamailleries joyeuses.

    Mes parents s’absentaient souvent et nous laissaient sous la haute surveillance des nombreux domestiques et employés de maison ; ces derniers ne pouvaient que difficilement contrôler les chenapans que nous étions, toujours pressés de s’épanouir dans des blagues enfantines et des bêtises sans cesse renouvelées. Notre toute nouvelle liberté nous poussait insidieusement à pousser les limites du raisonnable.

    C’était si drôle d’envelopper nos « fraîches déjections » dans de jolis papiers aux couleurs chatoyantes, de les ficeler tels des cadeaux délicats. Nous les déposions ensuite dans la rue en attendant que des piétons intrigués par ce don tombé du ciel, cet inattendu présent, ne s’emparassent manu militari du paquet croyant à la divine providence. Et au lieu de trouver des bijoux, de l’argent ou le trésor des Incas, ils avaient l’avantage et le suprême honneur de sentir l’odeur nauséabonde d’une matière fécale molle et collante qui leur titillait le museau. Nos moqueries, rires et sarcasmes étaient toujours fort sonores, ce qui provoquait chez les victimes des rictus de haine !

    L’eau potable était essentielle à la bonne marche de notre smala. La collecte de la pluie restait toujours une priorité ; papa avait fait construire une réserve en ciment ce qui nous permettait de ne jamais en manquer. Je me souviens d’une période de grande chaleur et profitant de l’absence de nos parents nous avions décidé de nous installer dans cette piscine improvisée en n’oubliant surtout pas de nous y savonner avec force, d’uriner abondamment et aussi d’essuyer nos pieds noirs de crasse et de boue.

    Treize frères et sœurs prompts à la rigolade, aguerris à la subtilité de potache et toujours prêts à soulever des montagnes pour que les bêtises soient reconnues, glorifiées, en se hissant au niveau d’un art.

    Maman et papa dès leur retour trouvaient fréquemment sur leur porte un petit mot de voisins excédés se plaignant du bruit infernal occasionné par nos pyjamas- parties et nos délires nocturnes, nos bêtises démoniaques ou les vestiges de catastrophes bien maladroitement cachés. Papa gardait toujours précieusement dans un coin de la maison notre pire ennemi : le martinet en peau de buffle. En pleine nuit, il soulevait la moustiquaire collective des garçons et à chacun attribuait une cinglante punition soulevant des grognements d’animaux encore sous l’emprise de la nuit câline. Ensuite il se dirigeait vers la chambre des filles apeurées, collées les unes aux autres dans l’immense lit, et leur infligeait la même correction dans un chapelet de cris stridents.

    Le lendemain, toutes les cuisses, les fesses gardaient des traces rougies, irritées, des souvenirs cinglants d’une nuit de légitime retour de bâton.

    Jamais papa n’avait levé la main sur moi, sa préférée, la peureuse de service, la poule mouillée et à chaque « correction » collective j’échappais toujours, comme par magie, à la « douce caresse » du fouet vengeur. Ce privilège n’attirait pas toujours la sympathie de mes sœurs et frères et provoquait chez eux un désamour bien légitime qui me laissait souvent seule, face aux sarcasmes de toute la fratrie.

    Dans les familles vietnamiennes de l’époque, être la « préférée » n’était pas une simple vue de l’esprit mais un vrai statut qui conférait à l’heureux élu des privilèges et bien peu de devoir. Je m’en suis jamais plainte !

    Aujourd’hui sans l’avouer, sans l’exprimer, toujours en catimini nous n’avons pas la moindre préférence, oh non, mais juste une toute petite attirance, un doux penchant vers l’un de nos enfants, mais bien sûr nous les aimons tous profondément, en n’en préférant aucun ; la morale est sauve et sauve la morale.

    HV

  • L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius du Centre culturel de Chine à Paris

    L’institut Confucius CCCP du Centre culturel de Chine à Paris propose des cours de langue, de culture et de civilisation chinoises.

    Le programme des enseignements de langue comprend une quarantaine de modules : bases linguistiques niveaux 1 à 6 ; audiovisuel ; conversation ; lecture de presse ; préparation au HSK.

    Les cours de culture et de civilisation, dispensés par des spécialistes ou des maîtres en art, sont organisés autour de thémes : calligraphie et peinture (trois unités) ; art et civilisation (initiation) ; art de la santé (initiation). Un cours Peinture, calligraphie et pensées chinoises est prévu pour l’année 2009.

    Les cours de chinois pour enfants demeurent une particularité de l’Institut Confucius CCCP. Les élèves, répartis selon leur âge (6-9 / 10-14 ans), ont accés à cinq niveaux différents. La formation intégre également un module « Lire et écrire » à l’attention des personnes familiarisées avec le chinois oral et en cycle de Préparation au BAC chinois LV3.

    Résultat de recherche d'images pour "photos gratuites du centre culturel chinois de paris"

    Centre culturel de Chine à Paris 1, boulevard de la Tour-Maubourg 75007 Paris 01 53 59 59 20 www.cccparis.org

    CENTRE CULTUREL DE CHINE A PARIS (activités et expositions)


    The Confucius Institute of the Cultural Center of China in Paris
    The Confucius Institute CCCP of the Cultural Center of China in Paris offers courses of Chinese language, culture and civilization.

    The language teaching program comprises about forty modules: linguistic bases levels 1 to 6; Audiovisual; conversation ; Press reading; Preparation for HSK.

    Courses of culture and civilization, taught by specialists or masters of art, are organized around themes: calligraphy and painting (three units); Art and civilization (initiation); Art of health (initiation). A course Painting, calligraphy and Chinese thoughts is planned for the year 2009.

    The Chinese language courses for children remain a special feature of the Confucius Institute CCCP. The students, divided according to their age (6-9 / 10-14 years), have access to five different levels. The training also includes a « Reading and Writing » module for people familiar with oral Chinese and the Chinese LV3 Preparation cycle.

    Cultural Center of China in Paris 1, boulevard de la Tour-Maubourg 75007 Paris 01 53 59 59 20 www.cccparis.org

    CULTURAL CENTER OF CHINA IN PARIS (activities and exhibitions)

  • Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Jeu : une bretonne rousse s’est cachée parmi des indiens, à vous de la retrouver… pour le gagnant, 100kg de crêpes et un magnifique séjour à Redon.

    Un groupe de 20 bretons est parti 15 jours en Inde du Sud traversant le « Tamul Nadu pour rejoindre la côte ouest du Kerala. Piloté par un guide du pays, nous avons sillonné le sud de l’Inde en car en passant par Chennai, Pondicherry, Maduraï, Kodal Kanal, Black Waters…Cochin et retour en train de nuit. »

    Nos bretons ont été impressionnés par cet étrange animal fort rare en pays Bigoudin


    Une fesnoz très exotique

    « La ferveur des indiens dans les temples, le sourire et la gentillesse des hommes et des femmes que nous avons côtoyés, la finesse des plats au curry, les rick shaws zigzagant entre les camions voitures et vaches sacrées, les saris chatoyants, la beauté des paysages ensoleillés : montagnes, rizières, sequoias, palmeraies, plages… sont autant de souvenirs impérissables et colorés. Nous attendons tous une bonne occasion pour partir à la découverte de l’Inde du Nord ! »

    Soizick

    PS : « une seule fausse note, il me manquait le cidre et les crêpes…. A défaut de crêpes j’ai pris des NANS, mais ce n’est pas pareil, il manque ce petit supplément d’âme qui donne ce goût breton si particulier et qui parle à mes origines flibustières ». Pourquoi aller si loin, le Nirvana c’est la crêpe avec une rincée de cidre.

    PS:et du coup j’ai décidé de changer ma vie!



    A Breton looking for Nirvana!

    A Breton looking for Nirvana!

    Game: a red-haired Brittany hidden among the Indians, you find her … for the winner, 100kg of pancakes and a magnificent stay in Redon.

     

    A group of 20 Breton traveled 15 days in South India crossing the « Tamul Nadu » to join the western coast of Kerala. Driven by a guide of the country, we crossed the South of India by bus through Chennai, Pondicherry , Madurai, Kodal Kanal, Black Waters … Cochin and return by night train.  »

     

    Our Breton ones were impressed by this strange animal very rare in country Bigoudin
    A very exotic fesnoz

    « The fervor of the Indians in the temples, the smile and the kindness of the men and women we met, the delicacy of the curry dishes, the rick shaws zigzagging between the trucks cars and sacred cows, the shimmering saris, Sunny landscapes: mountains, rice paddies, sequoias, palm groves, beaches … all of them are imperishable and colorful souvenirs, and we are all waiting for a good opportunity to discover northern India!  »

    Soizick

    PS: « Only one false note, I miss cider and pancakes …. In the absence of pancakes I took NANS, but it is not the same, it lacks that extra bit of soul that gives this A Breton taste so special and which speaks to my filibustering origins « . Why go so far, the Nirvana is the crepe with a rinse of cider.

    PS: and suddenly I decided to change my life!

  • Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

    Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

    Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

    Histoires drôles,Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

     « Nuit de noce nipponne »

    Le jeune marié très intimidé par sa jeune et jolie mariée, s’active vigoureusement. C’est la première fois qu’il fait l’amour et son expérience est aussi limitée que sa performance sexuelle. Au bout de 15 petites secondes il lance son cri triomphal de jouissance.

    La mariée, plus au fait de l’amour, interloquée par cette furtive et courte prestation lui demande furibonde :

    « Alors c’est tout, moi je n’ai rien ressenti ? »

    « Ah bon, tu n’as pas aimé ma douce geisha ? »

    « Non, je n’ai pas aimé ! »

    « Que dois- je faire ma délicieuse fleur de printemps ? »

    « Eh bien TARATÉ, TAKARATAKÉ. »

     Le camionneur

    Jojo le camionneur roule tranquillement en pleine nuit bercé par son ami l’auto- radio. Soudain il voit dans ses phares, une femme sur le bord de la route qui fait du stop. Comme Jojo est délicat et serviable, il s’arrête et prend la jeune femme dans le camion. Il est très impressionné par la beauté de cette jeune asiatique aux traits si délicats, au corps si frêle et dans un élan de pure galanterie il décide de lui faire la cour.

    Chance de cocu, cette dernière semble d’accord pour un flirt avec notre don juan routier.Bientôt ils se retrouvent nus dans le compartiment couchette du camion. Au moment de faire l’amour, la jeune « fleur d’orient » sort une petite fiole et s’en enduit le corps. Jojo, très étonné lui demande le pourquoi de la chose :

     » C’est une tradition chinoise : quand on fait, l’amour l’on s’enduit toujours le corps de l’huile ! ».

    Jojo réfléchit, ôte sa gourmette et se la met autour du pénis ! L’asiatique surprise lui demande pourquoi il fait cela :

    « Tradition de chauffeur routier : quand ça glisse, on met les chaînes ! »

     Le restaurant japonais

    Dans un restaurant japonais, le patron affable, à la recherche de compliments faciles, s’approche cérémonieusement d’un client fort absorbé par ses sushi et lui demande.

    « Alors monsieur, aimez vous mes sushis ? »

    Et l’autre de répondre :

    « C’est nippon ni mauvais. »

     Ça fait quoi…

     Ça fait quoi un chinois qui tombe d’un arbre ?

    Réponse : ça fait un chinois de moins dans l’arbre

     Ça fait quoi un autre chinois qui tombe d’un arbre ?

    Réponse : ça fait un chinois de plus sur terre

     Ca fait quoi quand l’on écrase un asiatique ?

    Réponse : ça fait une ligne jaune

     Un peu de sous- culture pour qu’on en « riz ».

    Qui a inventé le « pousse- pousse »

    Réponse : les asiatiques

     Pourquoi les asiatiques ont les yeux bridés ?

    Réponse : parce qu’ils mangent trop de riz et ils sont constipés, ainsi sont- ils sont obligés d’aller souvent aux toilettes et ils « pousse- pousse… »

  • Crevettes à la sauce piquante (recette chinoise, cuisine chinoise)

    Crevettes à la sauce piquante (recette chinoise, cuisine chinoise)

     

    Crevettes à la sauce piquante

    (recette chinoise, cuisine chinoise)

    Crevettes sauce piquante

    (recette chinoise, cuisine chinoise)

    4 PERSONNES

    magdus / Pixabay

    INGRÉDIENTS

     600 g de crevettes fraîches ou congelées décortiquées ( salées et poivrées)
    1 cuillères à soupe de maïzéna
    1 gousse d’ail finement hachée

    Daria-Yakovleva / Pixabay

    2 cuillères à soupe de vin chinois
    1 et 1/2 cuillerée à soupe de nuoc tung (sauce de soja)
    1/2 cuillerée à café de gingembre frais finement haché
    sauce piquante (selon vos goûts)

    PRÉPARATION
    Rouler les crevettes dans la maïzéna
    Mélanger (ail +vin + gingembre + sauce de soja + sauce piquante)
    Faites chauffer cuire les crevettes dans de l’huile bien chaude ( environ 5 mns)
    Ajoutez le mélange, baisser le feu et cuire 1mn ensemble

    Vos crevettes à la sauce piquante (cuisine chinoise) sont prêtes.


    Shrimp with hot sauce (Chinese recipe, Chinese cooking)

    Spicy Shrimp Sauce

    (Chinese recipe, Chinese cooking)

    4 PEOPLE

    INGREDIENTS

    600 g fresh or frozen shrimp (salted and peppery)
    1 tablespoons cornflour
    1 clove garlic, finely chopped
    2 tablespoons Chinese wine
    1 and 1/2 tablespoon of nuoc tung (soy sauce)
    1/2 teaspoon freshly chopped fresh ginger
    Hot sauce (according to your tastes)

    PREPARATION
    Rolling the shrimp in the maizeena
    Mix (garlic + wine + ginger + soy sauce + hot sauce)
    Heat the shrimp in hot oil (about 5 minutes)
    Add the mixture, lower the heat and cook 1mn together

    Your shrimp with hot sauce (Chinese cuisine) are ready.

  • Soupe saïgonnaise ou hu tieu (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Soupe saïgonnaise ou hu tieu (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Soupe saïgonnaise ou hu tieu (Recette vietnamienne/ Cuisine vietnamienne)

    Soupe saïgonnaise ou hu tieu

    Pour 4 personnes

    Recette chinoise

    Cuisine chinoise

    Recette vietnamienne

    Cuisine vietnamienne

    Ingrédients

     4 Côtes de porc dans l’échine émincées
    des os de poulet ou de porc ( facultatif)
    Grosse poignée de Germes de soja
    3/4 d’1 paquet de pâtes blanches de riz ( 3 millimètres)
    1 bonne cuillère à soupe de coriandre ( persil chinois) émincée
    1 petit oignon émincé finement et grillé

    Le bouillon :

    Mettre environ 1 litre et 1/2 d’eau avec les os, à ébulition ajouter 2 cubes de bouillon de poule, 3 à 4 cuillère à soupe de sauce de poisson ( nuoc mam), 1 petite poignée de crevettes séchées (facultatif), une pincée de sel, 1 cuillère à café de Choux chinois fermenté (facultatif)

    Préparation
    Mettre les pâtes blanches dans de l’eau tiède pour les ramollir 30 mns avant et les cuire
    Griller le porc ou tout simplement le mettre dans le bouillon
    mettre les pâtes dans un bol, le porc ensuite par dessus, verser le bouillon ensuite jusqu’à couvrir le tout du bouillon et y ajouter les oignons, le coriandre (persil chinois) et du poivre noir

    Vous pouvez rajouter des germes de soja (facultatif)