Étiquette : gag

  • Toilettes à la chinoises, humour, rires, sourire (histoire vraie)

    Toilettes à la chinoises, humour, rires, sourire (histoire vraie)

    Carnets de voyage en Asie ou les toilettes à la chinoises.

    Humour, rires, sourire

    Carnets de voyage en asie

    Toilettes chinoises (photos)

    Que c’est bon de pouvoir se soulager, tranquillement sans cette hantise qui nous menace à chaque instant : trouver des chiottes.

    Déjà 10 ans et le pékin d’autrefois paraît n’avoir jamais existé. La « chiotte party » était une vraie galère que tous les occidentaux qui aimaient sortir des circuits touristiques traditionnels ( hôtels internationaux, shopping centers…) connaissaient bien, époque héroïque du début du tourisme de masse. Quand l’envie brusquement s’emparait de nous, toujours par surprise, cette course débutait immanquablement par une course effrénée vers un lieu nommé les « chiottes ». La recherche de ce lieu si rare, donc précieux à l’époque, se présentait comme un jeu de piste ou une course- poursuite, arbitrés par le seul cliquetis d’un compte à rebours sans pitié. Cette situation nous rendait très « mâle ».

    Pour parer à cette lourdeur fort dérangeante et quelque peu sournoise, quelques- uns prenaient des dispositions drastiques. Avant une sortie en terrain miné dans des hutongs inextricables, ils allaient maintes et maintes fois aux toilettes. Certains, encore plus habiles et calculateurs, se s’autorisaient aucune boisson ni aliment avant le grand départ. La recherche commençait toujours par une angoisse palpable, gloutonne et inamicale.

    Je me rappelle un jour, après une recherche interminable, je tombai sur des toilettes collectives mais pleines de chinois accroupis et béats. Oubliant toute ma culture de « coince du c… » je me mis comme mes « collèges » dans cette position si peu reluisante afin de satisfaire à un besoin des plus naturels. Rien n’existait plus que ce moment qu’un monde d’harmonie et de légèreté.

    En Europe quand l’envie se fait sentir, il est simple d’aller prendre un café dans un bar et de se soulager ensuite.

    Aujourd’hui cet amusant passe temps n’est plus guère qu’un souvenir nostalgique car les toilettes, grâce à Beijing 2008, ont fleuri comme coquelicots au printemps.


    Diarios de viaje en Asia o el inodoro para los chinos.

    Humor, la risa, la sonrisa

    Diarios de viaje en Asia

    inodoros chinos

    Si es bueno para hacer sus necesidades, en silencio, sin esta obsesión que nos amenaza cada momento: encontrar cagadero.

    Ya 10 años de edad y Pekín parece que nunca han existido. El « partido de mierda » era un dolor que todos los occidentales que amaban fuera de los circuitos turísticos tradicionales (hoteles internacionales, centros comerciales …) conocía bien, era heroica del inicio del turismo de masas. Cuando el impulso de repente vino sobre nosotros, siempre por sorpresa, esta carrera, invariablemente, se inició con una carrera frenética a un lugar llamado el « pantano ». La búsqueda de este lugar tan raro, tan valioso en ese momento era como una búsqueda del tesoro o una persecución raza, arbitrado por el simple clic de una cuenta atrás sin piedad. Esto nos hizo muy « macho ».

    Para hacer frente a esta pesadez muy molesto y un tanto disimulada, algunos de ellos tomaron medidas drásticas. Antes de una salida de campo minado en hutongs inextricables, tendrían una y otra vez al cuarto de baño. Algunos, más inteligente y calculador, no se permitirá ningún alimento o bebida antes de la salida. La investigación siempre comenzó con una ansiedad palpable, codicioso y poco amigable.

    Recuerdo que un día, después de una larga búsqueda, me quedé en el inodoro colectiva pero lleno de cuclillas chino y feliz. El olvido de mi cultura « atascado c … » Me puse como mis « colegios » en esa posición si mediocre para satisfacer una necesidad de más natural. Nada existía ese momento un mundo de armonía y ligereza.

    En Europa, cuando se sintió el impulso, es fácil ir a tomar un café en un bar y luego hacer sus necesidades.

    Hoy en día este divertido pasatiempo es poco más que un recuerdo nostálgico de inodoros, con Pekín 2008, floreció como amapolas printemp

  • Humour asiatique ou médecine chinoise?

    Humour asiatique ou médecine chinoise?

    Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise.

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Humour d’Asie

    Clin d’oeil ou le diagnostic à la chinoise.

    Ma fiancée était très préoccupée par un sautillement, un léger frétillement intempestif qui se manifestait sous l’œil gauche. Déconcertée par cette anomalie, elle s’empressa d’en faire part à une de nos amies chinoise et médecin de surcroît.

    Après un examen particulièrement minutieux de ce symptôme étrange, elle nous déclara dans une mimique pleine de dents que nous n’avions qu’à nous réjouir de cette manifestation sautillante. Devant notre incrédulité elle nous expliqua avec sérieux et emphase, que ce tressaillement de l’œil gauche, était un signe annonciateur de richesse et de prospérité et que l’arrivée d’une grosse somme d’argent imprévue surviendrait prochainement ; en revanche un tel frémissement sous l’oeil droit aurait signifié, de gros soucis de santé. Grande fut donc notre surprise devant un tel diagnostic !

    Soyons « zen » et accueillons les bonnes nouvelles avec philosophie. Si d’aventure votre nez vous grattouille ou vous chatouille, réflechissez bien à 2 fois avant de peut-être vous confronter à un monde plein d’imprévus.

    Elisabeth

  • Proverbe chinois, humour et philosophie d’Asie

    Proverbe chinois, humour et philosophie d’Asie

    Proverbes chinois

     Dans un étang, il n’y a pas de place pour deux dragons.

     Sourire, c’est rajeunir de dix ans ,s’attrister, c’est se faire des cheveux blancs.

     L’itinéraire de 1000 mille commence par un pas.

     Chaque coup de colère est un coup de vieux,chaque sourire est un coup de jeune. (Proverbe chinois)

     Avec le temps et la patience, la feuille du mûrier devient de la soie

     Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l’insensé la demande aux autres.

     Un bon chien ne mord pas les poules, un bon mari ne bat pas sa femme.

     Le jour éloigné existe, celui qui ne viendra pas n’existe pas.

     Les gens heureux n’ont pas besoin de se presser.

     Le plus grand conquérant est celui qui sait vaincre sans bataille. (Proverbe chinois)


    Chinese Proverbs

    In a pond there is no room for two dragons.

    To smile is to rejuvenate by ten years, to be sad, is to make oneself white hair.

    The 1000 mile route begins with a step.

    Every stroke of anger is a blow of old, each smile is a youthful blow. (Chinese proverb)

    With time and patience, the leaf of the mulberry tree becomes silk

    The wise man asks himself the cause of the faults, the fool asks the others.

    A good dog does not bite the chickens, a good husband does not beat his wife.

    The distant day exists, the one that will not come does not exist.

    Happy people do not need to hurry.

    The greatest conqueror is the one who knows how to win without a battle. (Chinese proverb)

  • Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, humour d’asie

    Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, humour d’asie

    Histoires drôles asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    Histoires drôles,Blagues asiatiques, blagues d’asie, Asie humour et humour d’asie

    « L’asiatique et le boucher ! »

    Une asiatique, mariée récemment à un parisien, et ne ne connaissant que fort peu notre langue, communiquait avec son mari qu’au lit dans des ébats de « nuits câlines ». Chez les commerçants la difficulté était qu’il n’y avait pas de lit… Je plaisante !

    Un jour chez le boucher elle voulut acheter des cuisses de poulet, mais comment exprimer ce désir fort simple ? Elle souleva sa jupe, montra ses cuisses au boucher trés, trés attentif, qui comprit aussitôt la demande de sa cliente.

    Pour préparer de la poitrine de porc croustillante, elle retourna chez le commerçant et afin de se faire comprendre, elle dégraffa sa chemisette et montra sa poitrine. Le boucher l’oeil affolé et le regard en biais, lui servît l’objet de sa demande.

    Un barbecue dans le jardin était en préparation et notre brave asiatique eût besoin de saucisses. Elle amena son mari chez le boucher trés désapointé et…

    Vous avez un esprit fort pervers, mais voyons son mari parle français ! 
A quoi pensiez-vous ? Vous n’écoutez pas, soyez plus attentif dorénavant…

    « Gros mots »

    Un Chinois arrive en France et à l’aéroport, il prend un taxi. Le chauffeur traite sans arrêt les autres de gros cons.

     Chez nous, en Chine, on ne dit pas con mais on siffle un son « UH ». Quand il y a 2 cons, on siffle « UH-UH ». Pour trois cons : UH-UH-UH.

     Et quand il y a beaucoup de cons, comment dites-vous ?

     C’est simple, on siffle UHUH sur l’air de la Marseillaise !

    « J’suis vert ! »

    Un chinois, de retour de Chine, s’aperçoit que son zizi est tout vert suite à ses nombreuses aventures calines. Son médecin traditionnel chinois, aprés un examen rapide lui asséne le coup de bambou, il va falloir couper. Précipitamment il va voir d’autres médecins parisiens qui lui donnent le même diagnostic, il faut absolument couper son zizi.

    Démoralisé, il se retrouve dans un bistrot et là un type lui conseille d’aller voir un guérisseur vietnamien trés réputé.

    Comme un fou il se précipite chez ce dernier qui aprés un regard goguenard sur le zizi, lui prépare une potion qui , illico presto, est avalée par notre patient. Rassuré le chinois lui demande angoissé : « Alors, dites moi, il n’y aura pas besoin de couper ? » Le guérisseur lui répond dans un sourire plein de dents : » Non, non, pas besoin, ça va tomber tout seul ! 
 »

    « Des japs à petit budget »

    Un car d’ouvriers japonais arrive à Paris. Ils trouvent les prix bien trop chers pour leur budget. Le soir même, poussé par des pulsions incontrôlables, l’un d’eux demande à une jolie pute combien elle prend. 200 euros la passe, 1000 euros la nuit. Le Japonais dit : OK pour la nuit, mais à mon hôtel. Ils font l’amour puis le Japonaisse rend à la salle de bains, revient, refait l’amour… La fille est comblée mais au petit matin elle veut aussi passer à la salle de bains et, oh surprise ! elle y trouve tous les Japonais du car, attendant leur tour…

    « J’veux des preuves »

    
Le chef d’un restaurant chinois entre dans une épicerie arabe pour acheter 20 boîtes de Ronron. L’épicier n’est pas d’accord : non, le Ronron on sait qu’on va le retrouver dans vos pâtés impériaux… Le Chinois lui répond : mais j’ai 2 chats, c’est pour eux ! L’épicier lui dit : je veux les voir ! Le lendemain, le Chinois revient avec ses 2 chats dans un panier et rassuré, l’épicier lui donne le Ronron. Une semaine après, le Chinois revient : je veux 20 boîtes de Canigou. Non, répond l’épicier, on connaît vos saucisses ! Mais c’est pour mon chien ! Je veux le voir. Le lendemain, le Chinois revient avec son chien et achéte les boîtes de Canigou. Une semaine après, il arrive avec un seau de merde qui empeste la boutique. L’épicier, au bord de l’écoeurement, lui demande ce qu’il veut, cette fois. Le Chinois dit : je voudrais 3 multipacks de papier toilette. Mais il ajoute : cette fois je vous ai apporté tout de suite les preuves !

    Humour d’Asie,

  • Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

    Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

    Histoires drôles d’Asie et blagues asiatiques

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     « Nuit de noce nipponne »

    Le jeune marié très intimidé par sa jeune et jolie mariée, s’active vigoureusement. C’est la première fois qu’il fait l’amour et son expérience est aussi limitée que sa performance sexuelle. Au bout de 15 petites secondes il lance son cri triomphal de jouissance.

    La mariée, plus au fait de l’amour, interloquée par cette furtive et courte prestation lui demande furibonde :

    « Alors c’est tout, moi je n’ai rien ressenti ? »

    « Ah bon, tu n’as pas aimé ma douce geisha ? »

    « Non, je n’ai pas aimé ! »

    « Que dois- je faire ma délicieuse fleur de printemps ? »

    « Eh bien TARATÉ, TAKARATAKÉ. »

     Le camionneur

    Jojo le camionneur roule tranquillement en pleine nuit bercé par son ami l’auto- radio. Soudain il voit dans ses phares, une femme sur le bord de la route qui fait du stop. Comme Jojo est délicat et serviable, il s’arrête et prend la jeune femme dans le camion. Il est très impressionné par la beauté de cette jeune asiatique aux traits si délicats, au corps si frêle et dans un élan de pure galanterie il décide de lui faire la cour.

    Chance de cocu, cette dernière semble d’accord pour un flirt avec notre don juan routier.Bientôt ils se retrouvent nus dans le compartiment couchette du camion. Au moment de faire l’amour, la jeune « fleur d’orient » sort une petite fiole et s’en enduit le corps. Jojo, très étonné lui demande le pourquoi de la chose :

     » C’est une tradition chinoise : quand on fait, l’amour l’on s’enduit toujours le corps de l’huile ! ».

    Jojo réfléchit, ôte sa gourmette et se la met autour du pénis ! L’asiatique surprise lui demande pourquoi il fait cela :

    « Tradition de chauffeur routier : quand ça glisse, on met les chaînes ! »

     Le restaurant japonais

    Dans un restaurant japonais, le patron affable, à la recherche de compliments faciles, s’approche cérémonieusement d’un client fort absorbé par ses sushi et lui demande.

    « Alors monsieur, aimez vous mes sushis ? »

    Et l’autre de répondre :

    « C’est nippon ni mauvais. »

     Ça fait quoi…

     Ça fait quoi un chinois qui tombe d’un arbre ?

    Réponse : ça fait un chinois de moins dans l’arbre

     Ça fait quoi un autre chinois qui tombe d’un arbre ?

    Réponse : ça fait un chinois de plus sur terre

     Ca fait quoi quand l’on écrase un asiatique ?

    Réponse : ça fait une ligne jaune

     Un peu de sous- culture pour qu’on en « riz ».

    Qui a inventé le « pousse- pousse »

    Réponse : les asiatiques

     Pourquoi les asiatiques ont les yeux bridés ?

    Réponse : parce qu’ils mangent trop de riz et ils sont constipés, ainsi sont- ils sont obligés d’aller souvent aux toilettes et ils « pousse- pousse… »

  • HISTOIRE VRAIE, Vaudeville à la Morgue

    HISTOIRE VRAIE, Vaudeville à la Morgue

    Vaudeville à la Morgue (Serge Senftlé)

     

     Ma chère belle mère, Solange (mère de ma femme) décédée en 2002 se trouvait déjà à la morgue de l’hôpital avant que sa sœur Huguette, ne se déplaçant qu’en fauteuil roulant, puisse venir lui rendre hommage. Leur relation était très fusionnelle, elles se vouaient une vraie passion l’une pour l’autre.

    Ma femme et moi obtenons une dérogation pour venir avec elle, à titre très exceptionnel et ce, dans la plus grande discrétion,  afin de lui rendre une dernière visite dans ce lieu si sympathique.

    Deux jeunes infirmières stagiaires, dont cela n’était pas du tout la fonction, nous accueillent à la morgue, dans les sous-sols de l’hôpital. Elles ouvrent un grand casier qui contient trois corps et extirpent ma belle mère du casier du milieu. Elles positionnent les roulettes, font glisser le chariot en inox sur lequel repose la défunte et nous autorisent à rester quinze minutes à la contempler ainsi pour ne pas que le corps se réchauffe trop à la chaleur ambiante. Puis elles s’éclipsent.Trop contents de pouvoir satisfaire la demande d’Huguette, je la laisse parler à Solange :

    – Ah, ma Solange, ma Solange, nous avons vécu tellement de choses ensemble. Rodolphe, tu vois comme elle est belle. Je veux l’embrasser pour un dernier adieu. Je veux t’embrasser ma Solange.

    J’approche son fauteuil roulant. Elle essaie de se pencher mais ça reste encore trop loin pour qu’elle puisse accomplir son souhait. Alors elle se lève, prend appui avec ses deux mains sur le chariot en inox dont les stagiaires n’avaient pas serré le frein, et, devant subitement tant de poids mal réparti, le chariot en inox valdingue par terre avec grand fracas, emportant dans son élan le corps de la malheureuse Solange stoppé net dans sa chute par le carrelage froid de la morgue.

    Evidemment, panique à bord. Ma femme, la fille de la défunte, se met à hurler dans le couloir. Les deux stagiaires arrivent à la rescousse. La première entre et, en voyant le tableau pitoyable, tombe directement dans les pommes. Bon, bon, c’est bien parti la visite en catimini !

    –  Ma Solange, je t’ai tuée ! Ma Solange, je t’ai tuée une deuxième fois !  hurlait sa sœur Huguette, éberluée et choquée. Il faut dire qu’on le serait à moins ! La  deuxième stagiaire se met à trembler comme une feuille en voyant le cadavre étendu par terre :

    – Qu’est-ce qui se passe, qu’est-ce qui se passe ?Je ne réponds pas et décide de prendre les opérations en main. Pour commencer, j’assène quatre claques à la première stagiaire pour qu’elle se remette de ses émotions et  nous aide à remettre le corps sur le chariot. Une fois debout, nos huit bras ne sont pas de trop pour ramasser la pauvre Solange et la positionner  à nouveau correctement avant de la glisser dans son casier.

    A ce moment-là, on voit le cadavre d’une vieille dame, placée dans le casier du bas, dont l’œil était resté ouvert  et qui semblait contempler notre pathétique scénario.Les infirmières, livides et prêtes à nouveau à défaillir, imaginent aussi les conséquences pour elles, au cas où nous aurions porté plainte auprès de l’hôpital pour personnel incompétent.

    Je  les rassure :

    – Ne vous inquiétez pas, ça va bien se passer, il n’y aura pas de suite, personne n’a rien vu !Et nous repartons sur le champ à toute allure dans les couloirs des sous-sols puis du rez-de-chaussée de l’hôpital, en poussant le fauteuil roulant d’Huguette qui, toujours sous le choc, continue à hurler à qui veut bien l’entendre :

    – J’ai tué ma sœur, j’ai tué ma sœur une deuxième fois !

    Une visite comme on nous l’avait demandée : en toute discrétion…

    Histoire vraie