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  • Thé, la préparation

    Thé, la préparation

    La préparation du thé

    La préparation du thé

    . Ce n’est pas simplement un breuvage, mais la transfiguration d’une culture ancestrale qui se perpétue depuis des générations. En occident croire qu’infuser est chose facile est du domaine de la non connaissance de l’univers du thé. Il ne suffit pas de verser de l’eau et d’attendre mais aussi de connaître les astuces qui feront que votre breuvage vous donnera le meilleur de lui même.

    Selon les pays, les cultures et les thés, la préparation et le mode consommation sont différents.

    Nous vous proposons un tour de main traditionnel, pour apprécier en toute simplicité votre thé.

    Trois paramètres à surveiller : la dose, l’eau, l’infusion.

    Voici donc les conseils de notre specialiste en préparation du thé :

    LA DOSE DE THE

    - 2,5g de thé, soit une cuillère doseuse pour le thé ou l’équivalent d’une cuillère à café.
    - 4 à 5g de thé pour 50cl d’eau.

    L’EAU

    Pour les thés qui ont des feuilles fragiles, l’eau doit être frémissante, jamais bouillante.

    Plus un thé est jeune ou noble, moins l’eau doit être chaude. C’est le cas notamment des thés récoltés dans l’année. Qui n’ont pas besoin d’une eau trop chaude pour libérer leur parfum.

    De même les thés blancs requièrent une température d’eau de 75° à 85° maximum.

    Les thés qui présentent des feuilles plus solides ( comme certains Oolong) ont besoin d’une eau portée à ébullition pour parvenir à extraire toute leur saveur.

    Si le thé que vous buvez nécessite au préalable d’être rincé, le rinçage des feuilles se fait avec une eau à la même température que l’eau servant à l’infusion.

    Utiliser de préférence une bonne eau : eau de source ou eau filtrée.

    Avec l’aimable participation de : POMME D’AMBRE

    Site de POMME D’AMBRE

  • l’Ebru , art du papier marbré

    l’Ebru , art du papier marbré Ottoman par Nicole Polge

    De l’ Empire du milieu à celui de la Sublime Porte ,

     

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    l’Ebru , art du papier marbré Ottoman

    Entretien

    *Asie -TLL : Pourriez -vous nous parler de cet art , l’EBRU « , que vous pratiquez , et dont nous savons si peu

    de choses ?

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    *- NP : C’est pourtant un art séculaire , dont on peut trouver l’ origine dès le VIème siècle en Chine !!!

    *- ATLL : pouvez-vous nous en donner le principe, la technique ?

    *- NP : c’est toujours un grand plaisir pour moi de faire découvrir et partager ce qui est ma passion ; je vous

    propose donc, après une petite visite dans mon atelier qui vous montrera le principe de la technique, de

    poursuivre en évoquant l’historique et le cheminement de cet art et sa symbolique.

     

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    Comment, tout d’ abord , définir l’Ebru ?

    On pourrait dire , pour faire simple : c’ est  » de la peinture sur l’ eau !… »

    On l’ obtient en projetant à la surface d’ un bac contenant une solution colloïdale, des couleurs

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    qui doivent flotter., On les travaille avec des bâtonnets , des aiguilles , des peignes , puis, si la

    dispersion des éléments convient , on pose à la surface du bain .une feuille de papier qui absorbe

    toutes les couleurs . La feuille est alors retirée , puis séchée .

    Chaque exemplaire est unique….

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