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  • Histoires vraies

    Histoires vraies

     

    Père Noël en grosse caisse

    (Jacques Ferenbach)

     

     

    Des histoires vraies, des aventures vécues enfin une petite vraie part de la vie qui vous est servie sur un plateau.

    Notre petite troupe de clowns donne un spectacle dans l’Aube pour les fêtes de fin d’année 2008. L’organisateur nous demande si nous jouons  aussi le rôle du père Noël. Nous lui répondons que nous avons le costume mais que généralement, c’est plutôt quelqu’un du comité des fêtes qui s’en charge. Au dernier moment, l’organisateur finit par trouver celui qui se laisse tenter par le rôle, à qui nous prêtons donc notre costume. Superbe salle, beau théâtre, le spectacle débute, tout se passe bien, les enfants s’amusent beaupere-noel-imagecoup avec notre show, dans lequel figure un numéro avec nos chiens sur scène.

    On me demande ensuite d’accueillir et de présenter le père Noël. Alors, toujours habillé en clown, avec mon saxophone je commence à plonger le public dans l’ambiance et fais chanter « Petit Papa Noël » à toute la salle. Des fumigènes et un magnifique décor féerique valorisent, en prime, l’arrivée tant attendue de ce personnage hors du commun. On voit enfin apparaître le Père Noël qui, prenant son rôle à cœur, marche avec prestance dignement et tranquillement depuis le fond de scène vers l’avant.

    Manque de chance, avec les fumigènes, il n’a pas vu la fosse d’orchestre d’un mètre cinquante de profondeur et, avançant un pas de trop, s’écroule dedans pour atterrir dans la grosse caisse de la batterie et les pupitres encore présents au fond.

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    Le public assiste au triste spectacle et tout le monde se met à hurler dans la salle. Toujours habillé en clown sur scène,  je ne trouve rien d’autre à crier, sur le coup, que :

    – Il est mort ! Le Père Noël est mort, il ne bouge plus !

    On ne peut pas dire que ça détende l’atmosphère ! Panique à bord, les secours arrivent, installent un rideau de protection tout autour et constatent, finalement, qu’il n’est pas mort. Ouf ! L’hôpital est contacté.

     

    Mais dans un tel moment, comment reprendre ses esprits et dire à l’organisateur que notre troupe doit vite repartir pour ne pas être en retard car nous avons un autre contrat trois heures plus tard à deux cent cinquante kilomètres de là ? Et surtout comment expliquer ce détail pratique pour nous mais bien futile, compte tenu de la situation, qui consiste à récupérer illico  l’indispensable costume, gentiment prêté !

    Alors, débute un déploiement de diplomatie pour arriver à nos fins :

    –  Le Père Noël a trop chaud, il faut lui enlever la barbe et la perruque.

    Mission accomplie, ça, c’est fait ! Mais pour le costume, on est encore loin du compte !

    – Vite la ceinture, ça va le serrer !

    Troisième accessoire récupéré ! Pour retirer ensuite le manteau de quelqu’un qui a la jambe en vrac, ça n’est pas simple et pourtant le temps nous presse. Une autre municipalité a financé notre spectacle et un autre jeune public nous attend cet après-midi pour fêter Noël : nous ne voulons pas les décevoir.

    Mais le Père Noël, en fort mauvaise posture, hurle toujours à chaque fois qu’on le touche. On est bien obligé de constater qu’on n’a pas tous les mêmes problèmes au même moment : c’est le moins que l’on puisse dire. Alors on retente un cruel :

    –  Il a trop chaud, il faut lui enlever le manteau !

    Au fur et à mesure, on finit par lui relever le costume qui passe des chevilles aux genoux, puis des hanches à la poitrine. Il nous faudra ensuite beaucoup de patience pour l’en extraire totalement. On y arrive in-extremis et, il faut bien l’avouer, on charge tout notre matériel au pas de course, tels des voleurs, pour repartir vers une nouvelle ambiance, qu’on espère plus sereine et plus festive.

    Comme quoi, même Père Noël, c’est un métier pour lequel il y a des répétitions indispensables  car il faut savoir reconnaître les vraies cheminées des fosses !

    Des histoires vraies comme tous nos personnages plein de vie et de bonheur.

    Si vous avez des histoires sympathiques à nous raconter, n’hésitez pas à nous les envoyer.

     

     

  • Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Cauchemar pékinois (histoire vraie)

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac !

    Tribulations pékinoises ou le cauchemar de l’estomac ! Tribulations pékinoises.

    Voilà comment a commencé le cauchemar pékinois. Banlieue de Pékin, 30° à l’ombre, mon amie la climatisation diffuse ses bienfaits . Il est 22H32 dans ce bel hôtel 4 étoiles où de riches chinois au fort pouvoir d’achat s’ébrouent dans l’immense hall richement décoré. De profonds fauteuils me tiennent tendrement prisonnier, une musique délicate, un rien soporifique, vampirise mon esprit vagabond, je suis tout à mon affaire : je ne fais absolument rien. Soudain j’entends mon nom éclater comme une bombe, traverser mon cerveau alangui et me cisailler les tympans. Je vois brusquement s’éloigner à tire d’ailes les instants de calme et de quiétude : on a besoin de mes services.

    Audi A6 et son chauffeur, l’homme d’affaires chinois , 2 chinoises et la route qui se dessine devant moi dans un cauchemar nocturne, 120kms/h, 140, 160, 180 sur la nationale. Rien ne nous arrête ni les lignes jaunes continues que nous chevauchons sans vergogne, allant même pendant plusieurs minutes rouler à contre courant pour ne nous rabattre qu’au dernier moment sous la mitraille des feux des véhicules venant en sens contraire, ni la circulation grouillante des véhicules bigarrés. Bientôt sur l’autoroute, l’Audi prend de la vitesse, s’envole à plus de 200kms/h avant de se déporter sur la bande d’arrêt d’urgence où elle se faufile entre les voitures sans jamais ralentir.

    Dans l’automobile, tout paraît normal, les occupants, indifférents à cette chevauchée fantastique, bavardent tranquillement. Je sue à grosses gouttes, l’estomac et les jambes serrées, les fesses aussi d’ailleurs, l’œil aux aguets et vraiment pas fier.

    Soudain l’auto freine dans un crissement de pneus et s’immobilise. Incroyable juste à l’intersection d’une bretelle de sortie d’autoroute. Les voitures défilent sur notre droite, sur notre gauche telles des balles de « Kalashnikof » nous rasant comme des lames affûtées…Notre dernier jour est venu, je me vois emporté par la cohorte hurlante et vrombissante de la circulation haineuse, adieu vaches, veaux, cochons. Sans un regard, l’une des passagère ouvre la portière, descend du véhicule, nous fait un coucou joyeux et disparaît comme emportées par la nuit ! Après cet arrêt inopiné, la puissante Audi dans un démarrage viril, s’élance de nouveau dans une terrifiante et effrayante course contre la montre.

    Deuxième partie du cauchemar pékinois

    Pékin et ses rues grouillantes nous accueillent enfin. La berline se faufile féline au cœur de cette foule indisciplinée. Après des négociations difficiles, nous déposons l’autre personne près de la place « Tien An Men ».

    L’Audi rageuse se jette hors de la ville et file à travers la nuit comme une bête fauve dans la jungle des voitures. De nouveau nous frôlons les glissières de sécurité à plus de 200. Le big boss ne parle ni anglais, ni français et m’adresse des regards courtois auquels je réponds par un sourire crispé et plein de dents. Le chauffeur, un bras à la portière, me jette parfois dans le rétroviseur un regard bovin et méfiant.

    Bientôt nous nous arrêtons et le boss me fait signe qu’il désire m’inviter à déguster un repas pour fêter la réussite de la négociation. A ce moment précis, le ciel me tombe sur la tête et le sol se dérobe sous les pieds. Dans l’hôtel je m’étais déjà servi un dîner gargantuesque et celui ci ne laissait à mon estomac pas la moindre place, même pour une cacahuète naine.

    Impossible de refuser au risque de vexer mon hôte. Me voilà plongé dans le pire des cauchemars, celui de l’oie du Périgord que l’on s‘apprête à gaver, pour en extraire le foie. D’habitude, entrer dans un restaurant m’aurait comblé, mais ce soir , j’ai l’étrange l’impression d’entrer dans un abattoir.

    Mon convive affublé de son chauffeur, sbire, homme de main ou serviteur, commande illico presto une multitude de plats aux noms imprononçables. Soudain sur la table se bousculent des côtes de moutons, des soupes, des viandes en sauce, du riz cuisiné…J’ai bien envie de fuir cette bouffe si peu conviviale, à l’odeur cauchemardesque qui colonise mes narines jusqu’au vomissement : je suis pris au piège de la bienséance.Des côtelettes de 30cms à faire semblant de manger avec appétit, des lamelles de soja à grignoter dans un rictus, du bœuf à déguster avec dégoût, une soupe à gerber en souriant, le purgatoire sur terre est chinois. Dès que mon opiniâtreté à manger se met à faiblir, mon hôte me fixe avec un regard rempli de reproches et insuffle, par un grognement significatif à mon esprit vaincu, une nouvelle force pour paraître satisfait et heureux.

    Troisième partie du cauchemar pékinois

    Mon seul désir, fuir loin de cette auberge espagnole, au pardon chinoise, vers un pays où l’on mourrait de faim seul, à l’ombre d’un arbre effeuillé et sans fruits.

    J’utilise alors toutes les ruses pour sourire de contentement, masquer mon dégoût. Je jette dès lors de la viande sous la table, je creuse sournoisement mon bol de riz avec mes doigts, je rogne les côtelettes d’un seul côté feignant ainsi, par la mise en scène, apprécier ce terrible repas. Le chauffeur, les yeux baissés, boulotte des montagnes de nourriture et me sert des rasades de coca non-stop. Entre 2 rots satisfaits, « big boss » fort sympathique de surcroît, engouffre un nombre incalculable de mets exotiques en jetant sur la table tous les os, les peaux, les restes et bientôt celle ci ne ressemble plus guère qu’à un cimetière à ciel ouvert. Pas un seul mot ne sera échangé du fait de la frontière des langues, des bruits de bouche à concurrencer les les décibels des concerts de hard-rock, rien que de la convivialité à l’état pur. Je redoutais particulièrement le dessert asiatique non adapté aux palais des européens. Mon estomac dans un dernier hoquet d’agonie, brandit naturellement le drapeau blanc, incapable de supporter les prochains assauts de la gastronomie chinoise.

    Sauvé, pas de sucreries exotiques, big boss se lève soudain et je le suis hors du restaurant. Une poignée de main franche et amicale et mes 2 amis disparaissent dans la nuit noire comme ils étaient venus.

    Mon estomac, encore tout ébranlé par la peur de la vitesse et un trop plein de nourriture, se met à entonner goûluement un chapelet de rototos libérateurs et joyeux.

    HV

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach!

    Tribulations Pekinese or the nightmare of the stomach! Tribulations Pekinese.

    Beijing suburb, 30 ° in the shade, my friend conditioning diffuse its benefits. It is 10:32 p.m. in this beautiful 4 star hotel where wealthy Chinese with high purchasing power snort in the huge ornate lobby. Deep armchairs tenderly hold me prisoner, a delicate music, a soporific nothing vampirizes my wandering mind, I’m in my case: I absolutely do nothing. Suddenly I hear my name burst like a bomb through my brain languid and shear my eardrums. I see suddenly pulls away to wing the moments of peace and quiet: you need my services.

    Audi A6 and his driver, the Chinese businessman, two Chinese and the road looming before me in a nocturnal nightmare, 120kms / h, 140, 160, 180 on the national. Nothing stops us or continuous yellow lines as we ride shamelessly, even going for several minutes ride against the tide for us not fall back at the last moment under fire for fire vehicles coming in the opposite direction, or the teeming traffic colorful vehicles. Soon on the highway, the Audi takes speed, flies to over 200kms / h before being deported on the emergency lane where she weaves between cars without ever slowing down.

    In the car, everything seems normal, occupants, indifferent to this fantastic ride, chatting quietly. I sweat profusely, stomach and legs together, buttocks as elsewhere, the eyes alert and really not proud.

    Suddenly the car brakes in a squeal of tires and stopped. Unbelievable just the intersection of a highway exit ramp. The cars parading on our right, on our left like bullets « Kalashnikof » skimming us as sharp blades … Our last day came, I see carried away by the howling and roaring cohort traffic hateful, farewell cows, calves, pigs. Without a glance, one of the passenger opened the door, out of the car, we made a cheerful hello and disappears as blown away by night! After this unexpected stop, the powerful Audi in a manly start, rushed back into a terrifying and frightening race against time.

    Beijing and its teeming streets we finally welcome. The sedan feline sneaks in the heart of this unruly crowd. After difficult negotiations, we place the other person near the square « Tiananmen ».

    The Audi raging flows out of town and took it through the night like a wild beast in the jungle of cars. Again we frôlons guardrails to over 200. The big boss speaks neither English nor French and courteous looks of the seminar I address myself answer with a tight smile and full of teeth. The driver, an arm of the window, sometimes throws me in the rearview mirror cattle and suspicious look.

    Soon we stop and the boss made me sign that he wants to invite me to enjoy a meal to celebrate the success of the negotiations. At that moment, the sky fell on my head and the ground from under the feet. In the hotel I was already served me a gargantuan dinner and this one did not let my stomach any place, even for a dwarf peanut.

    Unable to deny the risk to offend my host. Here I am plunged into the worst nightmare, that of the Périgord goose that one is about to gorge, to extract the liver. Usually walk into a restaurant would have favored me, but tonight I feel strange to go into a slaughterhouse.

    My guest tricked his driver, minion, henchman or servant, illico presto control a multitude of dishes with unpronounceable names. Suddenly on the table are scrambling sheep ribs, soups, meat sauce, cooked rice … I really want to run away this food so uninviting, the nightmarish smell that colonizes my nostrils until vomiting: I’m trapped in bienséance.Des chops 30cms pretend to eat with relish, soy slices snack in a grin, beef to enjoy with disgust, soup gerber smiling, purgatory on earth is Chinese. As soon as my obstinacy room starts to falter, my host fixed me with a look filled with reproaches and breathes through a significant grunt to overcome my mind, a new force to appear satisfied and happy.

    My only desire, run away from this Spanish inn in Chinese pardon, to a country where they would die of hunger alone in the shade of a leafless tree without fruit.

    I then use all the tricks for contented smile, hide my disgust. Therefore I throw meat under the table, I dig slyly my bowl of rice with my fingers, I trim the chops on one side and pretending, for the staging, enjoy this terrible meal. The driver, looking down, dumpy food mountains and serves me non-stop coca bumpers. Between 2 satisfied burps, « big boss » very nice moreover, engulfs countless exotic dishes by throwing on the table all the bones, skins, the remains and soon this one hardly looks at a sky Cemetery opened. Not one word will be exchanged because of the language border, mouth noises to compete with the decibels of hard rock concerts, nothing but pure friendliness. I feared particularly the Asian dessert not suitable for European palace. My stomach in a last gasp of agony, naturally waved the white flag, unable to withstand the coming onslaught of Chinese gastronomy.

    Sauvé, no exotic sweets, big boss suddenly I’m up and out of the restaurant. A handful of frank and friendly hand and my 2 friends disappear into the night as they came.

    My stomach, still shaken by fear of speed and too full of food, begins to intone a string of greedily rototos liberating and joyful.

  • Dentier chinois ( Histoire vraie).

    Dentier chinois ( Histoire vraie).

    Le vol plané du dentier ( Histoire vraie et humour).

    Le vol du dentier chinois

    Avec une bande de copains nous étions partis en Chine pour un séjour touristique en 2000. Très désireux de connaître le Pékin grouillant de vie , nous avions hélé de vrais pousse- pousses Avant toute virée dans cette ville aux « mille surprises » nous nous étions convenu d’un prix global raisonnable.

    original

    Après une promenade des plus périlleuses nous atteignîmes le but de notre escapade : le marché des perles, la Mecque des achats touristiques. Les tireurs de pousse- pousses nous demandèrent le double de la somme convenue pendant la négociation. Le ton monta très vite, nous en français et eux en chinois. Evidemment personne ne se comprenait. En Chine quand l’on parle de chiffres il est facile de s’exprimer en anglais, mais au delà chacun emploie sa langue maternelle.

    Un chinois plus énervé que les autres, clapissait tel un pitbull en colère, crachant des postillons comme un volcan en irruption. Quand soudain son dentier comme une fusée s’arrachant de sa bouche vint atterrir sur le trottoir. A cet instant un silence lourd, au milieu du vacarme de la ville, se fit entendre. Tous nous nous regardâmes… Le propriétaire du dentier se précipita sur son bien et plus rapide que son ombre « l ‘enfourna » dans la bouche …La trêve terminée la négociation reprit de plus belle.

    Dentier chinois voyageur!!!

    _ HV

    Copyright © 2006-2009 – Tous droits réservés

    Hover denture (True story and humor).

    The flight of dentures Chinese

    With a group of friends we had left China for tourism in 2000. Anxious to know the Beijing teeming with life, we hailed real pusher shoots Before any trip in this city of « a thousand surprises » we had agreed Overall a reasonable price.

    original

    After a walk of the most dangerous we reached the goal of our trip: the pearl market, the Mecca of tourist purchases. Shooters shoots pusher asked us double the agreed amount during negotiation. The tone went very quickly, we French and them in Chinese. Obviously nobody understood. In China when we talk about numbers it is easy to speak English, but beyond everyone uses his mother tongue.

    Chinese edgier than others, such clapissait pitbull angry, spitting postillions like a volcano eruption. Suddenly his dentures like a rocket tearing his mouth came to land on the pavement. At that moment a heavy silence, amid the din of the city, was heard. All we looked … The owner of the denture rushed to her well and faster than his shadow « the stuffed » in the mouth … The truce ended negotiations resumed more belle.é

  • Proverbes Chinois drôles

    Proverbes Chinois drôles

    dragon humourProverbes Chinois drôles

    PROVERBES CHINOIS

    LE RIRE EST LE PROPRE DE L’HOMME, RIRE JAUNE, POURQUOI PAS !

    Proverbes Chinois drôles .

    - Quand tu ne sais pas quoi dire, cite un proverbe chinois ( Proverbe Chinois)

    - Lorsque le sexe de l’homme durcit, son cerveau ramollit ( Proverbe Chinois)

    - Il ne sert à rien de courir quand il pleut car il pleut toujours devant soi. ( Proverbe Chinois ?)

    - Il est difficile d’attraper un chat noir dans une pièce noire, surtout lorsqu’il n’est pas là. ( Proverbe Chinois)

    - Tout ce qui vole se mange, sauf les avions ! ( Proverbe Chinois actuel !)

    - Si tu te tapes la tête contre un vase et que ça sonne le creux, n’en déduis pas que c’est le vase qui est vide…( Proverbe Chinois)

    - Avant de parler de la brindille qu’il y a dans l’oeil de ton voisin, occupes toi la poutre qui est dans le tien. ( Proverbe Chinois ?)

    - Si tu n’attaques personne, personne t’attaquera ( Proverbe Chinois)

    - Si tu fais pipi le vent dans le dos et que tu mouilles tes chaussures, c’est surement pas que tes les pieds sont trop longs.

    Funny Chinese Proverbs

    CHINESE PROVERBS

    LAUGHTER IS THE OWN RIGHTS, YELLOW LAUGH, WHY NOT!

    Chinese proverbs funny.

    – When you do not know what to say, quoting a Chinese proverb (Chinese proverb)

    – When the human sex hardens, his brain softens (Chinese proverb)

    – There is no point in running when it rains because it always rains ahead. (Chinese proverb?)

    – It is difficult to catch a black cat in a dark room, especially when it is not there. (Chinese proverb)

    – Everything that eats flies, except airplanes! (Chinese proverb current!)

    – If you hit your head against a vase and it sounds hollow, do not assume that this is the vase that is empty … (Chinese proverb)

    – Before talking about the twig’s in the eye of thy neighbor, thou occupied the beam that is in thine own eye. (Chinese proverb?)

    – If you do attack nobody, nobody will attack you (Chinese proverb)

    – If you pee wind in the back and you wet your shoes, it’s probably not that your feet are too long

  • Japon, chaussures mode

    Japon, chaussures mode

    Japon fashion, c’est le pied d’avoir des chaussures « mode » !

    Japon, c’est le pied d’avoir des chaussures « fashion » !

    On sait que les japonaises sont petites, très petites. Désormais elles sont devenues grandes comme par enchantement grâce à la fée « mode ». Des créateurs ont imaginé une nouvelle ligne de chaussures ciblées originales et un peu farfelues. Sympa mais attention aux futurs problèmes de dos…


    - Cool les semelles compensées !                                 échasses pour les artistes                                                                       entrer à la maison sur la pointe des pieds !


    Très branchées pour le prix d’Amérique    Bal masqué et paillettes à gogo.                     Nouvelles échasses pour les artistes de rue nouveauté

    Préconisées pour les soirées sado-maso



    - Lorsque le chat n’est pas là les souris dansent

    Japan fashion, it is the foot to have shoes « fashion »!

    Japan is the foot to have shoes « fashion »!

    We know that the Japanese are small, very small. Now they have become great like magic with fairy « mode ». Designers have created a new line of original targeted shoes and a little wacky. Nice but beware of future back problems …

     

    Japan Art und Weise, ist es der Fuß Schuhe haben « Mode »!

    Japan ist der Fuß Schuhe haben « Mode »!

    Wir wissen, dass die Japaner sind klein, sehr klein. Jetzt haben sie sich großen wie von Zauberhand mit Fee « mode ». Designer haben eine neue Linie der ursprünglichen gezielte Schuhe und ein wenig verrückten erstellt. Schön, aber hüten Sie sich vor künftigen Rückenproblemen …

     

    Japón la moda, es el pie para tener zapatos « moda »!

    Japón es el pie para tener zapatos « moda »!

    Sabemos que los japoneses son pequeñas, muy pequeñas. Ahora se han convertido en un gran arte de magia con « modo » de hadas. Los diseñadores han creado una nueva línea de zapatos dirigidos originales y un poco loco. Bonito pero ten cuidado de futuros problemas de espalda …

     

    日本的時尚,它是腳鞋都“時尚”!

    日本是腳鞋都“時尚”!

    我們知道,日本的小,非常小。現在,他們已成為大如魔術童話“模式”。設計師們創造了原來的目標鞋新的生產線和一點點古怪。不錯,但提防未來的背部問題…

     

    יאַפּאַן שניט, עס איז די פֿיס צו האָבן שיכלעך « שניט »!

    יאַפּאַן איז די פֿיס צו האָבן שיכלעך « שניט »!

    מיר וויסן אַז די יאַפּאַניש זענען קליין, זייער קליין. איצט זיי האָבן ווערן גרויס ווי מאַגיש מיט פייע « מאָדע ». דיזיינערז האָבן Created אַ נייַ שורה פון אָריגינעל טאַרגעטעד שיכלעך און אַ ביסל וואַקי. פייַן אָבער היט אייך פון צוקונפֿט צוריק פּראָבלעמס …