On s’active, on se prépare, on fignole, on rit, on monte, on se réunit pour donner au Château de BLOSSET une apparence encore plus élégante à cette magnifique bâtisse du 18ème siècle. Les amis du Château sont présents et dressent une immense tente de « Gala » ( plus de 240 convives debout, et 120 assis, parquet au sol) pour les futurs évènements qui vont s’enchaîner tout au long de cette nouvelle saison 2022- 2023.Les idées foisonnent autour d’un repas convivial et comme le dit si bien Jean- François, le maître des lieux: « après l’effort le réconfort ».
Réaménager le magnifique parc en » jardin à la française » selon des normes très strictes, donner encore plus de faste au château; rien n’est mis de côté pour créer un « écrin d’élégance » à ce lieu déjà magique. Les « Amis de Blosset » se donnent comme d’habitude à fond car ce sont tous des passionnés.
Fêtes, évènements insolites, mariages, le Marquisat de Blosset sera vous recevoir avec son « supplément âme légendaire
Au Château de Blosset un évènement original parmi tant d’autres!
Le château de Blosset, édifié sur la commune de Vignoux-sur-Barangeon dans le Cher par un ambassadeur de Louis XV, est l’un des rares châteaux du XVIIIᵉ siècle que compte la Sologne.
Le propriétaire aime à nous faire découvrir le Château de Blosset
En Sologne, au pays du Grand Meaulnes, le château de Blosset, monument historique édifié par un prestigieux architecte danois pour l’un des ambassadeurs du Roi Louis XV, fait l’objet depuis quinze ans d’une campagne de restauration sans précédent tendant à la restitution scrupuleuse de son état d’origine.
SAndra et Gersende des amies de Blosset
Cette maison familiale et habitée, située au cœur d’un vaste domaine rural, offre le cadre d’une originale démarche d’ouverture au public et d’animation, notamment au travers de l’association des Amis du Château.
Le Blosset est une invitation inédite à découvrir concrètement l’art de vivre du XVIIIème siècle.
« Ce temps qui me sépare de Biskra » aux éditions d’écarts.
Un récit dans lequel je reviens sur mon adolescence à Biskra
jusqu’en 62.
J’y évoque ma mère, mon premier amour, alors que nous n’avions que 14/15 ans et bien évidemment Biskra, ma ville de naissance.
J’en parle avec nostalgie et une joie douloureuse.
je reviens aussi sur certains évènements heureux ou malheureux qui se sont déroulés
pendant cette période.
j’évoque la brutalité du départ, de l’exil, certes programmé mais qui fut difficile à vivre
en cette fin du mois de juin.
Ce livre/catharsis m’aura servi de psychanalyse pour tenter d’évacuer le traumatisme de l’arrachement.. Après la publication du livre je suis retourné à Biskra ,53 ans après le départ.
« Seule,Biskra » aux éditions Unicité
Dans ce récit je parle de mon retour à Biskra, de ce que j’y trouvé, retrouvé.
La rue, la maison où je suis né; L’école élémentaire, le collège et les classes qui m’ont semblé si petites 53 ans après…
Certains camarades de classe toujours là malgré les années..
Mes promenades dans la ville, certes changée, transformée étendue au-delà de ce que nous avions connu mais pas complètement oubliée dans mes souvenirs..
J’ai retrouvé mon quartier quasiment inchangé.
J’ai voulu tout revoir, même la maison de Lola, mon premier amour.
Je n’ai pu retenir mes larmes.
Ils sont là, pour danser dans le futur clip de Gersende, la petite chanteuse vierzonnaise qui interprétera Besame mucho cet hymne universel qui exprime tout l’attachement que l’on a pour une autre personne. Caro, la danseuse impénitente et Moussa, le professeur de Kizomba, connu et reconnu, se sont investis totalement afin de donner au clip une senteur d’exotisme.
En règle générale, l’espace dans lequel se meut le couple est réduit à son strict minimum et les mouvements, bien qu’élaborés, sont économisés. ) et Moussa ces passionnés de Kizomba, , très pros, ont accepté avec enthousiasme de participer à cette aventure ainsi que la troupe , Berry Latino. Tous rush ont été tournés sur le Canal de Berry. Mais quel est l’origine du kizomba?!!
A Vierzon vue sur le Canal de Berry
Le kizomba est un genre musical d’Angola, qui est devenu populaire en France et Europe. Au Portugal, le mot “kizomba” est utilisé pour n’importe quel type de musique dérivée du zouk, même si elle n’est pas d’origine angolaise.
La danse Kizomba (au sens strict) se caractérise par sa langueur et sa sensualité. Le tronc demeure fixe et néanmoins souple, tandis que le bas du corps est beaucoup plus énergique.
En règle générale, l’espace dans lequel se meut le couple est réduit à son strict minimum et les mouvements, bien qu’élaborés, sont économisés.
Gersende a déjà souvent chanté “Besame mucho”, mais cette fois ci ce sera en studio à Paris pour une interprétation personnelle. Et oui elle apprend l’espagnol au collège et aime à s’exprimer dans cette langue qu’elle affectionne particulièrement. Donc RDV pour de nouvelles aventures. A noter aussi que Caro est aussi une super choriste de studio et elle participera à l’enregistrement.
Au fait, Gersende chantera pour l’inauguration du Forum des Associations samedi prochain le 18 Septembre à 14h30 précises, “Besame mucho” avec Berry Latino et “Canal de Berry” avec les Red Montana dancers.
Eh oui tout le monde parle aujourd’hui de ce fameux Canal du Berry avec ses promenades au fil de l’eau, un circuit si convivial pour nos 2 roues, en famille ou entre copains! Des circuits pittoresques où se côtoient paysages magiques et animaux sauvages. Le meilleur et le plus adapté moyen de locomotion pour des escapades c’est certainement le vélo.
Un tricycle pour enfant datant de 1880, des vélos militaires (Français, allemands, Anglais…), des grands Be de toutes les tailles (Enfants, adultes..), voici le domaine si enthousiasmant de notre collectionneur Alain Cuvier.
Ce Musée est niché au cœur de la Sologne à la Ferté Imbault près du château, et de plus, la maison, les locaux, tout a été construit, imaginé par notre notre « fou de Vélo » Alain Cuvier. Un fou top sympathique plein de gentillesse et de prévenance.
Garder tout pour soi n’est certainement pas sa philosophie, il aime à partager ses connaissances, raconter des histoires nous faire rêver à travers ces drôles de machines d’un autre temps. Alain nous emporte dans un monde qui paraît comme disparu mais qui est notre héritage à tous.
Accompagné de Paulus Bolten, un passionné de Vélo car lui même Hollandais, du photographe Max vierzonnais d’adoption depuis plus de 30 ans, de la célébrité locale la petite chanteuse Gersende et d’un marchand d’art féru de culture, nous avons visité ce Musée du vélo avec les explications si pointues d’Alain qui a su avec simplicité nous donner cette envie d’en savoir plus. Paulus Bolten à la fois curieux, admiratif et enthousiaste à travers des questions pertinentes et ciblées, a interviewé Alain Cuvier qui avec une vraie gentillesse et une passion chevillée au corps, nous a fait voyagé à travers le temps.
D’explications simples à la réalité des « essais » sur le terrain il n’y eut qu’un pas d’ailleurs. Gersende et puis Paulus Bolten avec des engins de taille différentes ont tous les 2 côtoyé les hauteurs en s’essayant au Grand Be. Des rires, de la peur, de la crispation, du plaisir et enfin de la satisfaction ont créés des moments magiques, ce que l’on appelle des instants « entre parenthèse ». Tenter de lui poser une question sur le vélo et le mettre en difficulté est une vraie gageure car Alain Cuvier est un passionné et cela depuis près de 40 ans.
Cet après- midi se clôtura par une sympathique collation offerte gentiment par l’hôtesse des lieux.
Le musée du vélo ancien présente les plus beaux modèles des plus de soixante vélos anciens détenus par M. Cuvier. Il expose également de nombreux objets liés au monde du vélo : vieux outils, produits publicitaires, etc. Il est visitable gratuitement, uniquement sur demande (02 54 96 22 02). Musée du Vélo 28 Impasse du Chai 41300 la Ferté Imbault
Ce reportage a pu être réalisé grâce à: Alain Cuvier le créateur du Musée du vélo et aux vierzonnais Paulus Bolten notre ami hollandais passionné de vélo, Max photographe de Berrygoodnews.fr, Gersende chanteuse, interprète de l’hymne du Canal du Berry.
Un lieu de tranquillité ou règne la quiétude d’un après- midi paisible. Un soleil de plomb le long du canal du Berry mais à l’ombre des arbres protecteurs on peut siroter une bonne bière régionale pleine de fraîcheur et de délicatesse. C’est magique de pouvoir rêver dans la torpeur d’une nature si accueillante.
Une beauté cachée, une silhouette fragile déjeune tranquillement en toute simplicité, elle regarde on ne sait quoi, peut- être des cyclistes qui passent comme des invitations au voyage.
Des vélos, des bécanes, des pêcheurs le long du Canal du Berry c’est le nouveau lieu de passage des amoureux de la nature, et ils sont fort nombreux à donner vie à ce chemin cyclable si calme loin de la folie des villes.
Le Canal du Berry s’impose comme un lieu incontournable pour tous les amoureux de la bicyclette et de la nature.
Le confinement permet à certains artistes de créer des œuvres humoristiques à la fois picturales et fort drôles. Guy Coda est de ceux là avec ces illustrations originales dont les chiens sont les témoins omniprésents de notre nouvelle vie.
Source article Wikipedia
Diplômé de l’Institut de peinture décorative Blot de Reims, Guy Coda entre à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, dont il sort diplômé en scénographie. Dès 1975, il se consacre à l’enseignement, dans les lycées publics puis plus tard dans l’école supérieure dont il est issu.
Sa première illustration connue du public est parue[Quand ?] dans Télérama. Dans les années 1970, il participera aux décors de quatre films[Lesquels ?], avant de se consacrer à l’illustration et à la peinture. Il œuvre pour l’art philatélique avec la série des parcs nationaux en 1995.
Milan Ratislav Stefanic et Wassily Kandinsky, France, 2003.
Timbres-poste
Nature – Liste des parcs naturels de France|les parcs nationaux, France, quatre timbres en 1996, quatre autres en 1997. Pour ses timbres, il illustra également le document philatélique édité par La Poste et des enveloppes premier jour de deux éditeurs. Élue en 1996 prix du plus beau timbre-poste par les clients de La Poste.
Héros d’aventureen collaboration avec S. Hochain, France, série de six timbres, 1997. Élue plus belle série par les clients de La Poste.
Jeux olympiques d’hiver de 1998|Jeux olympiques de Nagano – Super G, Andorre, 1997.
Cinquantième anniversaire du Conseil de l’Europe, Andorre, 1998.
Vive les vacances, timbre semi-permanent, France, 1999.
plaquette de dix timbres pour la coupe du monde de football 2006.
deux carnets de douze timbres La France comme j’aime, 2009.
Littérature
Faut voir, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
Deux doigts de lumière, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
L’effaceur de couleurs, texte et illustrations, album jeunesse aux Éditions du Mont, 2010.
Expositions
1992 :
Galerie Didot, Paris
Galerie Préface, Paris
1992, 1993, 1994 : galerie 157, Villemomble
2001 : galerie Ls cinq sens, Paris
2002 : hôtel Sofitel-les Halles, Paris
2003 :
Maison de la Beauce, Orgères, rétrospective organisée par le conseil général
Thiery Beyne part dans les années 1980 découvrir l’Asie où s’affirme sa passion du voyage et de la photographie. Il a parcouru depuis l’Inde, le Sri-Lanka, la Thailande, la Malaisie, l’Indonésie, le Cambodge, les Philippines, Hong-Kong, Singapour et bien sûr le Vietnam, son coup de cœur. Voilà bientôt 15 ans qu’il sillonne ce pays et le photographie du nord au sud dans ses coins les plus reculés. Marié à une vietnamienne de Hué, Thiery Beyne est en contact direct avec la vie quotidienne et l’authenticité du pays. Être au cœur de la population vietnamienne est pour lui essentiel. De 1995 à 2002, il réalise plusieurs expositions personnelles, à Paris et en région parisienne. En 1997, il est primé au “Nikon Photo Contest International” et exposé à la Maison Européenne de la Photographie à Paris. Thiery Beyne vit maintenant au Vietnam et aussi en France.
Prochaine exposition:
Festival « aux coeurs du Vietnam » du 6 au 23 Mai 2020 au Cosmopolis de Nantes.
Thiery Beyne khởi hành khám phá vùng đất Châu Á vào năm 1980, mảnh đất đã làm cho niềm say mê du lịch cũng như đam mê nhiếp ảnh của ông được khẳng định. Ông đã đi từ Ấn Độ, Srilanka, Thái Lan, Mã Lai, Indonesia, Campuchia, Philippines, Hồng Kông, đến Singapore và tất nhiên có Việt Nam, chính là đất nước yêu thích của ông. Vậy là đã 15 năm ông ngang dọc trên đất nước này, ông đã ghi lại những hình ảnh từ nam chí bắc ở những nơi xa xôi hẻo lánh. Thiery Beyne kết hôn với cô gái Huế, ông tiếp xúc trực tiếp với cuộc sống hàng ngày, sự chân thực của đất nước này. Hòa mình vào với người dân Việt Nam đối với ông chính là điều thiết yếu. Từ năm 1995 đến 2002, ông đã có nhiều cuộc triễn lãm ảnh cá nhân ở thủ đô Paris và ngoại ô Paris. Vào năm 1997, ông giành được giải thưởng nhiếp ảnh «Nikon Photo Contest International» và triển lãm ảnh ở phòng trưng bày «La Maison Européenne de la Photographie» tại Paris. Thiery hiện đang sinh sống tại Việt Nam.
Thiery Beyne began his journey through Asia in the eighties as the ultimate confirmation of his passion for travel and photography. He crossed India, Sri Lanka, Thailand, Malaysia, Indonesia, Cambodia, The Philippines, Hong Kong, Singapore and of course Vietnam, his favorite.
Between 1995 and 2002, his photographic work is frequently exhibited in Paris and surroundings. In 1997 he received a prize in the ‘International NIKON Photo Contest’ and his work is exhibited in ‘La Maison Européenne de la Photographie’ in Paris. He is married to a Vietnamese girl from Hue, thus penetrating to the heart of Vietnamese society, a privilege which the tourists cannot enjoy. Today he lives and works as a photographer in Vietnam (Nha Trang), among the indigenous population. To be at the heart of Vietnamese life is essential for him
Toutes les photos de ce site « VISAGES DU VIETNAM » sont la propriété de Thiery Beyne
Les Amazones du Dahomey ou l’autre face de la femme.
La femme fragile, oui mais… Glissons nous avec prudence au Dahomey (ex Bénin) , n’allons pas siffler les filles car cela tournerais au cauchemar pour les hommes trop sûrs d’eux! Mais qui étaient donc ces femmes combattantes, pleines de rage et de hargne, celles qu’on nommait aussi les Amazones. Au moment de la colonisation, les soldats français redoutaient comme la peste ces « femmes fragiles » aux regard d’acier. Rien que d’en parler ils avaient cette peur chevillée en eux. Mais étaient- elle si libérée… non car elles étaient inféodées au roi. Ceci est une autre histoire.
Les Amazones, des femmes, mais des combattantes!
Vidéo La Case VerteLes Amazones sont sélectionnées parmi les enfants d’esclaves et seules les jeunes filles sont gardées, affranchies et entrent au harem du roi3. Après une formation, elles intègrent le corps des femmes de guerre du roi, l’« Agoledjié ». Les Dahoméens les surnomment « Minon »(Mi-Non), c’est-à-dire « nos mères »4. Certaines femmes de la société fon deviennent Minon volontairement alors que d’autres sont enrôlées de force. Tous les trois ans, les sujets du roi doivent présenter leurs filles devant un conseil de révision qui désignent celles admises dans la maison du roi. Elles deviennent soldats ou officiers selon le rang social de leur famille3. Tant qu’elles sont Minons, les femmes ne sont pas autorisées à avoir des enfants ou à être mariées mais elles peuvent être offertes aux meilleurs guerriers ou choisies comme épouse par le roi3. Beaucoup d’entre elles sont vierges. L’historien béninois Arthur Vido a montré que les femmes enrôlées dans les troupes n’étaient pas toutes vierges. Des amazones en fonction ont eu des rapports sexuels dans le cadre d’une mission royale ou pour simplement assouvir un désir physiologique. Ceci étant, la prononciation d’un voeu de célibat devant la divinité Dewin qui était censée provoquer une grossesse certaine chez les amazones ayant enfreint la règle de chasteté, la pratique de l’excision pour ôter leur attrait aux relations sexuelles et la décision de leur faire prendre des liqueurs contraceptives ne les ont pas toujours empêchées d’avoir des amants5. Le régiment des femmes a un statut semi-sacré qui est fortement lié à la croyance du peuple fon au vaudou.
Les Amazones du Dahomey (Bénin)/ Wikipedia
Je l’ai croisé dans la rue avec son labrador. Qui est t-il, élégante silhouette, à la démarche lancinante, d’où vient-il avec ses vêtements soignés et son allure « jet setteur », débarque t-il d’une autre époque ou même dune autre planète comme échoué dans notre ville. Avec sa longue chevelure poivre et sel il incarne bien l’ images de ceux qu’on appelle les « romantiques du 19ème siècle ». C’est plus fort que moi, c’est plus fort que vous, nous sommes tous curieux, alors de ce pas allons à la pêche aux renseignements.
Il s’appelle Paulus Bolten un Hollandais bien français qui manie notre langue divinement bien et semble connaître notre pays comme sa poche. J’avais entendu parler d’un spécialiste de la chaussure, un expert en la matière à la fois créateur, artiste et visionnaire. Son métier on le connaît peu: patineur de chaussures pas sur glace ( hockey). Paulus Bolten en a été un des précurseurs de cette spécialité qu’il pratique depuis plus de 20 ans après avoir « bourlingué » dans le monde de l’édition. Un vrai revirement du en partie à sa passion pour les belles choses. Il sait parfaitement s’adapter à son besoin esthétique, aller jusqu’au bout de ses rêves, et créer son propre monde fait de couleurs écarlates, de finitions, de détails et évidemment de « savoir-faire ».
Paulus Bolten a posé une partie de ses valises à Paris et l’autre partout dans les plus grandes capitales. Ce spécialiste du « glaçage de chaussures » connaît fort bien le monde de la mode car il voyage souvent entre New-York et Tokyo. Non seulement façonneur de couleurs pour les plus grands chausseurs, il aime aussi donner une seconde vie aux sacs de grandes marques (Louis Vuitton, Hermès..).
Paulus Bolten a aussi créé sa propre ligne de chaussures qu’il décline à l’infini pour donner à chacune de ses créations une personnalité qui sera le reflet de chacun de vos désirs. Eh oui les baskets peuvent aussi devenir « uniques », au goût de chacun sans aucune limite à la créativité et à vos rêves.
En aparté Paulus Bolten nous a fait une confidence: « je vais créer des ateliers de glaçage de chaussures pour les pros mais aussi pour les amateurs ». Et de nombreuses autres idées comme la connaissance du cuir sous toutes ses formes: les types de cuirs, la qualité des cirages, l’entretien, les couleurs « fashion », les différentes techniques pour mettre la chaussure, le sac en valeur… Des stages courts, des stages longs et tout cela à la portée de tous pour être co-créateur de vos chaussures. Moi je peux vous dire: c’est un vrai professionnel. Mais pas un mot, ceci est un secret à garder égoïstement!