Étiquette : artiste- peintre

  • Elisabeth De Laigue ou le souffle du monde animal!

    Elisabeth De Laigue ou le souffle du monde animal!

    Elisabeth de Laigue est une artiste peintre française, née en 1953 à Lagny-sur-Marne (en Seine et Marne) et travaillant sur la région parisienne.
    Elle produit des acryliques sur toile s’inspirant de ce qu’elle aime, ce qui l’entoure ou la fascine. Souvent rappelant les cabinets de curiosités du XIX siècle, elle traite autant des sujets figuratifs qu’animalier.
    Baignée depuis son enfance dans le dessin, Elisabeth de Laigue a longtemps travaillé en tant que restauratrice de peinture pour le compte d’un antiquaire, puis en tant qu’enseignante de dessin et d’histoire de l’art ou elle a su susciter son intérêt pour les belles choses.

     

    Contact: elisachampy@gmail.com

  • Exposition de la poétesse et peintre Jie Wang.

    Exposition de la poétesse et peintre Jie Wang.

    Venue: Galerie FRANCIS BARLIER 36 Rue de Penthièvre Faubourg Saint Honoré 75008 Paris

    Ouverture exceptionnelle ce dimanche en solidarité avec les autres galeries de la Rive Droite.

    Cliquer ICI pour voir les toiles

    Née à Shanghai, la poétesse et peintre Jie Wang habite à Paris depuis presque 20 ans. Elle dédie sa troisième exposition à Paris confiné. Vite retrouvons Paris de toutes les couleurs !

    « Peste soit du noir et blanc ! Paris est un orage de couleurs, une explosion de tons. Un arc en ciel vivace, dont Jie Wangse plait à d-épingler les angles de rues, les porches, les détails, comme autant de vignettes lumineuses. »

    Nicolas d’Estienne d’Orves

    Expositions personnelles :

    • 2020 Paris confiné, galerie Francis Barlier, Paris.
    • 2019 Natures Mouvantes et Entrechats, Galerie Thuilier, Paris.
    • 2017 Regards croisés, Paris.
    • 2016 Poésie silencieuse, Mairie du VI de Paris.

    Autres expositions :

    • Lille : Hôtel de la Région Hauts de France
    • Paris : Hôtel de la Région Ile de France
    • Ivry-sur-Seine : Cercle carré, dans son atelier
    • Shanghai : participation dans l’exposition collective Catopia, Galerie M50

    Publication en édition bilingue:

    • Les 48 plus beaux poèmes de Baudelaire (édition You Feng)
    • De la belle aube au triste soir, choix de poèmes (édition You Feng)
    • Rimbaud, le météore de la poésie française (édition Castor & Pollux)
    • Paris, errances poétiques, sélection de poésie sur Paris.

     

  • Guy Coda artiste pour un humour « déconfiné » (Saison 1)

    Guy Coda artiste pour un humour « déconfiné » (Saison 1)

    Guy Coda, est venu à Vierzon en 2017 pour une petite visite amicale et rencontrer des passionnés de philatélie.

    Guy Coda est un artiste complet, à la fois musicien, peintre, illustrateur, écrivain, humoriste, professeur de dessin à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, graphiste, notamment la création de plusieurs timbres pour La Poste…
    Aujourd’hui Guy Coda nous propose une vision humoristique de cette année si particulière 2020 l’année du 20 sur 20 soit du 0 sur 0.

  • Christophe Giral à la galerie Barlier

    Christophe Giral à la galerie Barlier

    La Galerie Francis barlier expose Christophe Giral
    un voyage au cœur de la lumière

    Paris, France, 21 mai 2020 :  Cette exposition rassemble l’ensemble du travail de plus de dix ans du peintre toulousain, il explore pendant ce temps l’univers de la lumière grâce aux outils du 21e siècle, et peint avec les techniques de la renaissance. Il combine ainsi le meilleur dont nous disposons aujourd’hui, sans dédaigner l’héritage du passé, pour offrir des vues uniques, particulièrement vibrantes, sans pour autant se baser sur des scènes extraordinaires. C’est l’art de la lumière; celle ci pour lui étant comme les notes de musique pour un compositeur. Avec comme seule arme la couleur il crée une symphonie vibrante, à partir d’une image quelconque, grâce à une écriture à la fois puissante et méticuleuse, par moment même pointilliste.

    Dans le contexte du covid-19, nous allons limiter la présence au vernissage et à la visite quotidienne, afin de respecter les consignes sanitaires, mais en même temps, nous offrons une expérience virtuelle de la visite de façon complète : un film haute définition établit une relation intime et directe entre l’œuvre, l’artiste et le public ; une visite 3D permet de visualiser l’accrochage dans l’espace de la galerie ; des images haute définition avec des photos de détail sur le site de l’exposition permettent de voir l’œuvre de façon plus précise. Cependant, une visite physique est nécessaire pour apprécier les qualités de l’œuvre, surtout pour cet artiste dont l’expression dépasse les conditions matérielles de présentations virtuelles.

    Pour aller plus loin, nous organisons autour de son livre « Un nouvel art de la couleur » trois conférences pour présenter au public initié et curieux sa découverte et l’application de celle-ci dans la peinture :

     

    Conférence I : Peindre l’inimaginable de la nature

    Certains artistes dans le passé ont cherché à comprendre l’origine des arts plastiques par une étude de la lumière. L’arrivée de la chambre noire a permis dès la Renaissance d’étudier la structure graphique et colorée des images projetées par la lumière. A partir du 17eme siècle certains peintres ont une approche directe de l’image lumineuse, s’opposant à toutes les traditions du monde plastique de leur époque. Cette conférence a pour but de montrer à travers le travail de quelque peintre (du 17eme siècle au début du 20eme siècle), l’évolution de ce qui constitue le ferment de toute modernité.

    Conférence II : L’harmonie et le dessin chromatique

    Le dessin chromatique est à lui seul une petite révolution plastique. Le peintre le perçoit intuitivement puis il découvre son omniprésence et son intérêt plastique fondamental pour qui veut traiter l’espace. A partir de 2005 sa pratique picturale va être bouleversée. Cette découverte est la solution d’un problème plastique de l’art de peindre, le conflit entre le dessin et la couleur. Le dessin en devenant chromatique s’intègre parfaitement au système d’harmonie des couleurs. Seuls les moyens techniques d’aujourd’hui permettent de mettre en évidence cette toute nouvelle solution plastique qui fait le lien avec toutes celles qui l’ont précédée. Cette nouvelle plastique ouvre des horizons si vastes que peu d’artistes pourront en expérimenter tous les possibles.

    Conférence III : En finir avec le cercle chromatique

    Le système classique d’harmonie des couleurs (intéressant à son époque) est désormais, au vu des techniques nouvelles de ce siècle, complètement dépassé. La création d’une nouvelle architecture de la lumière compréhensible par tous ceux qui utilisent les couleurs (les peintres entre autres) est devenue une nécessité vitale pour tous les arts visuels. La couleur dans la nature n’est pas un phénomène décoratif. Comprendre les nouvelles fonctions de la lumière (spatiale et chromatique) fait apparaître un monde du visible ou le hasard n’a pas de place. Libre à chacun bien sûr d’interpréter ce solfège à sa manière, mais le solfège des couleurs existe bel et bien.

    Entretien avec son épouse ANNIE COUGET,
    sculpteur et scénographe, chargé de cours à l’Université Jean-Jaurès de Toulouse :

    « Mais finalement, où est l’artiste ? » me demandez-vous.

    Mais il est là… derrière son pinceau, à l’écoute de la nature… et il passe sa vie à peindre.

    Ce qu’il peint ?

    Ne vous y trompez pas, c’est toujours le même sujet. Il le décline sur ses toiles.

    Sa muse : c’est la lumière. Elle qui caresse, révèle ou efface à l’envi, les objets, les paysages, les personnages …

    Et immanquablement, elle jaillit de ses toiles, rythmées en profondeur par des couleurs claires et franches, sourdes et veloutées qui se renforcent mutuellement jusqu’à l’épanouissement final d’une trompe l’œil vibrant qui nous interpelle.

    Une peinture au chromatisme puissant qui impose sa perspective, son ressenti de la profondeur, qui dématérialise la surface de la toile, transforme les pigments en lumière et, par là même, nous transporte, au-delà d’un réalisme quelconque, vers les profondeurs de l’essence du visible.

    Et ce, sans aucun subterfuge, sans tricherie, sans épaisseur. Beaucoup de travaux artistiques tournent aujourd’hui autour de cette quête sans jamais y arriver vraiment (peinture sur verre, semi bas-relief…) Il y a toujours un truc, une ficelle.

    Christophe Giral, en peignant le réel, en analysant comment notre œil perçoit la lumière, est arrivé à écrire l’espace.

    « Alors c’est scientifique ».

    Peut-être, à la marge entre art et science en effet : c’est la mise en évidence de l’existence d’une perspective chromatique.

    Mais Brunelleschi a démontré le caractère universel de la perspective linéaire, il n’a pas été mis au banc des artistes pour autant à cause de son côté scientifique.

    On vit une époque bien singulière où l’artiste se doit à un intellectualisme primordial, sans lequel pas de salut possible. En face de lui une élite d’initiés convaincue de détenir la vérité et qui, somme toute, véhicule un académisme comme un autre.

    La peinture de C. Giral et sa démarche, puisqu’il en faut une, c’est à l’instars des impressionnistes, un retour à la nature. Que faire d’autre face à un académisme sûr de lui-même ? Mêmes problèmes, mêmes solutions…

    Eux aussi sont retournés à la nature, ont remis en question les enseignements de l’époque pour donner à l’art de peindre un nouvel élan. Ils ont étudié le motif inlassablement, jusqu’à trouver dans la beauté des couleurs qu’ils voyaient sur nature, un assemblage novateur, un renouveau plastique que chacun depuis a reconnu et apprécié à sa juste valeur mais qui, à son époque, fit polémique.

    Le temps finit toujours par venir à bout des a priori et personne aujourd’hui ne se demande plus si un peintre impressionniste est bien un artiste !

     

    « Oui mais, il utilise la photographie ! »

    Bien sûr, et même l’ordinateur : il faut être de son temps.

    D’ailleurs aujourd’hui la photographie est reconnue comme un art et quel est l’artiste qui ne s’en sert pas ?

    De plus Christophe Giral dans sa peinture va bien au-delà du réalisme photographique, au-delà même de ce courant pictural auquel quelques-uns le raccrochent par facilité : l’hyperréalisme. Mais ses toiles ne sont pas vraiment dessinées, elles sont claires et vibrantes et le dessin n’est que couleur. Si elles paraissent hyperréalistes c’est grâce à l’utilisation de la perspective chromatique.

    L’évolution est là : le peintre Christophe Giral « ce musicien de la lumière » peut désormais rendre l’espace palpable au sein même de la toile. Sa signature, un tampon contenant trois lettres : MDL (Musique De Lumière) entérine l’affaire.

    Son art consiste à faire oublier la matière picturale pour transmettre au spectateur, envouté par la magie des couleurs, la poésie de la lumière et de l’espace.

    Galerie Barlier 36 Rue de Penthièvre, 75008 Paris

    Contact : Tjeri Liu, commissaire

    Téléphone : 06 19 30 18 57/ http://www.galeriebarlier.fr

  • Exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre Lê Anh Duy Maniquant

    Exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre Lê Anh Duy Maniquant

    Du lundi 1er octobre (vernissage à partir de 19h) au lundi 15 octobre 2018, exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre d’origine vietnamienne Lê Anh Duy Maniquant dans le salon de thé ‘The Croq’ Gallery’ (Paris 5e)

    Lê Anh Duy Maniquant 

    L’exposition « Un Vietnamien à Paris » de l’artiste peintre et designer d’origine vietnamienne Lê Anh Duy Maniquant se tient du lundi 1er octobre au lundi 15 octobre 2018.

    Vernissage le lundi 1er octobre de 19h à 23h30 (ou avant 23h30 selon l’affluence) : il vaut mieux téléphoner avant de venir au cas où la galerie fermerait plus tôt

    Lieu :

    ‘The Croq’ Gallery’, 18 rue Maître Albert, Paris 5ème (métro : Maubert-Mutualité).

    Téléphone : 01 46 34 15 68

    Pour en savoir plus :

    – sur l’artiste Lê Anh Duy Maniquant :

    http://leanhduy.fr/en/actualites/page/7

        

    – sur ‘The Croq’ Gallery’:

    https://www.thecroqgallery.com/fr/

    https://www.facebook.com/thecroqgallery/

    – sur les deux événements au début et à la fin de cette exposition :

    https://www.facebook.com/events/300427407219624/

    le lundi 1/10/2018 de 19h à 23h30 (ou avant) : https://www.facebook.com/events/300427407219624/?event_time_id=300427430552955

    le lundi 15/10/2018 de 18h15 à 23h30 (ou avant) : https://www.facebook.com/events/300427407219624/?event_time_id=300427423886289

    mcfv

  • L’artiste peintre Nguyen Tay expose encres et aquarelles

    L’artiste peintre Nguyen Tay expose encres et aquarelles

    L’artiste peintre Nguyen Tay expose encres et aquarelles du 4 juillet au 3 août 2017 à la bibliothèque Claude Lévi-Strauss (Paris 19e)

     

     

     

    L’artiste peintre d’origine vietnamienne Nguyen Tay expose une vingtaines d’œuvres, encres et aquarelles, du 4 juillet au 3 août 2017

    à la bibliothèque Claude Lévi-Strauss

    41 avenue de Flandre, Paris 19e  – Métro : Stalingrad ou Riquet

    tél. : 01 40 35 96 46  (vérifier les horaires d’été – par exemple fermée lundi 17/7, ouverte mardi 18/7 à partir de 13h)

    Vernissage samedi 8 juillet 2017 de 14h30 à 17h.

    Voici des photos de quelques autres œuvres exposées (en plus des deux œuvres à la une de cet article) :

     

     

     

     

    Extrait d’un message de Nguyen Tay sur son facebook à propos de l’œuvre ‘Fame’ (de la dernière photo ci-dessus) qu’il a coréalisée ainsi qu’une 2ème oeuvre (l’avant-dernière ci-dessus) avec l’artiste peintre Red Dito https://www.facebook.com/NguyenTayArtist/posts/1949219235319068 14 juillet, 13:35 · Paris :

    Fame, réalisée par Red Dito (couleurs) et Nguyen Tay (traits), est actuellement à l’Exposition Encres et Aquarelles de Nguyen Tay à la Bibliothèque Claude Lévi-Strauss – 75019 Paris jusqu’au 3 août.   Cette collaboration est, de l’avis de tous, une très belle réussite. Red Ditoapporte en effet à mon style une touche pop. Le personnage ressemble ainsi à une célébrité de la K-pop. ‘

    Plus d’informations :

     

    Pour télécharger ou la visionner agrandie et nette, cliquer sur l’image ci-dessus.

    http://www.nguyentayartist.com/

    MCFV

  • Guy Coda, incroyable exposition à Chartres

    Guy Coda, incroyable exposition à Chartres

    Guy coda un artiste authentique et complet

    Une exposition se tiendra à la chapelle de l’ Eurélium, 11 rue du cardinal Pie à Chartres, du 2 juin au 18 septembre 2017

    Diplômé de l’Institut de peinture décorative Blot de Reims, Guy Coda entre à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, dont il sort diplômé en scénographie. Dès 1975, il se consacre à l’enseignement, dans les lycées publics puis plus tard dans l’école supérieure dont il est issu.

    Sa première illustration connue du public est parue[Quand ?] dans Télérama. Dans les années 1970, il participera aux décors de quatre films[Lesquels ?], avant de se consacrer à l’illustration et à la peinture. Il œuvre pour l’art philatélique avec la série des parcs nationaux en 1995.

    Timbre à date des oblitérations premier jour
    • Coupe du monde de football 2002, France, 2002.
    • Milan Ratislav Stefanic et Wassily Kandinsky, France, 2003.
    Timbres-poste
    • Nature – Liste des parcs naturels de France|les parcs nationaux, France, quatre timbres en 1996, quatre autres en 1997. Pour ses timbres, il illustra également le document philatélique édité par La Poste et des enveloppes premier jour de deux éditeurs. Élue en 1996 prix du plus beau timbre-poste par les clients de La Poste.
    • Héros d’aventureen collaboration avec S. Hochain, France, série de six timbres, 1997. Élue plus belle série par les clients de La Poste.
    • Jeux olympiques d’hiver de 1998|Jeux olympiques de Nagano – Super G, Andorre, 1997.
    • Cinquantième anniversaire du Conseil de l’Europe, Andorre, 1998.
    • Vive les vacances, timbre semi-permanent, France, 1999.
    • plaquette de dix timbres pour la coupe du monde de football 2006.
    • deux carnets de douze timbres La France comme j’aime, 2009.

    Littérature[modifier | modifier le code]

    • Faut voir, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
    • Deux doigts de lumière, nouvelles, Éditions Le Manuscrit (à compte d’auteur)[Quand ?].
    • L’effaceur de couleurs, texte et illustrations, album jeunesse aux Éditions du Mont, 2010.

    Source

  • Exposition de l’artiste-peintre Nam Trân

    Exposition de l’artiste-peintre Nam Trân

    Du vendredi 10 février au 4 mars 2017, exposition de l’artiste-peintre Nam Trân, dans le cadre de l’Union des Arts Plastiques de Vitry, à la Galerie Municipale de Vitry sur Seine (94) | Cap-Vietnam.com

     

    Du vendredi 10 février au 4 mars 2017, exposition de l’artiste-peintre Nam Trân, dans le cadre de l’Union des Arts Plastiques de Vitry, à la Galerie Municipale de Vitry sur Seine (94)

     

     

    Le vernissage aura lieu le samedi 11 février 2017, de 17h à 20 h.

    L’exposition  de l’artiste-peintre Nam Trân se tiendra tous les jours sauf le lundi, de 14h à 18h.

    Pour plus d’informations :

    www.namtran.fr

    http://saviet.fr/nguyen-nam-tran/

    http://www.mcfv.eu/nam-tran-artiste-peintre/

    Pour se rendre à la Galerie Municipale de Vitry sur Seine :

    Galerie municipale Jean-Collet

    59, avenue Guy-Môquet

    94400 Vitry-sur-Seine

    Tél : 01 43 91 15 33

    galerie.municipale@mairie-vitry94.fr

    L’entrée à la galerie est libre (gratuité).

    RER C Gare de Vitry-sur-Seine, puis bus 180 (arrêt Eglise de Vitry)

    Métro 7 Villejuif-L. Aragon, puis bus 180 (arrêt Eglise de Vitry) ou Mairie d’Ivry, puis bus 132 (arrêt Eglise de Vitry) ou Porte de Choisy, puis bus 183 (arrêt Hôtel de Ville)

    Métro 8 Liberté, puis bus 180 (arrêt Eglise de Vitry)

    Exposition de l’artiste-peintre Nam Trân

    http://www.mcfv.eu/du-vendredi-10-fevrier-au-4-mars-2017-exposition-de-lartiste-peintre-nam-tran-dans-le-cadre-de-lunion-des-arts-plastiques-de-vitry-a-la-galerie-municipale-de-vitry-sur-s/

    Vietnam/MCFV

    Photo à la une de l’artiste-peintre Nam Trân

  • YE Jianxin, artiste- peintre chinois et ses paysages

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois et ses paysages

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois/雄浑大地见真情, 读叶建新的水墨山水, 范迪安

    PEINTRE CHINOIS

    YE Jianxin, artiste- peintre chinois.

    你可以找到一個在中國的文字在文章的末尾

    YE Jianxin Né le 26 juin 1958, membre de l’Association des Artistes Chinois. Professeur à l’Institut des Arts du Cinéma et de la Télévision de l’Université de la Communication de Chine et directeur de Maîtrise. Responsable de l’Académie Nationale des Technologies du Cinéma et de la Télévision. Directeur du Comité Professionnel des Beaux-Arts. Professeur invité à l’Institut des Media de Zhejiang. Directeur de publication du Marché des Arts.

    Majestueux paysages, authentique émotion :

    Commentaire sur les œuvres de YE Jianxin par monsieur FAN Di’an

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    Les lavis paysagistes à l’encre de Chine de Ye Jianxin se distinguent par son style élégant et vigoureux hors du commun. Une structure audacieuse dans ses tableaux, une place importante accordée aux couleurs sombres et des traits profonds enveloppent une vitalité débordante. L’ensemble de ces caractéristiques forme un univers particulier qui nous impressionne et nous attire. De cette fascination, naît un contact personnel privilégié avec la terre et le ciel, issu du concept d’un esprit purificateur, il nous effleure d’une sensation de plaisir et de gaieté.

    Comme résumait parfaitement le célèbre écrivain contemporain chinois, LIN Yutang (1895—1976), lorsqu’il analysait la peinture chinoise : « toute inspiration artistique chinoise prend sa source dans les paysages ». En effet, lorsque la peinture paysagiste avait pris son essor à l’époque de la dynastie Tang, les expressions artistiques ses caractérisaient surtout par leur esprit esthétique. A travers leurs œuvres, les peintres manifestaient l’éloge de la nature. Cette extériorisation des sentiments illustrait la présence de l’esprit et valorisait la perception d’une réalité. Bien que par la suite, différents styles et courants apparurent dans les peintures paysagistes, la volonté d’interprétation d’une image réelle par son sens et vice-versa ainsi que la recherche visant à cerner l’âme des montagnes et des eaux par leurs formes physiques furent communes à toutes les peintures paysagistes chinoises. Les nuances des traits entre chacune des peintures ne changeaient en rien l’éloge des paysages.

    Ye Jianxin connaît parfaitement le positionnement de ces valeurs spirituelles dans les peintures paysagistes et cerne l’importance des places centrales qu’occupent « l’esprit » et « l’énergie qi气 » (l’air). Sur l’aspect théorique, Ye Jianxin veut transformer « l’esprit » et « l’énergie » en objets visibles afin d’interpréter l’âme insaisissable. En pratique, il commence par « l’énergie qi气 », c’est-à-dire tout ce qui est visible, pour se consacrer par la suite à la description de l’âme des paysages. Ce faisant, il rend le paysage encore plus réaliste tout en révélant ses talents et ses caractéristique artistiques.

    Les œuvres de Ye Jianxin reflètent donc, non seulement l’esprit de la nature, mais aussi ses propres caractéristiques. En effet, Ye Jianxin ne veut pas se limiter aux seules techniques artistiques : il souhaite aussi exprimer sa compréhension de la nature dans ses œuvres.

    Lors de son processus d’apprentissage artistique, Ye Jianxin a compris qu’il fallait dépasser le stade technique des mains en attirant volontairement l’expression d’émotions provenant directement du coeur et de l’inconscient. Originaire du nord de la Chine, il hérite d’un esprit ouvert et intègre également des tempéraments plus sensibles qui caractérisent les habitants du sud. Seuls les termes « émotions » et « sensations » authentiques peuvent qualifier son état d’esprit lorsqu’il contemple les chef d’œuvres de la peinture chinoise. Il ne considère pas la tradition des peintures paysagistes chinoises comme un élément isolé mais plutôt comme un univers artistique aux sentiments multiples. Et parce qu’ ému devant cet univers grandiose et ancestral, il ne prête pas attention aux détails sans importance. « Voyage imaginaire à travers les dynasties des Tang et des Song » qui se lit comme un roman classique, est justement l’aboutissement artistique réussi d’une recherche effectuée auprès des chefs-d’œuvre des peintres chinois traditionnels. A travers cette impressionnante peinture longue de 420 centimètres, le peintre nous fait apparaître une sensation d’estime mélangée à de la crainte et de la perplexité face à l’immensité d’une nature sauvage. L’esprit du Taoïsme prend alors tout son sens dans cette œuvre où la recherche de la nature est passée devant l’esprit purement esthétique.

    « Ame des montagnes », une série de travaux réalisés durant les années 1990, sont les œuvres les plus représentatives de Ye Jianxin. Dessiner l’âme des montagnes est en réalité l’objectif ultime que Ye Jianxin s’est fixé pour lui-même. Et, pour atteindre cet objectif, il parcours montagnes et sites historiques, synthétise la vision des peintures traditionnelles, et apporte ce qu’il ressent de la nature. A travers ses travaux, on pourra percevoir l’esprit d’indépendance des paysages qui sont l’essence même de la nature. Grâce à un impressionnant style artistique, Ye Jianxin a réussi à se démarquer des autres artistes.

    L’esprit Zen et les caractères humanistes font également partie des spécificité des œuvres de Ye Jianxin. A travers ses tableaux, nous pouvons percevoir la concentration qu’il a accordée pour tracer chacun des traits, sans superflu et uniquement des sentiments de confiance. Ces caractéristiques reflètent l’autodiscipline et l’esprit d’indépendance propres aux artistes chinois. A la différence de certaines soi-disant « peintures néo-littéraires », les œuvres de Ye Jianxin se distinguent à la fois par la conscience et l’esprit Zen des « peintures néo-littéraires » mais aussi par une absence totale d’attitude approximative ou négligée.

    Au niveau de la représentation graphique, Ye Jianxin recours fréquemment aux traits forts et puissants, créant ainsi un espace vivant et réaliste tout en laissant soin de préserver un caractère implicite dans la peinture.

    Dans la composition, Ye Jianxin dépasse le cadre et les règles réservés habituellement aux peintures paysagistes pour explorer davantage l’horizontal, le verticale et les parallèles… En appliquant un contraste fort dans le tableau, il renforce d’avantage l’impact visuel et augmente ainsi le caractère palpable des objets.

    Les couleurs sont rarement visibles dans ses peintures, car Ye Jianxin préfère exprimer ses sentiments affectueux pour la nature sous forme de lumières et d’ombres. Ye Jianxin est un artiste d’âge moyen prometteur, il s’efforce de progresser davantage dans l’art du lavis.

    Contact email/ Fang Zhang

    雄浑大地见真情 读叶建新得水墨山水

    范迪安

    叶建新得山水画,大气磅礴,洒脱自然。其大胆的构图、大块的墨色、大笔的渲染,可谓恣肆淋漓、云覆山翻,充盈着蓬郁的生机,让人注明,并在注目之际既生“独与天地精神往来”的“澄道观”的快意。 正如林语堂在论中国画时精辟的描述:“中国艺术的冲动源于山水”。山水画在隋唐勃发兴起之时起,就是一种非功利的纯审美活动,画家对“天地大美”之恩、之情 、之意的外化,是精神与意识价值的体现,虽然在后世的第一个时代,山水画都呈现出不同的风格与面貌,但以意摄象、以象写意,这些山水画取山水之形、求山水之魂的理想却一以贯之,笔墨纵有个性差异,皆是对仁山智水的歌咏。 叶建新做山水画,是深知山水画精神价值定位的,也特别领悟到“神”与“气”在山水画中的核心义旨。在理论上他主张“精气为物,游魂为变”;在实践中,他以“气”入画,重在写山水物象之“魂”。;于此,他画出了既体现山水画真谛,又充分显现自我个性气质的一家风仪。 在研习山水画过程中,把揣摩领会传统这个必经的功课从“器”的层面上升到了“道”的层面。他重视山水画的笔墨技巧,但不是一般地从传统中学几路笔法墨象,而是将身心投入于对传统山水经典之作地“感悟”之中,用“心’的“感悟”带出手的“功夫”。依叶建新北方式的豪放式性情和南方人的敏感多情相结合的气质,他在面对古人经典时,只有感动二字才能确切表达他的状态。他看到的中国山水画传统,并不是单个细节,而是那个含蓄多情的艺术境界——因为感动,而忘却了那些不必要的细节。《梦游唐宋境》就是他对古代大家风格研习之作,全画犹如读古的长篇笔记,充满了自己对于境界的怀想与表现。在长达420厘米的画面中,烟岚清旷,山色空蒙,漠漠川原上林立着秀劲萧森的古木,空无一人的幽深画面充满莫名的神秘与惆怅,这种远边的孤寂与惶恐是每一位现代人回顾陌生的古代都会发生的一种惧畏,困惑与崇敬。我 相信人们看到这幅画,都会忽的一下被摄住,定定的屏住气息,望着迷梦一般的唐川宋林,似乎被画幅散发出来的冰冷寒气所笼罩——叶建新在研究传统时离“形”求“道”,进入了唐宋梦境的博大幽深世界,他也把这种世界带给了我们。 最能代表叶建新艺术的还当属他从20世纪90年代中期以来持续创作的《山魂》系列。为山川写神魂,这是一个高远的目标。为此他以中国气盛为支撑,跋涉游览许多名山大川,就像他以综合的眼光看待传统、以领略的整体意境为重点一样,他在面对自然景象之时,也是用心灵和情感去统摄与收取。他的许多作品画出了山水作为大自然本真生命的那番独立精神。山川巍峨奇峭,云气吞吐大荒,以一种大开大合的气象给人以永恒的意味。在当代中国画山水画坛名家辈出、形态纷呈的格局中,他以自己强烈的艺术风貌占有了一方天地。 在叶建新黑白分明、大气磅礴的作品中,蕴涵着深厚的人文精神。画面中没有唐突粗糙的涂鸦,看似信守挥洒而得,其实每笔都注精凝神,率意之中流露出自然与自信,这是中国文人独有得自律与精神,这种自省与尊古得精神也是学者型画家独有得人品与旗帜。与当代有些所谓“新文人画”不同的是,叶建新的画虽有文人画的意境与禅思,在逸笔生气中却未流露于其自娱与荒颓。 从笔墨角度看,叶建新的笔墨多是运势刚健的重笔和恣肆淋漓的大写意泼墨,大块的笔触与墨迹在宣纸上印留下富有动感和质感的生动空间,在洗练的黑白块面中穿插着坚凝的山石素壁,似乎偶然的笔墨皴染形成极富浑厚酣畅之意味,风尚雄古,一洗工气。在 这个基础上,他也注重苍健中的含蓄,把小写意的细腻勾染结合进入,使作品整体浑然,奈人寻意。 在构图上,叶建新突破了传统的经典章法和山水具体的地域性特征,多为横段式、平行式、放射式、内敛式,有的甚至是传统山水画的大忌。画面常违背一般山水自然的有机性,采用大疏密的对比,将焦点透视中的物象置于散点透视或平面构成中,扩大画中风景的可感度,强化视觉冲击力,极大地渲染了感情氛围。他一些作品的主干线条往往斜出画面下角,直冲云头天际,一如长锋破阵,嘎嘎然撑起全幅结构,在视觉上十分让人振奋,在无际视野间感受到空而不空、寂而不寂,领悟到遐想的妙端。 叶建新的画绝少设色,在这一批黑白水墨世界里,蕴涵了董其昌“画欲暗不欲明”的妙喻,深不可测的墨色中藏有“不尽之境”,明暗中蕴有“景外之景,意外之玄妙”,在深厚的笔墨中,对自然山水的迷恋和情怀跃然素纸,这是值得称道的。依他正处中年盛期,他将在水墨山水艺术中长足前进。

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