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  • Histoire d’amour en asie

    Histoire d’amour en asie

    Rencontres coloniales ou les histoires vraies d’Asie.

    Au commencement cette histoire en asie

    L’amour en asie ou les élans exotiques ; Vietnam juillet 1947, le Nord s’embrase, le Sud s’amuse. Hanoï ne veut plus d’un passé de soumission et lève l’étendard d’une liberté si longtemps enfouie. Des idées nouvelles, un désir d’indépendance, un vent nouveau souffle sur le Tonkin et l’ombre d’un avenir sombre embrase la quiétude tranquille des rizières.

    Saigon, l’insouciante, se perd dans les jeux, s’enivre de fêtes lascives, s’oublie dans la lumière des néons chatoyants. Elle a beau s’étourdir, elle sait que le destin d’un pays la rattrapera bientôt, alors elle exulte dans des frasques démesurées et se laisse mourir de plaisir.

    En ce 14 juillet 1947 alors que les évènements se précisent dans le Nord, dans le Sud un grand bal des débutantes se prépare au le palais présidentiel. Le chef de l’état a invité de très nombreux convives à participer à cette soirée de prestige qui fait rêver toutes les jeunes filles du Vietnam. Elles sont là les sœurs Hô , elle font partie de la fête, ébahies d’être ici dans cette magnifique résidence. Le monde entier leur tend les bras, la terre entière est à genoux devant leurs délicates silhouettes à peine sorties de l’adolescence, elles sont les reines d’un monde qui va s’enfoncer dans une tragédie interminable et douloureuse. Au diable la guerre, rien ne compte plus pour elles que les paillettes et le strass des robes qui scintillent sous la lumière indiscrète des projecteurs.

    Le coup de foudre de l’histoire d’amour en asie  

    Ils sont tous là, généraux aux uniformes rutilants, coloniaux aux costumes impeccables, diplomates à l’allure empruntée, jeunes hommes au regard de braise, belles plantes exotiques prêtes à dévorer les mâles trop peu méfiants, ce sont les derniers représentants d’un monde déjà oublié, un monde en sursis.

    Leur père les présente à son ami, un certain Monsieur Messmer et, manu militari, les invite à aller s’amuser car des affaires fort importantes l’attendent.

    Elle s’appelle Simone et ses sœurs ont pour nom Yvonne, Marguerite et Cécile et viennent du Nord. Elles sont vietnamiennes mais de nationalité française, cette particularité les sauvera plus tard d’une lente descente aux enfers.

    Happées par la musique langoureuse distillée par un orchestre en smoking blanc, elles s’égaient toutes comme des moineaux affolés, éperdues de bonheur, émerveillées, gargarisées par ce luxe exacerbé offert sans pudeur par cette immense salle de réception.

    Le service de sécurité est là tendu, à fleur de peau, l’oeil aux aguets, prêt à intervenir au moindre mouvement de foule, au simple battement de cils, suspectant même leurs propres collègues car aujourd’hui les frontières sont floues, le futur incertain et les amis peu sûrs.

    Paul est le responsable de cette garde rapprochée, il observe les aller- venues de chaque convive, son œil aguerri plonge dans le regard des invités pour en extirper l’essence et ainsi anticiper tout danger. Soudain ce professionnel aux yeux bridés, cet Elliot Ness au cœur de pierre, reste figé devant ce tableau si fragile d’une jeune fille timide et maladroite. Il est là comme tétanisé, seul enfermé dans un silence de glace parmi tous ces gens qui tournoient, s’esclaffent, mangent et boivent.

    Alors Paul, il faut te réveiller, tu n’as pas le droit de rêver, retombe sur terre, ici tous comptent sur toi. Rien n’y fait, subjugué par la belle Simone, il oublie tous ses devoirs, confie à son adjoint la bonne marche des opérations, se défait de ses habits de fonction et revêt un costume valorisant, car monsieur veut plaire, séduire, jouer les fanfarons et assiéger le cœur de la jeune fille drapée dans un magnifique Ao-Aï bordeaux. Il sait à cet instant précis qu’elle sera la femme, la femme de sa vie.

    Histoire d’amour en asie, le stratagème pour conquérir la belle 

    Paul, fin stratège, invite tantôt Yvonne, tantôt Marguerite à des danses endiablées et ne jette aucun regard à Simone qui de surcroît n’en a cure…. D’ailleurs elle n’a même pas remarqué ce garçon follement amoureux qui virevolte avec ses sœurs. Le voilà faisant le beau, il parle haut et fort, se trémousse comme un gardon pris à l’hameçon, le ridicule ne peut rien contre l’amour.

    Paul est fort courtisé par la gente féminine, son charme a déjà fait de nombreux ravages et dévasté de nombreux cœurs de Saïgonnaises. Son père est un homme que tous connaissent, respectent et il est d’ailleurs extrêmement fortuné, puissant et de surcroît un bienfaiteur de l’église.

    Le papa de Simone connaît d’ailleurs bien celui de Paul, ils se fréquentent et s’apprécient.

    Paul, le tombeur de ces dames, a sorti les grands moyens et rien ne pourra arrêter cette machine à broyer le cœur de Simone, ni l’indifférence, ni l’échec et encore moins le ridicule. L’affaire s’annonce difficile car les prétendants sont nombreux et la victoire difficile. Le regard de velours ne suffira pas à capturer, à ensorceler cette jeune fille qui ne pense aujourd’hui qu’à s’amuser au rythme des danses et des rires.

    Paul ne veut pas laisser partir son amour d’asie 

    Pas de répit pour Paul car le lendemain il part à la recherche de sa belle et trouve l’adresse où celle- ci habite. Il passe et repasse devant cette maison aux couleurs de l’amour ; il n’ose pas s’arrêter, hésite, se tâte… Yvonne et Marguerite ont remarqué son manège et l’invite à venir prendre une petite collation que ce dernier accepte avec empressement. Enfin la première défense est franchie et Paul rêve déjà d’une victoire totale où Simone béate tomberait dans ses bras comme un fruit mûr prêt à être cueilli.

    Il pavoise dans cet aéropage de la gente féminine et ne veux plus partir, il s’incruste et même s’invite à dîner. L’on envoie un « boy » à Cholon, le quartier chinois de Saigon, afin de commander un canard laqué, plat uniquement réservé aux convives de choix. Paul tel un pacha en « Pachaterie » se félicite de cette si « inattendue » invitation mais malheureusement une épreuve des plus épouvantables l’attend. Notre séducteur déteste le canard et ce met si délicat le dégoûte au plus haut point, ingérer cette volaille palmée est une torture à sacrifier sur l’autel de l’amour. Paul ne cède pas et prenant son courage à 2 mains avale courageusement le canard qui lui est présenté et dans un rictus des plus hypocrite, remercie la maîtresse de maison d’une si délicate attention.

    Les heures passent, et l’encombrant convive ne se décide toujours pas à regagner ses pénates, il s’évertue à camper près de sa belle qui le trouve aussi collant que du riz gluant.

    Comment se débarrasser de cet amoureux transit qui, de peur de se faire coiffer au poteau par un autre prétendant, ne veut plus quitter des yeux sa « future épouse non consentante ».

    Il est fort tard et voilà qu’il virevolte, fait de l’esprit ne remarquant aucunement les baillements à peine dissimulés de toute la maisonnée. Une telle opiniâtreté amuse et même séduit les sœurs qui ne savent toujours pas pour laquelle cet « ‘énergumène » s’évertue à stationner, sans la moindre gêne chez elles. Etant donné l’heure tardive, la maman propose à Paul de dormir sur place dans la seule pièce disponible celle où réside leur animal de compagnie le « cochon ». N’écoutant que son courage Paul n’hésite pas un instant à accepter de partager son sommeil avec cet animal réputé pour sa propreté légendaire et son ronflement peu délicat.

    Les jours passent et Paul reste sur place, aveugle à la gêne occasionnée, planté tel un chêne indéracinable aux racines tentaculaires ; le cochon est devenu un ami intime, un vrai pote de chambrée à qui il confie son espoir de conquérir le cœur de Simone.

    Comprenant qu’il est impossible de se débarrasser d’un tel phénomène, la famille entière déstabilisée, dérangée mais aussi intriguée attend avec impatience le dénouement, le départ de cette bernique, non bretonne, aux yeux bridés.

    Une vraie histoire sans lendemain dont l’héroïne, l’exotique Simone, en voiture Simone, ne semble pas encore remarquer le manège de Paul dont l’incroyable audace a déjà « tsunamisé » une famille entière.

    Les jours passent et « Mister glue » ne trépasse toujours pas. Vous vous demandez comment cette abracadabrante histoire peut se terminer ?! Et bien rassurez vous car l’étalon italien, oh pardon, vietnamien, se maria avec Simone dans la cathédrale de Saigon soulageant sa future belle- famille d’un si long siège dont l’issue paraissait vraiment improbable.

    Amour quand tu nous tiens

    Qu’est devenu le cochon, fut-il invité à la cérémonie, se laissa t-il glisser vers une dépression d’avoir perdu son co- locataire ? Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai plus tard , bien plus tard !

    Amour en asie et me voilà!!!!

    Henri (l’un des enfants du couple)

    Colonial encounters or true stories from Asia.

    Love story in Asia or exotic impulses; Vietnam in July 1947, the North blazes, the South has fun. Hanoi does not want a past submission and raised the standard of freedom so long buried. New ideas, a desire for independence, a new wind is blowing and the Tonkin shadow of a bleak future ablaze the quiet tranquility of the rice fields.

    Saigon, carefree, is lost in games, gets drunk lascivious parties, is forgotten in the light of shimmering neon lights. It was nice to stun, she knows that the fate of the country will catch up soon, so she exults in the exaggerated antics and left to die of pleasure.

    In July 14, 1947 when the events become clearer in the North, in the South a big debutante ball is preparing for the presidential palace. The head of state has invited many guests to attend this prestigious evening that dream all young girls in Vietnam. They are the Ho sisters, she is part of the festival, dumbfounded to be here in this beautiful residence. The world tends their arms, the whole earth is kneeling before their delicate silhouettes barely out of adolescence, they are the queens of a world that will sink into a long and painful tragedy. Damn the war, nothing is more important for them than the glitter and rhinestone dresses that sparkle under the spotlights indiscreet.

    They are all there, the general gleaming uniforms, impeccable colonial costumes, diplomats borrowed allure, young men fiery eyes, beautiful exotic plants ready to devour unsuspecting males too, are the last representatives of a world already forgotten, a world suspended.

    Their father presents his friend, a Mr. Messmer and forcibly, invites them to go have fun, because of very important business ahead.

    Her name is Simone and her sisters are named Yvonne, Cecile and Margarita and go North. They are Vietnamese but of French nationality, this feature will save later a slow descent into hell.

    Caught up in the languorous music distilled by an orchestra in white tuxedo, they brighten all as frightened sparrows, distraught happiness, amazed, gargarisées offered by this shameless luxury exacerbated by the huge reception room.

    The security service is tense, on edge, the eye on the watch, ready to intervene at the slightest movement of crowds, the simple blink of an eye, even suspecting their own colleagues because today the borders are blurred, the future uncertain and insecure friends.

    Paul is responsible for the bodyguards, he observes the allergen came from each guest, his trained eye plunges into the eyes of guests to extirpate the essence and thus anticipate danger. Suddenly this professional slant-eyed, this Elliot Ness in the heart of stone, remains frozen so fragile before this picture of a girl shy and awkward. It is there like paralyzed, only enclosed in a glass of silence among all these people circling, guffaw, eat and drink.

    Then Paul, we must wake up, you do not have the right to dream, falls back to earth, here all counting on you. Nothing will work, captivated by the lovely Simone, he forgets all his duties, his deputy entrusts the smooth running of operations, takes off his clothes and clothes feature a costume rewarding because Mr. wants to please, seduce, play boasters and besiege the heart of the girl draped in a beautiful Ao-Ai burgundy. He knew at that moment that she will be the woman, the woman of his life.

    Paul, strategist, sometimes invites Yvonne, sometimes Marguerite in wild dances and throws no say in addition to Simone who does not care …. Besides, she did not even notice the boy spins madly in love with her sisters. Here he is doing fine, he speaks loud and wiggles like a roach took the bait, ridicule can do nothing against love.

    Paul is very courted by the female, its charm has already made many ravages and devastated many hearts of Saigon. His father is a man that everyone knows, respects and it is also extremely wealthy, powerful and moreover a church benefactor.

    Simone’s father also knows well that of Paul, they attend and enjoy.

    Paul, the heartthrob of the ladies, pulled out all the stops and nothing can stop the machine to crush the heart of Simone nor indifference or failure much less the ridiculous. The case will be difficult because the contenders are numerous and difficult victory. The velvet look is not enough to capture, to bewitch the girl who now think that fun to the rhythm of dancing and laughter.

    No rest for Paul because the next day he goes in search of his sister and finds the address where the latter lives. It comes and goes in front of the house with the colors of love; he does not dare to stop, hesitates, fumbles … Yvonne and Margaret noticed her game and invite him to take a small snack that he accepts with alacrity. Finally the first defense is crossed and Paul already dreaming of total victory where Simone smug fall into his arms like a ripe fruit ready to be picked.

    He decked in this Areopagus of the fairer sex and do not want to leave, he became entrenched and even invite to dinner. One sends a « boy » in Cholon, Saigon’s Chinatown, to order a duck dish only available to guests of choice. Paul like a Pasha « Pachaterie » welcomes this if « unexpected » invitation but unfortunately one of the most horrific ordeal awaits. Our seducer hates ducks and puts delicate disgusted at the highest point, palmate poultry ingest this is torture to sacrifice on the altar of love. Paul did not give in and taking her courage in two hands bravely swallows duck and presented to him in a rictus of more hypocritical, thanked the hostess of a delicate attention.

    The hours pass, and always cumbersome guest not decided to return to his household, he strives to camp near his sister who also found that the sticky glutinous rice.

    How to get rid of this transit lovers who, for fear of being pipped at the post by another suitor, does not want his eyes off his « future wife unwilling. »

    It is very late and now he spins, makes the mind does not noticing the barely concealed yawns of the entire household. Such obstinacy amused and even attracted the sisters who still do not know why this’ ‘rowdy’ strives to park, without the slightest embarrassment at home. Given the late hour, the mother offers Paul to sleep on site in the only room available that in which lies their pet « pig ». Listening only to his courage Paul does not hesitate a moment to agree to share sleeping with that animal known for its legendary cleanliness and little tricky snoring.

    The days pass and Paul remains in place, blind to the inconvenience, such ineradicable oak planted with sprawling roots; the pig has become a close friend, a true friend of barracks to whom he confided his hope to win the heart of Simone.

    Understanding that it is impossible to get rid of such a phenomenon, destabilized the whole family, but also disturbed puzzled looks forward to the outcome, the start of this limpet, not Breton, with slanted eyes.

    True story without a future in which the heroine, the exotic Simone, Simone drive, does not seem to notice the ride of Paul whose incredible audacity has already « tsunamisé » an entire family.

    The days pass and « Mister glue » does not always passes away. Wondering how this bullshit story may end! Well rest assured you as the Italian Stallion, oh sorry, Vietnamese, married Simone in the Cathedral of Saigon relieving his future in-laws for a long siege, the outcome seemed really unlikely.

    What happened to the pig, he was invited to the ceremony, if he slipped into a depression at losing his co-tenant? But this is another story that I will tell you later, much later!

    Henri (one of the couple’s children)

  • Marchés de Chine

    Marchés de Chine

    Marchés de Chine

    Carnets de voyage en Asie ou les marchés de Chine (photos).

    Les marchés de chine sont des lieux pleins de surprises. J’aime tant ces promenades dans les ruelles qui laissent dans les yeux des images où se mélangent des souvenirs du sirop de la rue. Des odeurs si particulières des marchés virevoltent au dessus des étals disparates, colorés mais si sympathiques. Cette Chine aux couleurs nostalgiques s’évanouit comme un dragon de brume.

    ©Reportages d’asie et asie reportages

    Travelogues in Asia or China markets (photos).

    I love these walks in the alleys that let in the eye where images are mixed memories of the syrup of the street. Such peculiar odor twirl above disparate markets stalls, colorful but if friendly. This China nostalgic colors vanished like a mist dragon.

    遊記在亞洲或中國市場(附圖)。

    我喜歡這些走在了我們在圖像街道的藥水混合回憶眼的小巷。這種異味捻上述不同的市場攤位,豐富多彩的,但如果友好。這個中國懷舊的顏色消失了,像霧龍。

    Viajes en Asia o China los mercados (fotos).

    Me encantan estos paseos por los callejones que dejan en el ojo donde las imágenes son recuerdos mezclados de jarabe de la calle. Tal olor peculiar giro por encima de los mercados dispares puestos, colorido pero si usar. Este de China colores nostálgicos desvanecieron como un dragón niebla.

    Reiseberichte in Asien oder China Märkten (Fotos).

    Ich liebe diese Spaziergänge in den Gassen, die in die Augen, wo die Bilder sind gemischte Erinnerungen an den Sirup von der Straße lassen. Solche eigentümlichen Geruch wirbeln über disparate Märkten Stände, bunt, aber wenn freundlich. Das China nostalgischen Farben verschwand wie ein Nebel Drachen.

    Путевые в Азии или Китае рынках (фото).

    Я люблю эти прогулки в переулках, которые позволяют в глаза, где изображения смешиваются воспоминания сиропа улицы. Такой своеобразный запах вертеть выше разрозненных рынков киосков, красочные, но если удобно. Это Китай ностальгические цвета исчезли, как туман дракона.

    Reisverhalen in Azië of China markten (foto’s).

    Ik hou van deze wandelingen in de steegjes die laat in het oog waar de beelden zijn gemengde herinneringen aan de stroop van de straat. Zoals eigenaardige geur twirl boven ongelijksoortige markten kraampjes, kleurrijke maar als vriendelijk. Dit China nostalgische kleuren verdween als een mist draak.

  • Loin de la Bretagne, l’Inde

    Loin de la Bretagne, l’Inde

    Une bretonne à la recherche du Nirvana en Inde!

     Une bretonne à la recherche du Nirvana !

    Jeu : une bretonne rousse s’est cachée parmi des indiens, à vous de la retrouver… pour le gagnant, 100kg de crêpes et un magnifique séjour à Redon.

    Un groupe de 20 bretons est parti 15 jours en Inde du Sud traversant le « Tamul Nadu pour rejoindre la côte ouest du Kerala. Piloté par un guide du pays, nous avons sillonné le sud de l’Inde en car en passant par Chennai, Pondicherry, Maduraï, Kodal Kanal, Black Waters…Cochin et retour en train de nuit. »

    Nos bretons ont été impressionnés par cet étrange animal fort rare en pays Bigoudin Une fesnoz très exotique



    Ferveur  des indiens dans les temples, le sourire et la gentillesse des hommes et des femmes que nous avons côtoyés, la finesse des plats au curry, les rick shaws zigzagant entre les camions voitures et vaches sacrées, les saris chatoyants, la beauté des paysages ensoleillés : montagnes, rizières, sequoias, palmeraies, plages… sont autant de souvenirs impérissables et colorés. Nous attendons tous une bonne occasion pour partir à la découverte de l’Inde du Nord ! »

     « une seule fausse note, il me manquait le cidre et les crêpes…. A défaut de crêpes j’ai pris des NANS, mais ce n’est pas pareil, il manque ce petit supplément d’âme qui donne ce goût breton si particulier et qui parle à mes origines flibustières ». Pourquoi aller si loin, le Nirvana c’est la crêpe avec une rincée de cidre. Soizick

  • Photographies de très loin (Thiery Beyne)*

    Photographies de très loin (Thiery Beyne)*

    Le Viêt Nam de Thiery Beyne (en grand format).

    Photographies de très loin

    Le Laboratoire Photographique Professionnel Initial et Thiery Beyne

    Le Viêt Nam de Thiery Beyne (en grand format).

    Une promenade entre Nord et Sud, villes et campagnes, dans le Viêt Nam de tous les jours, immuable et nouveau

    Un peu de l’univers de Thiery Beyne

    - Vietnam

    - Inde

    - Vietnam

    - Srilanka

    - Vietnam _
    - Srilanka

    - Srilanka

    - Thaïlande

    - Inde

    - Thaïlande

  • Thiery Beyne, photographe d’Asie*

    Thiery Beyne, photographe d’Asie*

    Le Viêt Nam de Thiery Beyne (en grand format).

    Le Laboratoire Photographique Professionnel Initial et Thiery Beyne

    Le Viêt Nam de Thiery Beyne (en grand format).

    Une promenade entre Nord et Sud, villes et campagnes, dans le Viêt Nam de tous les jours, immuable et nouveau

    Un peu de l’univers de Thiery Beyne

    - Vietnam

    - Inde

    - Vietnam

    - Srilanka

    - Vietnam _
    - Srilanka

    - Srilanka

    - Thaïlande

    - Inde

    - Thaïlande

    Thiery Beyne

  • Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Les dernières photos de Thiery Beyne

    Evadez vous au coeur du Vetnam avec les nouvelles photos de Thiery Beyne. Un voyage hors du temps avec des images qui resteront tressées comme un fil entre le présent et le passé.

  • Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    Restaurant Chinois de très mauvais goût !

    TRES BONNE IDEE !!!

    – Restaurant le plus bizarre

    – N’est-ce pas le plus bizarre des restaurants ????

    – Croyez-le ou non

    – Toilette moderne est un restaurant de Taipei en Chine. Il y a 100 places toutes faites de bols de toilette. – La nourriture est servie dans des bols de toilettes en plastique. Le papier de toilette est les serviettes pour les mains et le bec et est juste en haut des table qui ressemble à des bains géant transparent.


    - Voici le restaurant

    Sa déco

    Sa salle de dégustation

    Des couleurs appétissantes

    Ma foi pourquoi pas !

    La cuisine paraît bonne

    On y va avec précaution

    Quelques hésitations ma chère ?

    Mieux vaut essayer à 2 c’est moins dur

    On rit jaune…

    Pourtant ce dessert semble bon

    Vous allez en reprendre ??!!

    Article envoyé par un Internaute fort aimable et surtout gourmet.

  • THIERY BEYNE & ARTFUL CA PHE

    THIERY BEYNE & ARTFUL CA PHE

    Vietnam (de magnifiques cadeaux pour Noël)

    Artful Gallery vous propose sa nouvelle collection de Kakémonos.

     » Un vrai plaisir, une invitation au voyage est l’impression que nous avions eu lors de l’exposition de Paris ».

    La rédaction

    kakémonos 1,30 m x 0,60 m, impression sur bâche, idéal pour jardin et intérieur, supports en bambou du Viet Nam, expédition sur la France.

    Prix 55 euros (dont 15 euros de port).

    Pour l’achat de 2 kAKÉMONOS ARTFUL GALLERY,

    (90 Euros, les 2)

    —  THIERY BEYNE

    Manager & Photograph

    ARTFUL GALLERY

    ARTFUL CA PHE

    20A Nguyen Thien Thuat

    Nha Trang

    Viet Nam

    0126.3761020

  • SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    SANYA, la magnifique, vous donne rendez- vous !

    L’exposition des photographies « SANYA, l’île de Hainan, vu par des Français »

    La CHINE, un pays lointain et mystérieux qui laisse l’esprit vagabonder à travers des images, des senteurs et des couleurs et qui nous invitent au voyage. Située à l’extrême sud de la Chine, Santa, ville touristique, sait accueillir les occidentaux chaleureusement dans la douceur délicate de son climat tropical si propice aux rêves les plus doux.

    Le 16 mars, à Paris, sur le fameux toit Grande Arche des invités privilégiés ont pu découvrir cette ville à travers une Exposition photographique : « SANYA, l’île de Hainan, vu pas des français ».

    Inaugurée dans ce lieu prestigieux cette exposition originale sera un succès et attirera à la fois de nombreux parisiens et évidemment des touristes du monde entier.

    Cette exposition s’inscrit dans une optique très particulière car des photographes français ont su immortaliser « l’essence » même de l’île de Hainan. Au travers de leurs objectifs aux ressentis différents, ils ont réussi à transcender et à immortaliser la beauté de cette île.

    Merci aux photographes sans lesquels rien n’aurait été possible :

    - M.CHATELIER Patrick
    - M.CHAUVEAU Nikola
    - M.ESCUDIER Alain
    - M.PARDESSUS xavier
    - M.PICARD Pascal.

    Au travers de ces photos délicates et expressives, les voyagistes sauront immédiatement que « SANYA, l’île de Hainan, est une destination de rêve pour les occidentaux à la recherche de douceur, d’exotisme et de beauté. La tradition omniprésente, la nature luxuriante, créera dans le cœur de Français un cocktail de dépaysement.

    Un vernissage très réussi avec des invités de marque, des Français attentifs et curieux, des Chinois chaleureux qui ont su transmettre l’amour de leur région. Dans un élan à la fois chaleureux et fraternel, Chinois et Français entonnèrent un chant joyeux et fraternel. Un buffet gastronomique chinois aux fumets délicats clôtura les discours des différents partenaires.

    Une convention pour la collaboration touristique est signée au vernissage entre le Comité municipal pour le développement du tourisme de Sanya et la Fédération Internationale du tourisme.

    Les personnalités :
    -  M.Yixiu LIN Adjoint au Secrétaire Général du Gouvernement Municipal de SANYA,
    -  Mme Alice Bosquillon de Jenlis de l’UNESCO,
    -
    -  M. JIN Chunlei, ministre conseiller de l’Ambassade de Chine en France ;
    -  M. Mathieu de l’ECTI, M.
    -  Alan Attia, Directeur Général de la société Models’s fasshion ;
    -  M. Yves Launoy, réalisateur de l’émission télévisée Interville
    - Mme PICARD Aiming Présidente du Centre d’Echanges Culturels et Artistiques Franco-Chinois
    -  et plus de 300 invités visitent ensemble l’exposition.

    Informations : Cette exposition est organisée par le Comité Municipal de SANYA pour la promotion Touristique, et elle est réalisée par le Centre d’échange culturel et artistique franco-chinois. Elle va durer 4 jours au 16 au 19 Mars 2010. Nous pensons que grâce à cette exposition, une plate-forme de collaboration sera créée au niveau du tourisme, de la culture et surtout de l’amitié. Selon nos études, Sanya se trouve à latitude nord 18°, donc le point le plus au sud de la Chine. Elle possède des ressources naturelles irremplaçables : Les plages, les tropiques, la nature… Malgré la crise économique en 2009, Sanya a réssisté à la crise, elle a reçu plus de 6 690 000 nuitées, donc une augmentation de 10%, dont beaucoup de touristes français. La délégation de Sanya a bien dit : Sanya est pas seulement à nous, elle est aussi à tout le monde, elle est au profit de toutes les personnes qui souhaitent la connaître et à l’aimer. Bienvenue au Sanya

  • LES CARNETS DE LILA PIK : DINER EN BLANC 2012 À PARIS : COUP DOUBLE !

    LES CARNETS DE LILA PIK : DINER EN BLANC 2012 À PARIS : COUP DOUBLE !

    LES CARNETS DE LILA PIK : DINER EN BLANC 2012 À PARIS : COUP DOUBLE !

    LES CARNETS DE LILA PIK

    DINER EN BLANC À PARIS : COUP DOUBLE !

    PLACE DES VOSGES

    Le 15 juin au soir, avez- vous remarqué ces gens, tout en blanc, les bras chargés de tables pliantes, de chaises, de sacs ?

    Dans tout Paris, on a pu croiser ces petites fourmis blanches, déterminées, qui, en fait, convergeaient toutes vers la place des Vosges où se déroulait le fameux dîner en blanc annuel.

    Des centaines de petits groupes comme celui- ci, postés à des coins de rues tout autour du lieu où doit se dérouler le dîner en blanc 2012.

    Voici un petit pêle- mêle de ces deux dîners en blanc incontournables !


    La place des Vosges, en effervescence, remplie de milliers de tables improvisées.

    CHATEAU DE VERSAILLES

    Et le lendemain, le 16 juin, re- belote ! un dîner en blanc exceptionnel au château de Versailles, en plus petit comité, quel faste !

    Place des Vosges, Château de Versailles, 23 h, les cierges magiques s’allument, un des grands moments du dîner en blanc.

    De rencontre en rencontre ….

    A droite, le leader du groupe « Paris Shanghaï prêt à repartir, en Septembre, pour une nouvelle tournée en Chine (le « rock aux yeux bridés ») . Christine et Jean- Jacques, des invités de choix conquis par l’ambiance festive et conviviale du « dîner en blanc »… Ils sont partants pour revenir l’année prochaine !

    A gauche, Stella la présidente de la Chambre de Commerce de Hong Kong à Saîgon, au centre, notre bien aimé « rallieur »… mais tout près de Reiner notre sympathique hôte qui est donc cette charmante et jolie asiatique ?

    A notre table, le compositeur de l’habillage sonore de la télévision chinoise sur canal 21 : « « C demain ». Un compositeur et arrangeur de talent…

    Voilà ! Cette année, Asietralala était aux deux dîners en blanc, avec chaque fois des invités passionnés par l’Asie ! Coucou c’est moi et j’en profite pour vous saluer.

    Un instant hors du temps !

    Toute l’équipe d’Open Mag était au rendez- vous. Comme d’habitude, ambiance bon enfant, chaleureuse, et festive !

    Lila Pik