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  • Un tour de magie vraiment Bluffant par un vrai créateur Sylvain Juzan

    Un tour de magie vraiment Bluffant par un vrai créateur Sylvain Juzan

    Un tour de magie Bluffant par Sylvain Juzan

    Je souhaitais partager avec vous ma version d’une illusion aux cartes que j’ai mise au point il y a peu: 

    Il s’agit d’un effet classique en magie de cartes appelé ACAAN, un acronyme pour Any Card At Any Number. Comme son nom l’indique, le principe en est assez simple: un spectateur pense à une carte, un spectateur pense à un numéro entre un et cinquante-deux, et la carte pensée se retrouve à la position choisie. Tout simplement!

    La version que je vous présente ici a quelques particularités. Tout d’abord l’effet est clairement annoncé dès le début. En d’autres termes, il n’est pas question ici de transformer un heureux hasard en miracle! Ensuite les spectateurs coupent réellement où ils le souhaitent et les mélanges sont véritables. Enfin le choix du numéro pensé est effectué une fois que le jeu est posé sur la table et que j’ai clairement dit que je n’y toucherai plus, et non avant, ce qui rend toute manipulation impossible. Je vous laisse juger!

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    Je suis magicien professionnel sur le Luxembourg, mais aussi en France et Belgique essentiellement. Je me suis spécialisé en close up et en mentalisme et interviens aussi bien pour les privés (mariages, anniversaires, réceptions) que pour les sociétés (cocktails, soirées). Plus d’infos sur moi et de vidéos sur mon site web officiel: www.sylvainjuzan-magicien.com

    Mais qui est Sylvain Juzan

  • Mémé Béa s’est fait la belle par Michelle Ask

    Mémé Béa s’est fait la belle par Michelle Ask

    Profil de l’auteur Michelle Ask – 157 abonnés – page 1 – Short Édition

    Enfant, ma mère me lisait La chèvre de Monsieur Seguin et je pleurais à chaudes larmes. Un peu plus tard, passant devant la devanture d’un libraire, elle aima le titre d’un livre qu’elle croyait destiné aux enfants, les Trois contes, de Flaubert. Elle l’enveloppa dans un papier soie et me l’offrit pour mon anniversaire. J’avais 9 ans. Il ne m’en fallut pas plus pour aimer la littérature.

    A vous de voter pour cette « écrivaine en herbe »…

    Mémé Béa s’est fait la belle

    par l’auteur Michelle Ask, micro nouvelle disponible en ligne depuis 21 jours | Short Edition 

    Mémé Béa passait le plus clair de son temps devant la cheminée de sa cuisine, elle attisait sans relâche un feu malingre, été comme hiver, hachait menu les orties pour ses dindons, moulait le grain pour ses oies, gardait sous la plaque de la cheminée toute une couvée d’oisillons à peine éclos de l’œuf. Elle vivait dans une campagne comme il en existe encore, où le temps semble s’être arrêté. Le petit Alexis avait peur de cette arrière-grand-mère qu’il ne visitait qu’à l’occasion des vacances scolaires. Lui, ce qu’il attendait avec délectation, c’était de pouvoir patauger dans les flaques de boue qui trouaient la cour de la ferme. Il y en avait par tous les temps, la pluie n’avait rien à voir à cette affaire. Il troquait alors volontiers ses jeux vidéo contre les parties à se salir. Sa mère, de son côté se livrait à un rite de purification. Entrouvrant la porte de l’étable, elle fermait les yeux d’un air concentré, et quasi religieusement, humait la senteur de la paille et l’odeur âcre de la bouse des vaches comme l’assurance d’un air revivifiant. Alexis retenait l’envie de caresser les veaux, échaudé par le souvenir cuisant de sa petite main violemment balayée par la queue d’une vache protectrice.

    Tous ces petits rituels retardaient le moment solennel où il fallait pénétrer dans l’ombre épaisse et moite de la maison où trônait Mémé Béa tapie au coin du feu.
    Longue et noueuse, elle semblait enroulée sur elle-même au fond de son fauteuil. Les cheveux argentés étaient ramassés en un maigre chignon, les joues froissées contrastaient avec des yeux pétillants presque malicieux. Mais ce qui l’impressionnait le plus, c’étaient ses mains.
    Des mains osseuses, très larges, qui retenaient les siennes prisonnières, captives. Il se raidissait. Elle ne lâchait prise pendant qu’elle récitait pour lui toute une litanie de compliments. Il suspendait sa respiration.
    Un soir d’orage, Mémé Béa avait décidé de braver le déchaînement des éléments, et s’était mis en tête d’alimenter son feu languissant. En descendant le raidillon qui menait à la remise où s’entassaient les bûches, la vieille femme glissa sur un caillou.
    Dès qu’Alexis franchissait le seuil de la nouvelle maison où se poursuivirent les visites, une odeur âcre le saisissait à la gorge, et il se crispait.

    Une cohorte de vieux et de vieilles s’alignaient sur des banquettes en moleskine recouvertes de plastique. Et parmi eux, un visage familier tout à coup, Mémé Béa. Elle paraissait sereine, paisible, inoffensive, comme en état de grâce. Alexis lui trouvait un air singulier. A côté des autres vieux qui l’entouraient, elle était presque jolie.
    Il n’en avait pas pour autant omis de se munir de son pistolet de cow-boy, qu’il avait discrètement enfoui sous la ceinture de son pantalon. Non pas qu’il eut des intentions meurtrières. Mais Mémé Béa l’inquiétait toujours.
    Et puis Mémé Béa n’était plus seule dans sa nouvelle maison. Tous ses « collègues » ainsi qu’il les nommait, n’étaient guère rassurants. Certains grommelaient, tout seul, sans raison. D’autres gémissaient ou somnolaient, la tête pendante comme si elle allait se décrocher… Il vérifia que son pistolet était bien à sa place.
    Mémé Béa était peu loquace. Ses yeux brillaient soudain très fort comme si une idée extravagante lui avait traversé l’esprit. L’excitation passée, Alexis remarquait un voile de tristesse embuer les lunettes de la petite vieille.
    Au début du printemps, une infirmière interpella sa mère à leur arrivée. Sur le chemin du retour, alors qu’ils n’avaient pas visité l’aïeule et devant le silence buté de sa mère, une idée chemina dans la tête de l’enfant.
    Aussitôt le déjeuner terminé, il enfourcha sa bicyclette. Arrivé à la ferme, tout semblait inchangé. Il souleva le loquet de la porte, un léger grincement accompagna l’ouverture, un silence épais pesait sur la maison. Au fond de la pièce obscure, il perçut une faible lueur. Il s’approcha timidement. Quelques braises couvaient sous la cendre dans la cheminée. Alexis fut encouragé par ce signe de vie et s’avança.
    « Ah te voilà ! » murmura une voix familière. Mémé Béa était blottie comme à son habitude au coin de la cheminée. Elle semblait s’être assoupie, l’arrivée de l’enfant l’avait réveillée. Ses petits yeux, gênés par la lumière qui s’engouffrait dans le bâillement de la porte, clignotaient.
    Alexis ne manifesta pas de surprise. Il avait la certitude de trouver mémé Béa au coin du feu mais c’était la première fois qu’il se retrouvait seul face à elle. Et sans qu’il ne put se l’expliquer il n’avait plus peur. Elle lui souriait. Elle ne cherchait pas cette fois ci à le toucher, ni à prendre sa petite main dans les siennes. Elle le regardait d’un air doux et pensif.
    Alexis voulut parler, lui demander des détails sur sa fugue. Elle appliqua ses longs doigts sur ses lèvres et chuchota : « chuuuut ! il faut que personne ne sache que je suis ici ! c’est un secret entre toi et moi, toi seul est au courant tu comprends? »
    Il se sentit envahi d’une immense responsabilité, il redressa les épaules et eut l’impression d’avoir grandi tout à coup. Une grande fierté l’envahit. Il hocha la tête.
    Puis soudain, un frisson lui parcourut le dos. Il eut envie de partir, tout de suite. Et sans se retourner, il franchit la porte. Il fut saisi par la chaleur qui surplombait le vallon. Le soleil donnait en ce début d’après-midi d’avril. Sa mère devait s’inquiéter.
    Il traversa la cour, saisit sa bicyclette, et s’engagea dans l’allée. Il sentit alors que quelque chose le gênait à la ceinture. Il fouilla sous son pull, et trouva le pistolet blotti contre sa peau. Il le dégagea, et d’un geste de soulagement, l’envoya voltiger dans les buissons qui bordaient le sentier. Il décolla ses fesses de la selle, et donna des coups de pédale avec frénésie. Le vélo oscilla, tantôt à gauche, tantôt à droite. Puis très vite, Alexis gagna de la vitesse, et bientôt l’enfant ne fut plus qu’un point au bout du chemin.

    http://short-edition.com/oeuvre/tres-tres-court/meme-bea-s-est-fait-la-belle?all-comments=true&update_notif=1495382572#js-collapse-thread-post-137422

  • Colloque sur ‘La méditation et les écoles bouddhiques de méditation’

    Colloque sur ‘La méditation et les écoles bouddhiques de méditation’

    Colloque sur ‘La méditation et les écoles bouddhiques de méditation’ le dimanche 4 juin 2017 à l’Institut Bouddhique TRUC LÂM, Villebon s/ Yvette (91)

    Le programme du colloque en vietnamien est téléchargeable via le lien Programme Colloque (viet)3 vfinale 2017

    Le programme du colloque en français (ci-dessous) est téléchargeable via le lien Programme Colloque (fr)3 vfinale 2017

    Version française du programme du colloque

    L’Institut Bouddhique Truc Lâm et l’Association des Bouddhistes Viêtnamiens en France

    ont l’honneur de vous convier à un Colloque organisé le Dimanche 4 Juin 2017

    sur la Méditation et les Ecoles bouddhiques de méditation :

    COLLOQUE sur « LA MEDITATION ET LES ECOLES BOUDDHIQUES DE MEDITATION »

    le DIMANCHE 4 JUIN 2017

    à  l’INSTITUT BOUDDHIQUE TRUC LÂM (91140 – Villebon s/ Yvette)


    PROGRAMME

    Matin :

    8 H 00 : Réception des participants

    8 H 30 : Ouverture du Colloque -Vén. Sup. Thich Phuoc Duong ; Mme Hô Thi Thanh Mai

    9 H 00 : Méditation et neurosciences. Aspects scientifiques et médicaux – Dominique Prapotnich (Paris)(en français)

    9 H 30 : La méditation dans la Tradition des Moines de la Forêt – Vén. Ajahn Nyanadharo (Tournon s/ Rhône) (en français)

    10 H 00 : Pause

    10 H 15 : Les maîtres et Ecoles Chán en Chine – Catherine Despeux (Paris) (en français)

    10 H 45 : Questions, réponses, discussion. Modérateur : Trinh Dinh Hy (Olivet)

    11 H 30 : Méditation assise OU marche méditative (facultative, 2 groupes, 20 mn)

    11H 50 : Déjeuner

    Après-midi :

    14 H 00 : Eisai et Dôgen, deux patriarches du Zen japonais – Dao Huu Dung (Tokyo) (en viêtnamien)

    14 H 30 : Discussion avec l’auteur, par Skype

    15 H 00 : Les Ecoles Thiên au Viêt Nam – Trân Tuân Mân (Hô Chi Minh-ville) (en viêtnamien)

    15 H 30 : Bases philosophiques et scripturaires des Ecoles bouddhiques de méditation – Trinh Dinh Hy (Olivet) (en français)

    16 H 00 : Questions, réponses, discussion. Modérateur : Lai Nhu Bang (Villemoisson s/Orge)

    16 H 30 : Clôture du Colloque.


    – Les exposés seront faits en français OU en viêtnamien.

    Un Recueil bilingue du Colloque sera disponible et en vente sur place.

    Entrée libre, dans la limite des places disponibles.

    Déjeuner  libre, ou végétarien à  la Pagode (inscription préalable obligatoire).

    – Informations, contact par mail : truclamthienvien.villebon@gmail.com

    Adresse : 9 Rue Neuchâtel – 91140 Villebon s/Yvette

    Téléphone : 09 53 07 67 70  ou  01 60 14 58 15

    Accès à  l’Institut Bouddhique Truc Lâm : http://www.truclamthienvien.fr/index.php/denchua

     

  • VISITE EN VIP DU SALON DES TRACTEURS ANCIENS (SOCIETE FRANCAISE)

    VISITE EN VIP DU SALON DES TRACTEURS ANCIENS (SOCIETE FRANCAISE)

     TRACTEURS EN FÊTE A VIERZON BERCEAU DES TRACTEURS DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE

    Un week- end de forte chaleur, un dimanche pas tout à fait comme les autres, de nombreux visiteurs très  intéressés par des « engins » d’un autre temps, des tracteurs impressionnants, des machines agricoles aux carrures de sportifs de haut niveau… Le décor est planté dans un lieu incontournable de Vierzon: le parc des expositions. Des tracteurs en veux tu en voilà, les uns rutilants malgré leur âge canonique, les autres marqués par le temps mais toujours « gaillards ».  Ces tracteurs inspirent, surtout aux néophytes, un sentiment de grand respect du à leur implication dans  la vie agricole de l’époque et aussi à l’innovation technologique. Au siècle de la modernité, des tracteurs pilotés par GPS (par satellite), des robots et des fusées, ces merveilleuses machines nous rappellent un temps révolu où la France respirait la ruralité et une certaine sérénité.

    C’était une autre période où les métiers de la terre étaient reconnus comme indispensables et valorisants. Une marque reste « inoxydablement »ancrée dans la mémoire des « aficionados » des tracteurs de collection: la Société Française. Certains passionnés, comme le président de l’Amicale Société Française de Vierzon, Daniel Sauvagere,  nous parle avec des étoiles dans les yeux de ces fabuleuses « machines ». Les tracteurs de la Société Française sont aujourd’hui encore considérés comme les « stars » incontournables de Vierzon.

     

    Sur ce salon, convivial et bon enfant, sont exposés des machines fabuleuses rares et parfois même uniques. Dans ce tourbillon Daniel Sauvagere  a su nous commenté avec passion de sa marotte: Les tracteurs anciens et en particulier ceux de sa marque fétiche  la « Société Française ». Alors en route pour visiter les différents aspects de cette exposition. Des tracteurs, des stands de miniatures pas simplement inertes mais en pleine action, des stands pour bien boire et bien manger, tout cela dans une ambiance chaleureuse et fort sympathique.

    Nous sommes tous pressés de revenir! Ce salon se déroule tous les 2 ans…. mais nous vous en reparlerons!

     

     

    Historique de la Société Française de Vierzon

     

    Ayant parfait son apprentissage de menuisier en accomplissant son tour de France, Célestin Gérard rentré dans ses Vosges natales construisit une première batteuse mécanique pour épargner la peine de son père, petit cultivateur. Des Berrichons, ayant remarqué cette machine, l’invitèrent à s’installer dans leur pays à la veille d’une révolution qui l’obligea à exploiter avec succès son propre matériel, en s’instituant le premier des entrepreneurs de battage. C’est donc à Vierzon, dans le Cher, que le 15 Octobre 1847, il ouvrit son petit atelier. La modeste entreprise ne cesse de croître ; dès 1861 il construisit sa première locomobile, en 1878 alors qu’il totalisait 318 médailles et diplômes d’honneur, Célestin Gérard, qui est alors à son apogée, ne pouvait imaginer un tel développement, ni quelle influence décisive il jouerait dans cette bourgade, promue au rang de cité industrielle

     

    Le 28 Mars 1879 il cède son entreprise qui devient La Société Française de  Matériel Agricole et Industriel ( SFMAI ) . Sans cesser la production de batteuses et de locomobiles qui deviennent de plus en plus perfectionnées, la Société s’adapta aux besoins nouveaux. C’est ainsi qu’en 1889 elle entreprend la fabrication de groupes électrogènes pour éclairer Périgueux, La Rochelle, Poitiers et Châtellerault . En 1896 elle fabrique des moteurs agricoles et industriels à pétrole. Vers 1910, elle aborde les gazogènes et, dans les années 20 une locomobile routière voit le jour. A partir de 1931, sous l’impulsion de M. Pierre Chevalier alors Directeur de la SFMAI Vierzon, la décision est prise de lancer l’étude et le développement d’un tracteur à huile lourde, monocylindre, deux temps, semi-diesel. La production des tracteurs H1 qui débute en 1934 est très modeste, 37 tracteurs sortent des ateliers cette année là. En 1936 la production de tracteurs est portée à 232, répartie entre deux modèles, le H1 et le H2. Cette montée en puissance de la production, bien modeste il est vrai, conduira la SFV à mettre en fabrication un tracteur puissant pour l’époque le H0 dont la production totale répartie sur 4 ans ( 1936-1940 ) atteindra le chiffre de 72. Ce modèle répond à la demande des entrepreneurs de battage qui exploitent des batteuses à haut rendement produites par la firme. La guerre de 39/45 entrainera la suppression du H0 et seuls se maintiendront le HV1 et le HV2 avec un niveau de production en baisse. Ce conflit portera également un coup rude à la production des batteuses qui reprendra lentement après le conflit mais l’arrivée des moissonneuses- batteuses d’outre-Atlantique remet en cause le processus de récolte des graines. La reconversion est incontournable, toutefois la SFV va poursuivre pendant encore près de 15 ans la construction d’une gamme allégée de batteuses traditionnelles avant de s’essayer elle aussi à la conception et à la fabrication de moissonneuses batteuses. Revenons aux tracteurs, il faudra attendre 1947 pour qu’un nouveau modèle voit le jour, le FV1 qui sera produit en grande partie à l’arsenal de Roanne. Cette même année, la mise en place du plan Marshall donnera une nouvelle impulsion à la motorisation de l’agriculture . La SFV bénéficiera de cet élan , le nombre de tracteurs produits augmenta sensiblement mais la firme ne resta pas inactive et repensa sa gamme en l’adaptant aux besoins futurs des agriculteurs. C’est ainsi qu’en 1950 elle mit sur le marché le 302 suivi du 551 et du 402. Elle élargit également sa gamme vers les petits tracteurs en produisant le 201 et également le CGM 141 issu de la sous-traitance. En 1956, l’apparition du carburant diesel agricole, prive la SFV d’un des atouts du moteur semi diesel deux temps : les économies en matière de carburant. Pourtant en 1957, le 552 successeur du 551 est mis sur le marché pour une vie très éphémère. Consciente de l’obsolescence de ses moteurs , la SFV offrira sur le marché, en 1958 , deux tracteurs bi-cylindres , le 303 et le 403 qui, insuffisamment mis au point, seront source de déconvenues mécaniques et mettront en péril la SFV. Après une modification profonde du moteur, le 403 est rebaptisé 403D mais sa carrière est assez peu glorieuse. L’année 1958 verra également la naissance de deux nouveaux modèles : le Super 202 appelé à remplacer le 201 et le 203 qui lui s’attaque au marché des tracteurs de la catégorie « un soc, 12 pouces en tous terrains » . Après l’arrêt précipité de la production du 303, le Super 204 voit le jour fin 1959, ce sera le dernier vrai « Vierzon » monocylindre. Hélas, la situation financière de la Société Française Vierzon est alors largement déficitaire et celle-ci sera contrainte de faire appel à l’Américain Case, qui était déjà actionnaire depuis 1958, pour prendre le contrôle de la firme le 13 Juillet 1959.

     

                        

     

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  • Les Trucs et Astuces de Lucas : Suivre Open Mag

    Les Trucs et Astuces de Lucas : Suivre Open Mag

    Bienvenue dans ce premier article consacré aux petites astuces qui peuvent s’avérées très utiles. Aujourd’hui nous allons nous pencher sur le cas du site où vous vous trouvez actuellement c’est-à-dire Open Mag. En effet, Open Mag regorge de petite fonctionnalités bien pratique mais peut connue du grand publique.

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